• * 28 septembre 2016 depuis l'aire de stationnement de Bious-Artigues (1422 m.) au terminal de la route D 231 au-dessus de Gabas, en suivant la piste pastorale qui longe direction Sud la rive droite du lac de Bious-Artigues, pour la quitter environ 700 mètres après, face au centre équestre, en suivant à gauche un chemin qui remonte direction Sud-Est dans le bois de Bious Artigues, puis le sentier qui fait suite à ce chemin et traverse trois fois en suivant le même ruisseau toujours direction Sud-Est, traverse une piste (1580 m.) pour continuer sa montée en lacets serrés, traverse le ruisseau de Moundelhs (1740 m.), sort du bois (1820 m.) au-dessus et au Sud du petit lac des Moundelhs et entre en suivant dans le Cirque de Moundelhs (1840 m.), où on l'abandonne pour monter à droite Sud-Sud-Ouest et passer près de la quèbe de Moundelhs (1860 m.) pour suivre le vallon de droite direction générale Sud-Sud-Ouest, traverser à flanc des zones d'éboulis, de pelouses, de gros blocs puis de pelouses et terre avant de parvenir au col des Cornes de Moundelhs (2227 m.) situé au Sud des Cornes de Moundelhs, descendre au Sud pour remonter en suivant afin de traverser à flanc les éboulis et blocs du haut du Cirque de l'Embaradère direction Sud puis Sud-Ouest, traverser une crête et longer Sud-Ouest la base des falaises du Petit Pic du Midi d'Ossau, toujours sur des gros éboulis, passer l'éperon Sud-Ouest du Petit pic du Midi d'Ossau (2340 m.) et suivre direction Sud-Est des traces de sentes en corniche puis sous les falaises pour rejoindre le col de Peyreget (2320 m.), descendre Est, passer au petit lac Nord de Peyreget (2208 m.), au lac et refuge de Pombie (2031 m.), traverser vers le Nord la Grande Raillère de Pombie, passer au col de Suzon (2127 m.), remonter à gauche Sud-Ouest la crête qui mène à la première cheminée de la voie normale du pic du Midi d'Ossau pour la quitter (2203 m.) en suivant à droite le sentier qui, à flanc et en direction Nord-Nord-Ouest, va franchir la crête de Moundelhs à hauteur de la Brèche de Moundelhs (2266 m.), descendre sur l'autre versant pour prendre une direction Nord sur des pentes raides d'éboulis et de pelouses, passer à la brèche inférieure de Moundelhs (2122 m.), descendre Ouest-Nord-Ouest sur de raides pelouses pour atteindre une zone d'éboulis (2040 m.) où on trouve un sentier que l'on suit à droite direction Nord, l'abandonner sur les pelouses, avant qu'il ne face un large lacet, en descendant plein Ouest pour le retrouver plus bas et le suivre à gauche direction Sud-Ouest, afin de parvenir dans le Cirque de Moundelhs pour y retrouver l'itinéraire de montée sous la quèbe de Moundelhs (1840 m.) en bouclant ainsi le "Tour des pics du Midi d'Ossau par les Moundelhs".  

