• Le pic d'Escurets par les Hourquettes Baygrand, depuis le col de Marie Blanque
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    * 10 avril 2013 depuis l'aire de stationnement de la patte d'oie du Port de Castet (868 m.) au-dessus de Castet en remontant directement la crête qui se présente plein Est pour passer à son sommet (1001 m.) et aller traverser la piste (1010 m.) pour continuer l'ascension Est-Nord-Est à travers le bois de la Bouchère, passer au sommet du Soum de la Pale (1431 m.), puis direction Est au col de Lamuretch (1410 m.), remonter Est pour passer au sommet du pic La Peyrie (1579 m.), descendre Sud-Est au col anonyme (1550 m.), remonter toujours Sud-Est au sommet des Houssats (1592 m.), non nommé par l'IGN, descendre plein Sud et passer au col des Houssats (1540 m.), remonter Sud puis Sud-Est, passer au sommet de Le Mail (1665 m.) puis sur le sommet Oriental de Le Mail (1663 m.), continuer Sud-Est pour abandonner la crête (1640 m.) en continuant la descente direction Sud-Ouest puis (1420 m.) Ouest, dépasser par la droite la cabane Couscouilla (1360 m.) pour infléchir la descente Ouest-Nord-Ouest, passer au Pas de Louste (1300 m.), traverser le bois de Séquès d'abord direction Nord puis (1260 m.) Nord-Ouest pour en sortir en arrivant sur une piste (1060 m.), la suivre Ouest-Nord-Ouest pour aller retrouver l'itinéraire de montée (1010 m.)

    Utilisation des raquettes à partir du col des Houssats pour les enlever dans le bois de Séquès (1200 m.).

    Parti à 7 h25, j'ai perdu beaucoup de temps dans la traversée du bois de la Bouchère (entre les altitudes 1050 mètres et 1180 mètres), où il y avait de quoi "se viander". Un nombre incroyable d'arbres cassés et déracinés ont rendu la progression acrobatique et éprouvante, obligeant à un parcours du "combattant-acrobranché". J'arrivais au sommet du Soum de la Pale à 9 h40 pour en repartir à 9 h50. Après avoir traversé quelques névés résiduels, à 10 h25,  je parvenais au sommet du pic La Peyrie pour le quitter à 10 h35 et 10 minutes plus tard, j'arrivais au sommet des Houssats, non nommé par l'IGN qui le cote 1592. J'étais au sommet de Le Mail à 11 h25 où, pendant un bon quart d'heure, j'ai profité du beau panorama qui m'était offert. Après être passé au sommet Oriental de Le Mail, non nommé et non coté par l'IGN où mon altimètre donnait un mètre de moins qu'au sommet principal, je quittais la crête un peu plus loin pour descendre vers la cabane Couscouilla. Juste avant d'atteindre la cabane, où la neige était transformée en "soupe", je croisais deux randonneurs puis deux randonneuses qui regrettaient d'avoir laissé les raquettes à la voiture. Passant à 12 h20 près de la cabane Couscouilla, dix minutes plus tard au Pas de Louste, à 12 h55 j'arrivais sur la piste que j'allais suivre à droite pendant dix minutes pour retrouver mon itinéraire de montée. J'étais de retour à la voiture à 13 h25 après un dénivelé positif d'environ 1000 mètres pour autant de négatif, par une journée assez bien ensoleillée avec beaucoup de vent sur les crêtes.

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Laruns Gourette col d'Aubisque vallée d'Ossau 1546 ET.

