• (020) Vallées de Luz Gèdre Gavarnie - Secteur Gavarnie Gèdre

    * Soum Blanc de Secugnat (2577 m.) depuis le virage en épingle après le pont de Saugué

    * Soum Braqué (2304 m.) par le Pourteillou col (2238 m.) depuis la route de Saugué (1420 m.) sur neige en raquettes

    * Soum d'éts Mèyts ou les Meyts (2509 m.) et crête Ouest du Soum Blanc de Sécugnat (2435 m.) depuis la cabane de Milhas

    * Pic de Lourdes Oriental (2646 m.) et pic du Cardal (2569 m.) depuis l'Espugue de Millas

    * Pic Crabère (2590 m.) depuis l'Espugue de Millas

    * Pic de Gabiet (2716 m.) depuis l'Espugue de Millas

    * Pic des Sècres (2608 m.) depuis l'Espugue de Millas

    * Pic de Saint André (2608 m.) et pic du Port Vieux (2603 m.) depuis le col de Tentes

    * Soum Blanc des Espécières (2685 m.) pic du Port Vieux (2603 m.) et pic Entre les Ports (2476 m.) depuis le col de Tentes

    * Pic de Lary (2397 m.) depuis le virage en épingle sous la station de Gavarnie les Espécières sur neige en raquettes

    * Pic de Tentes (2322 m.) et pic de la Pahule (2292 m.) depuis le col de Tentes

    * Pic de la Pahule (2292 m.) en circuit par les Tousaus depuis le virage en épingle sous la station de Gavarnie les Espécières

    * Pic Mourgat (2103 m.) après un circuit botanique à Pouey Arraby depuis la station de Gavarnie les Espécières

    * Pimené (2801 m.) depuis le village de Gavarnie

    * Cirque d'Estaubé et sommet Nord de la Hourquette d'Alans (2521 m.) depuis le barrage des Gloriettes

    * Turon de Pouey Boucou (2017 m.) depuis la chapelle de Héas sur neige en raquettes

    * Vierge du cirque de Troumouse (2134 m.) depuis la chapelle de Héas sur neige en raquettes

    * Soum de Port Bieil (2846 m.) par les pics de Bouneu (2726 m.) et de Gabiédou (2809 m.) depuis le cirque de Troumouse

    * Pic de la Géla (2851 m.) depuis la chapelle de Héas

     

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    * 27 juillet 2020, depuis le bord de la route D 128 (1714 m.) à l'Ouest du Turon de Cout et à l'Ouest de Gavarnie, en traversant le gave d'Ossoue puis direction Ouest-Sud-Ouest l'Espugue de Millas ou Glères de Milha pour, après être passé près de la croix numéro 9 de l'abornement des sept quartiers d'Ossoue, aller franchir la croupe située au Sud-Ouest du Garròc de Milha et remonter à flanc les Garrocs Blancs puis la rive droite de l'étranglement où coule le ruisseau situé à l'Ouest du ruisseau la Canau, récupérer le sentier balisé du GR 10 vers 1930 mètres et le suivre à gauche direction Sud pour le quitter peu après avoir traversé le ruisseau du Lécadé en laissant à gauche la cabane de Lourdes ou cabane des Espagnols (1947 m.) pour monter direction Sud-Ouest, puis Sud-Sud-Ouest (2020 m.), passer sur le flanc Oriental (à gauche) de la cote 2106 jusqu'à rencontrer le ruisseau qui va s'écouler dans la vallée de la Canau afin de le remonter dans son lit direction Sud-Sud-Ouest, parvenir sur un plateau (2210 m.), passer sur la rive Occidentale (à droite) du lac du Cardal (2221 m.), remonter le vallon du Pla d'éras Oulètes d'et Cardal jusqu'au col du Cardal (2361 m., croix frontière numéro 316) pour y suivre la crête frontière à gauche direction Sud puis Sud-Ouest (2434 m.) afin de parvenir au sommet du pic Crabère ou pic Cabrère ou Crapera ou encore Punta o Cardal  (2589 m., 2590 m., 2591 m. ou encore 2592 m. selon les cartes), suivre la crête au Sud jusqu'au col (2545 m.) qui le sépare du Tuc dé Crabère, y continuer la descente dans le vallon direction Est-Nord-Est pour le quitter (2400 m.) en allant franchir à droite la base des rochers de la crête Nord-Est du Tuc dé Crabère où on trouve des traces de sentes qui permettent de réaliser une traversée presque horizontale à flanc en direction Sud, puis commencer à descendre hors traces direction Est sur les pentes herbeuses du flanc Nord du pic de la Bernatoire pour parvenir au Pla de la Coume où on rejoint le sentier descendant du col de la Bernatoire (2270 m.) qui mène direction générale Nord-Nord-Est, en suivant la rive gauche du ruisseau de Lourdes ou Arriu d'éra Canau coulant dans la vallée de la Canau, près de la cabane de Lourdes ou des Espagnols (1947 m.) où on récupère le sentier qui ramène au point de départ.