    Passé à 6 h55 à Bious-Oumette où la barrière qui condamne le passage pour monter à Bious-Artigues, pendant les travaux de la société SHEM (vidange décennale du barrage), était ouverte et qu'aucun panneau n'interdisait l'accès, j'en ai profité pour monter garer ma voiture au parking de Bious-Artigues. Je quittais l'aire de stationnement à 7 h10 à la lueur de ma lampe frontale, parvenu à hauteur du centre équestre j'ai perdu pas mal de temps pour trouver le départ du bon chemin non fléché. La montée dans le bois de Bious-Artigues se fait sur un sentier cairné, qui se faufile entre les arbres dont certains portent des traces de peinture rouge, mais qui disparait par endroits sous les feuilles mortes. J'ai rajouté quelques repères au sol, en réalisant des fléchages avec des branches ou tracés sur la terre. De 9 h10 à 9 h20 j'étais à la quèbe de Moundelhs qui est un abri aménagé sous un gros bloc avec un mur de pierres et une porte métallique. La montée dans le vallon qui mène au col des Cornes de Moundelhs se réalise face aux falaises Nord du Grand pic du Midi d'Ossau, sur un terrain accidenté, avec quelques rares cairns, j'en ai rajouté quelques uns et il faut y naviguer au mieux et à l'inspiration ^^ pour progresser sur des pelouses, des éboulis de toutes tailles et entre de gros blocs. A 10 h25 j'étais au col des Cornes de Moundelhs en train d'admirer ces nombreuses "cornes", sortes de monolithes géants dressés vers le ciel ou penchés, véritable chef-d'oeuvre de la nature oh yes . La traversée du Cirque de l'Embaradère se fait avec prudence, sur des éboulis de toutes tailles dont certains blocs ne sont pas stabilisés, sous les falaises Ouest du Grand pic du Midi d'Ossau et en passant près de son fameux pilier de l'Embaradère cher aux frères Ravier. C'est grandiose, on se sent vraiment minuscule ouch yes . A 12 h10 je basculais de l'autre côté de l'éperon Sud-Ouest du Petit pic du Midi d'Ossau qui marque la fin de la zone d'éboulis mais où débute une mince vire en dévers au-dessus d'un à-pic arf . Après quelques légères descentes et remontées, d'abord sur des éboulis puis en pelouse, à 12 h55 je passais au col de Peyreget et à 13 h30 entre le lac et le refuge de Pombie. Les seules personnes rencontrées durant cette sortie auront été un couple d'anglais au-dessus de la rive Sud-Ouest du lac de Pombie, quelques campeurs sur les rives de ce même lac et un groupe d'espagnols dans les éboulis de la Grande Raillère.  A la sortie de la zone d'éboulis de la Grande Raillère de Pombie, il était 14 heures lorsque j'ai vu passer l'hélicoptère Dragon 64 de la Sécurité Civile et j'ai pu assister au secours de deux alpinistes espagnols en difficulté au-dessus des "Escaliers Gris" dans la face Est du Grand pic du Midi d'Ossau. Un des deux alpinistes était victime d'une fracture ouverte de la cheville provoquée par une chute de pierres. A 14 h10 je passais au col de Suzon. Le sentier qui mène à la Brèche de Moundelhs est à son début presque horizontal, ensuite il est par endroits entrecoupé et en dévers sur de raides pentes pour se terminer sur une très raide pente de terre et d'herbe où j'ai utilisé le piolet erf yes . A 14 h50 je parvenais à la Brèche de Moundelhs. Si le début de la descente sur l'autre versant est raide mais bien marqué, j'ai rapidement perdu les traces de sentier et c'est à l'inspiration que j'ai descendu, avec l'aide de mon piolet, les raides pentes d'éboulis, de cailloutis, d'herbe et de terre en dévers, en m'appuyant sur les parties rocheuses délitées qui étaient à ma droite sarcastic pour descendre à la brèche inférieure de Moundelhs. C'est là que j'ai vu un vague sentier qui remontait sur les pelouses en pente douce. A 15 h20 je quittais la brèche inférieure de Moundelhs pour descendre hors traces sur une raide pente herbeuse et aller retrouver le sentier de la voie normale dans une zone d'éboulis. A 16 h15 je retrouvais l'itinéraire de la montée dans le Cirque de Moundelhs, bouclant ainsi le "Tour des pics du Midi d'Ossau par les Moundelhs" et à 17 h20 je retrouvais ma voiture sur l'aire de stationnement de Bious-Artigues après un dénivelé positif d'environ 1300 mètres pour autant de négatif et une assez belle journée bien ensoleillée glasses .