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  • Le Mail, en passant par le Soum de la Pale et le pic La Peyrie, le 10 avril 2013
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  • Le pic de Beillurti depuis le hameau de Ondarolle, en suivant l'ancienne frontière du traité de Elizondo de 1785
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    * 23 mars 2013, depuis le hameau de Ondarolle (320 m.), en remontant Nord-Nord-Est la route D 128 jusqu'au ruisseau de Chaparreco erreca ou Chaparreko Erreka (330 m.), pour revenir au hameau de Ondarolle et suivre Sud-Est une petite route goudronnée qui mène à la ferme Pelloenea, la laisser filer en face (500 m.) pour suivre une piste à gauche et l'abandonner rapidement en remontant Nord-Est vers Behorléguia, puis infléchir la remontée direction Est (650 m.) puis Sud-Est (800 m.), passer près du rocher d'Ayleypecoa, à Haïleko (837 m.) où se trouve le rocher d'Aguileguigainecoa, y suivre la crête Haïley toujours direction Sud-Est, passer à l'endroit ou est situé le rocher nommé Saroyzaarreco arria (880 m.), à une borde (897 m.), atteindre la crête Negoucharo (1030 m.) pour la suivre au Sud jusqu'au sommet du pic de Beillurti (1114 m.). Retour en descendant au Sud jusqu'au col Héganzo (1065 m.), pour faire une traversée à flanc Sud-Ouest puis Ouest au-dessus de la route D 128, la traverser (1020 m.) pour descendre Nord-Ouest en suivant la crête qui borde l'Ouest du ravin de Halzéguiko Erréka, passer à Mizpiralatzeko Borda (780 m.), à Ahastako Borda (677 m.), à Hameka, pour retrouver la route D 128 (500 m.) et la suivre direction générale Nord, la quitter pour traverser le pont qui enjambe la Nive d'Arnéguy (293 m.), passer à l'ancien moulin de Valcarlos, faire demi-tour et revenir sur la route D 128 qui ramène à Ondarolle.

    Le but de cette randonnée était de suivre la ligne frontière du traité de Elizondo du 27 août 1785, depuis Ondarolle jusqu'au col Héganzo, en passant par le sommet du pic de Beillurti. J'ai parcouru une partie de cette ligne frontière depuis le ruisseau de Chaparreco erreca où Chaparreko Erreka où à sa confluence avec la rivière de val-carlos actuelle Nive d'Arnéguy il avait été placé le 100 ème repère qui consistait en une borne avec des croix gravées, jusqu'à Egon saco harri ondoa actuel col Héganzo où avait était placé le 119 ème repère qui consistait en une borne. Le traité cédait le hameau de Ondarolla ou Ondarolle (quartier d'Arnéguy) à l'Espagne, mais il semble que toutes les traces de l'abornement de cette époque ont été détruites.

    Parti à 8 h40, après avoir été faire une visite au ruisseau de Chaparreco erreca ou Chaparreko Erreka, en bordure duquel l'abornement du traité de Elizondo de 1785 avait placé trois bornes (une première à sa confluence avec la "rivière de val-carlos" actuelle Nive d'Arnéguy, une seconde "au-dessus du chemin d'ondarrolla à arneguy" et la troisième près de "la source du ruisseau"), je repassais par mon point de départ. Après avoir suivi la petite route goudronnée qui mène à la ferme Pelloenea, je la quittais (500 m.) pour réaliser une montée sauvage afin de suivre la crête en longeant un muret de pierres sèches, puis en louvoyant entre les arbres, pour ensuite traverser des zones d'épineux et d'orties, remonter des prés parfois très raides, enjamber des clôtures de barbelé quand il n'y avait pas de passage possible. Après avoir fait de nombreuses recherches sur les rochers pour essayer de trouver des traces d'abornement de l'époque concernée, je parvenais au sommet du pic de Beillurti à 11 h45. Dans la descente retour, sous le col Héganzo, j'avais commencé à suivre un itinéraire fléché "Arnéguy" et balisé d'un trait jaune que j'abandonnais, en le laissant filer vers l'Est peu après Ahastako Borda, pour rester sur la crête qui sépare les ravins de Halzéguiko Erréka et de Jatsatéguiko Erréka. Après avoir traversé un pont pour faire une brève visite à un vieux moulin en ruine situé sur la rive gauche de la Nive d'Arnéguy à Valcarlos, je fis demi-tour pour retrouver la rive droite et la route D 128. J'étais de retour à la voiture à 13 h40 après un dénivelé positif d'environ 1000 mètres pour autant de négatif.

    Carte IGN 1:25000 Saint-Jean-Pied-de-Port Saint-Etienne-de-Baïgorry Vallée des Aldudes 1346 OT.

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