    Les places pour garer un véhicule le long de la route qui monte vers le barrage d'Ossoue étaient rares, je n'avais jamais vu autant de voitures, de camping-cars et de vans. Gros coup de chance ! J'ai réussi à trouver une petite place pour ma voiture non loin de là où je le souhaitais, à la sortie de la courbe qui contourne le Turon de Cout, entre deux vans qui en ces temps d'épidémie de Covid-19 ont le vent en poupe. Parti à 6 h45, à 7 h35 je parvenais à l'entrée du plateau de la cabane de Lourdes ou des Espagnols, où un gros taureau écorné, isolé et heureusement pacifique, passera à moins de 10 mètres de moi. A 7 h45 je laissais la cabane à gauche pour monter hors traces à la recherche du ruisseau qui s'écoule du vallon suspendu où dort le beau petit lac du Cardal. Je suis passé sur le flanc Oriental (à gauche) de la cote 2106, alors que le passage est plus aisé en passant à l'Ouest (à droite) où il y a un sentier qui remonte un peu au-dessus de la rive gauche du ruisseau et que j'ai rejoint ou plutôt qui m'a rejoint sur la rive droite juste avant de déboucher sur le plateau (2210 m.). De 8 h45 à 9 heures je faisais une pause près du lac du Cardal. Après être passé au col du Cardal, près duquel on peut voir la croix frontière numéro 316 gravée sur un rocher situé à une vingtaine de mètres au Sud-Ouest (les chiffres 3 et 1 sont gravés à l'envers), et avoir gravi la crête terminale devenant de plus en plus raide, à 10 h20 je parvenais au sommet du pic Crabère. Superbe panorama ! Ce sommet est nommé pic Crabère et coté 2590 par l'IGN français, il est nommé pic Crabère et coté 2592 sur la carte d'Alphonse Meillon, il est nommé pic Cabrère et coté 2591 par l'IGN espagnol, il est nommé pic Crabère o (ou) Crapera et coté 2589 par l'Editorial alpina et il est nommé Punta o Cardal et coté 2589 par Prames. A 10 h50 je commençais la descente en suivant la crête facile qui mène au col coté 2545. Le sommet qui fait face, nommé Tuc dé Crabère et coté 2589 sur la carte d'Alphonse Meillon, présente un aspect peu engageant qui ne m'a pas attiré, je n'avais pas fais suivre les protections pour mes nouveaux genoux (genouillères de volley-ball) et avec un lumbago qui me suit depuis quelques jours arf ... Suivre le fil de sa crête Nord-Ouest semble être la moins mauvaise des solutions pour le gravir. Aucune voie facile n'est évidente contrairement à ce que j'ai lu sur mendikat.net dans sa description du "Pic Cabrère" et je vous déconseille de suivre la voie qui est tracée sur leur photo qui représente la crête Sud-Est du Tuc dé Crabère et non le pic Crabère. Plus bas, il faut quitter le vallon vers 2400 mètres, juste avant qu'il ne fasse un étranglement, pour basculer à droite en allant franchir, face au Gabiet, la base des rochers de la crête Nord-Est du Tuc dé Crabère à hauteur d'une pierre dressée (Cairn). On évite ainsi de se retrouver bloqué au-dessus de barres rocheuses. La traversée à flanc presque horizontale qui suit se déroule sur herbe avec quelques raides éboulis à franchir. Après une descente prudente, à midi je rejoignais le sentier descendant du col de la Bernatoire. Après avoir "piqué" plusieurs fois la tête dans les eaux de Lourdes (ruisseau de Lourdes ou Arriu d'éra Canau), et avoir fait une pause de 13 h05 à 13 h15 près de la cabane de Lourdes ou cabane des Espagnols, je retrouvais ma voiture à 13 h45 après un dénivelé positif d'environ 950 mètres pour autant de négatif et une très chaude journée ensoleillée glasses et bien fleurie. Si je n'ai rencontré personne lors de la montée, dans la vallée de la Canau il y avait de nombreux randonneurs, plusieurs troupeaux de vaches espagnoles ainsi que quelques taureaux qui profitaient des pâturages des Sept quartiers de la montagne d'Ossoue

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur parc National des Pyrénées 1748 OT.