    Avant de quitter le parking, on est venu me signaler que je n'avais pas le droit de m'y garer bad , ce à quoi j'ai répondu, que je m'étais renseigné la veille à l'office de tourisme de Laruns qui ne savait pas s'il y avait une navette toujours en place à partir de ce jour, que la barrière de Bious-Oumette était ouverte lors de mon passage et qu'aucun panneau n'interdisait l'accès cool

    Carte IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    Voir galerie photos Tour des pics du Midi d'Ossau par les Moundelhs


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    * 11 septembre 2016, depuis le virage en épingle de la route de Saugué (1560 m.), situé environ 250 mètres après le pont de Saugué qui enjambe le gave d'Aspé, au Sud-Ouest de Gèdre, pour suivre direction Ouest la piste interdite aux véhicules non autorisés qui démarre dans ce virage, remonter à gauche derrière la dernière grange pour arriver sur un enclos où on vire à droite pour suivre un large sentier qui prend une direction générale Ouest-Sud-Ouest au-dessus de la rive droite du gave d'Aspé, après un peu plus de deux kilomètres quitter le sentier, près du pluviomètre mentionné sur la carte IGN (1745 m.), pour parvenir à gauche et au Sud à un enclos (1750 m.), remonter les pelouses direction Sud-Ouest, basculer à droite en suivant une sente pour aller remonter le raide petit vallon direction Sud, passer près d'un gros rocher (1860 m.) à partir d'où on continue la progression direction générale Sud-Ouest vers le point coté 1922 pour atteindre une cuvette (1950 m.) que l'on dépasse en remontant à droite, puis continuer la progression direction générale Ouest-Sud-Ouest (2000 m.) vers  Pène d'Eras Autous, parvenir sur une large croupe herbeuse (2270 m.) située à gauche d'un vallon d'éboulis qui buttent sur une falaise verticale formant un petit cirque, la remonter Sud-Sud-Est, contourner par la gauche la partie rocheuse et remonter Sud sur des traces de sentes recouvertes de petits éboulis dans une raide zone de rochers affleurants, prendre pied sur une selle herbeuse (2432 m.) et remonter directement Sud-Sud-Ouest la pente herbeuse qui permet d'atteindre la crête (2520 m.) que l'on suit à droite direction Ouest jusqu'à atteindre le sommet du Soum Blanc de Secugnat ou Soum Blanc de Sécugnat ou pic Blanc de Sécugnac (2577 m.), continuer sur la crête Ouest au-delà de la cote 2568, jusqu'à 2550 mètres et revenir, après être repassé sur le sommet principal, par le même itinéraire.

    Parti à 7 h20, après avoir remonté une raide pente herbeuse et hors traces au-dessus de l'enclos (1750 m.), à 8 h40 je passais près du gros rocher (1860 m.). La suite du parcours en direction générale Sud-Ouest jusqu'à la large croupe herbeuse (2270 m.) est très confuse et il faudra bien y faire attention au retour car il y a de nombreuses barres rocheuses qu'il faut éviter et de raides pentes herbeuses où il faut louvoyer pour trouver les meilleurs passages. C'est pour ces raisons que j'ai perdu du temps à reconstruire les nombreux cairns écroulés afin de les rendre visibles, à en rajouter d'autres et à tracer des fléchages à la craie bleue ^^ . De 11 h30 à 12 heures j'étais au sommet en train de savourer le magnifique panorama dévoilé par ce "modeste" sommet. Après avoir prolongé ma visite sur la crête Ouest jusqu'à 2550 mètres où elle plonge verticalement dans une brèche, j'ai fait demi-tour pour repasser au sommet à 12 h25 et après une descente prudente mais confortable grâce à mes repères réalisés à la montée je repassais à 14 h15 à l'enclos (1750 m.), près du pluviomètre mentionné sur la carte IGN. A 14 h50 je retrouvais ma voiture après environ 1100 mètres de dénivelé positif pour autant de négatif et une superbe journée chaude et ensoleillée glasses où je n'ai rencontré personne.

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

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    Remontée de la cheminée Faus  Les Mallos de Lecherines Rappel dans la cheminée Faus

    * 4 septembre 2016, depuis le terminal de la route (barrière en fer) de Rigüelo au-dessus de Aisa (1490 m.), en remontant la piste direction Nord-Est puis Nord pour la quitter sous et à l'Est du refugio de Saleras en allant traverser le ruisseau du Barranco de Igüer (1500 m.) afin de suivre vers le Nord le sentier qui remonte la croupe herbeuse descendant du pico de Aspe séparant le Barranco de Igüer du Barranco de Estarrún, le quitter pour suivre à droite (1650 m.), sur le flanc Oriental, un autre sentier qui traverse presque horizontalement direction Nord-Est pour rejoindre le sentier balisé rouge et blanc du GR 11 que l'on suit à droite direction Est et que l'on abandonne peu après (1720 m.) pour remonter hors traces direction Est-Nord-Est puis Nord-Nord-Est afin d'atteindre l'entrée du Barranco de la Garganta de Aisa (1950 m.) que l'on remonte jusqu'au Paso de la Garganta de Aisa (2331 m.) pour virer à droite afin de suivre vers l'Est, en légère ascendance et au-dessus du vide, une vire située à la base des falaises verticales Nord du pico de la Garganta de Aisa afin de parvenir à un col (2463 m.) d'où on suit la crête à droite Nord-ouest pour atteindre le sommet du pico de la Garganta de Aisa (2502 m.), revenir au col (2463 m) pour y suivre direction Est la crête qui mène au sommet de El Sombrero (2562 m.), continuer sur la crête direction Sud-Est jusqu'au col (2507 m.) situé au Nord du pico de la Garganta de Borau ou pico Lecherin, descendre Sud-Ouest en longeant la base des falaises de ce pic pour remonter (2350 m) direction Sud jusqu'au collado de Lecherin (2386 m.), situé au Nord des Mallos de Lecherines ou Mallos de Lecherín (2386 m.), descendre Sud-Sud-Ouest sur le versant Oriental et sous les falaises des Mallos en perdant le moins d'altitude, pour remonter (2300 m.) sur la droite d'un petit éperon jusqu'à atteindre la selle qui relie ce dernier à la base du départ de la cheminée Faus (2370 m.) que l'on remonte pour parvenir sur l'antécime (2450 m.) puis sur le sommet principal des Mallos de Lecherines ou Mallos de Lecherín (2452 m.), revenir sur la selle, descendre à gauche du petit éperon en direction Sud pour se diriger à flanc vers le Refugio militar López Huici et, avant de l'atteindre (2010 m.), virer à droite Ouest pour passer près d'un abreuvoir et rejoindre la piste du refuge (2020 m.) que l'on suit à droite direction Sud-Ouest pour atteindre le collado de la Madalena ou del Torbillón (2039 m.) afin d' y suivre à l'Ouest l'itinéraire balisé du GR 11 qui passe au Nord du refugio del Rigüelo pour ensuite aller retrouver au Nord-Ouest l'itinéraire de montée (1720 m.) qui ramène au point de départ.

    Partis à 8 h30 avec Dino, Jean-Claude, Roland et Eric, après une raide remontée en louvoyant pour trouver les meilleurs passages dans les pierriers du Barranco de la Garganta de Aisa où quelques isards nous regarderont passer, de 11 heures à 11 h15 nous ferons une pose au Paso de la Garganta de Aisa en regardant une cordée en découdre avec les aiguilles de l'arête Sud-Est du pico de Aspe, nommée arista de los Murciélagos. Dans la traversée de la vire qui contourne spectaculairement au-dessus du vide, par le Nord, le pico de la Garganta de Aisa, nous visiterons un raide couloir d'éboulis croulants qui vient buter sur un mur vertical d'une cinquantaine de mètres. De retour sur la vire, qui longe la base des falaises au-dessus du vide, nous déboucherons dans un vallon d'éboulis croulants que nous remonterons pour atteindre la crête tapissée d'une multitude d'edelweiss (Leontopodium alpinum). Après être passé près d'un énorme gouffre, de 12 h10 à 12 h20 nous serons au sommet du pico de la Garganta de Aisa où nous suivrons l'évolution de la cordée dans la arista de los Murciélagos. De 12 h45 à 13 heures nous serons au sommet de El Sombrero. Chapeau et bravo au passage à Dino ! qui venait d'ascensionner les deux derniers sommets qui lui manquaient pour archiver le tome 1 des "1000 ascensions" dans les Pyrénées de Miguel Angulo. Ce sommet nous offrira un superbe panorama et Dino le champagne (plus tard) et nous essayerons de repérer une voie sur la face Nord du pico de la Garganta de Borau ou pico Lecherin, qui semble réalisable en surmontant par des cheminées bien visibles les deux bandes de roche blanche et la bande de roche ocre pour atteindre la crête Nord. Mais, pour ne pas hypothéquer nos chances de gravir le sommet des Mallos de Lecherines ou Mallos de Lecherín, principal objectif du jour, nous n'irons pas sur le pico de la Garganta de Borau non prévu au programme du jour. Après avoir longé avec prudence le raide flanc Oriental sous les falaises des Mallos, sur un terrain constitué de terre, de roche et d'éboulis croulants, à 13 h50 nous serons.sur les blocs d'éboulis de la selle située au pied de la cheminée Faus où nous laisserons bâtons et sacs pour mettre les casques et enfiler les harnais. Nous remonterons la première partie de cette évidente cheminée qui nous fait face, d'abord sur un terrain herbeux, terreux et rocailleux puis rocheux à droite, pour atteindre une brèche dans la crête après avoir surmonté des passages d'escalade de II et III. A partir de la brèche nous virerons à gauche pour attaquer la seconde partie de la cheminée par un passage d'escalade de III qui remonte à gauche d'une grotte ou gouffre, puis nous déboucherons près d'un premier sommet (2450 m.) pour aller ensuite trouver un point faible qui nous permettra de descendre facilement dans la faille qui nous sépare du sommet principal pour remonter par une courte escalade facile sur le sommet principal des Mallos de Lecherines ou Mallos de Lecherín (2452 m.) que nous atteindrons à 14 h20. Quel plaisir que celui de se retrouver sur un sommet que je n'aurai jamais pensé pouvoir gravir yes ! Nous réaliserons la descente sous le contrôle de notre expert Jean-Claude, par deux rappels de 30 mètres en utilisant une corde de 60 mètres et deux relais en place, un près du premier sommet à la sortie de la seconde cheminée et un autre sous la grotte ou gouffre. Non loin de ce dernier relais, il y avait la possibilité d'en utiliser un autre situé à une vingtaine de mètres à droite. L'ensemble de la cheminée est du PD + et le port du casque y est oblgatoire car les chutes de pierres y sont fréquentes ouch . Après avoir récupéré nos affaires laissées sur la selle, nous réaliserons la suite de la descente sur un terrain raide et croulant où nous provoquerons quelques chutes de pierre. De 16 h40 à 17 h50 nous ferons une pose restauration près de l'abreuvoir situé non loin du Refugio militar López Huici, en savourant le champagne de Dino. Après une descente tranquille nous retrouverons nos voitures à 19 h30 après un dénivelé positif d'environ 1500 mètres pour autant de négatif et une journée assez bien ensoleillée glasses dans une ambiance du tonnerre cool ....

    Cartes Editorial Alpina 1:40000 Anso Echo,1:25000 Candanchu Astún Canfranc et IGN es Signa

    Voir galerie photos El Sombrero et les Mallos de Lecherines


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