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    * 5 juillet 2019, depuis le bord de la route D 128 (1714 m.) à l'Ouest du Turon de Cout et à l'Ouest de Gavarnie, en traversant direction Ouest-Sud-Ouest l'Espugue de Millas pour aller remonter la rive droite du ruisseau qui coule à l'Ouest du ruisseau la Canau, récupérer le sentier balisé du GR 10 vers 1930 mètres et le suivre vers le Sud pour passer près de la cabane de Lourdes (1947 m.) où on laisse filer Sud-Sud-Ouest le sentier du col de la Bernatoire pour descendre traverser la passerelle qui enjambe le ruisseau de Lourdes, laisser filer à gauche vers le Nord-Est le sentier balisé du GR 10 et remonter hors traces les pentes herbeuses direction Sud-Est, puis Est-Nord-Est sur une inclinaison de plus en plus raide pour rejoindre une sente vers 2100 mètres, la suivre à gauche direction Nord-Est afin d'atteindre une cuvette où on abandonne la sente pour aller chercher à droite Sud-Est la crête Nord du pic des Sècres à hauteur d'un petit col (2140 m.), remonter à droite pleine crête direction Sud en passant par les points cotés 2266, 2465 et 2508 avant de parvenir au sommet du pic des Sècres ou pic de Sècres (2607 m., 2608 m. ou 2609 m. selon les cartes) pour revenir par le même itinéraire.

    Ce sommet d'abord nommé "Pic de Sedres" par A-H Dufour, puis "pic de Secres" sur le cadastre napoléonien de 1836, "Pic de Sègres" sur la carte Garnier en 1864, "pic de Segres" par Edouard Wallon (1821-1895), "Pic de Sègres" puis "Pic de Serres" par Alphonse Meillon qui le nomme finalement "Pic de Sècres" sur sa carte au 1:20000 du massif du Vignemale de 1935, "Pic des Secres" par l'IGN français sur sa carte au 1:50000 et par l'IGN espagnol sur sa carte au 1:25000, pour terminer il est nommé "Pic des Sècres" par l'IGN français sur sa carte au 1:25000.  

    Je partais à 7 h15, avec l'intention de "sortir des sentiers battus" en essayant de monter au sommet du pic des Sècres par sa crête Nord, négligé des guides et topos de randonnées. L'itinéraire est classique jusqu'à la cabane de Lourdes. A partir du ruisseau de Lourdes on quitte le sentier balisé du GR 10, plus de traces ni de cairns, la pente herbeuse devient de plus en plus raide et j'ai édifié quelques cairns avant d'atteindre une sente vers 2100 mètres. Cette sente traverse la crête Nord du pic des Sècres dans une cuvette herbeuse, au Sud de la cote 2142, où on la laisse filer vers la vallée de Sausse dessus pour rejoindre un petit col (2140 m.) où j'ai également édifié un cairn et où un isard qui dévalait la crête Nord dans ma direction m'est passé à moins d'une dizaine de mètres. La remontée de la crête est assez facile avec quelques raides passages herbeux et rocheux où il faut par endroits s'aider des mains où en plus des cairns que j'ai réalisé j'ai rajouté parfois un fléchage directionnel à la craie pour faciliter le retour. Il subsistait deux névés contournables par la droite et après deux passages aériens je parvenais au sommet du pic des Sècres ou pic de Sècres à 12 h25. Quel panorama !, Pimené, Marboré, Monte Perdido, Brèche de Roland, Taillon, Gabiet au premier plan, Tendeñera, Vignemale, pics de la Sède et de Labas secteur où un hélicoptère faisait des rotations pour récupérer Rafa (RCM)* le malheureux montagnard basque espagnol, avec qui j'avais fait quelques échanges sur le forum de "Pirineos 3000", disparu le 28 juin dans cette si belle mais inhumaine montagne. Il semble possible de revenir en boucle par le Pla des Sècres et le col de la Bernatoire. A 13 heures je quittais le sommet pour revenir avec prudence par le même itinéraire afin de rajouter quelques cairns aux emplacements stratégiques. De 14 heures10 à 15 heures je réalisais une pause restauration en terrasse face au Pimené et Marboré, au bord d'un laquet aux eaux rouges. Après une halte rafraîchissante dans le ruisseau de Lourdes aux "eaux miraculeuses", à 16 h15 je retrouvais ma voiture après un dénivelé positif d'environ 950 mètres pour autant de négatif et une très chaude journée ensoleillée glasses et bien fleurie.

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur parc National des Pyrénées 1748 OT. 

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    * 11 septembre 2016, depuis le virage en épingle de la route de Saugué (1560 m.), situé environ 250 mètres après le pont de Saugué qui enjambe le gave d'Aspé, au Sud-Ouest de Gèdre, pour suivre direction Ouest la piste interdite aux véhicules non autorisés qui démarre dans ce virage, remonter à gauche derrière la dernière grange pour arriver sur un enclos où on vire à droite pour suivre un large sentier qui prend une direction générale Ouest-Sud-Ouest au-dessus de la rive droite du gave d'Aspé, après un peu plus de deux kilomètres quitter le sentier, près du pluviomètre mentionné sur la carte IGN (1745 m.), pour parvenir à gauche et au Sud à un enclos (1750 m.), remonter les pelouses direction Sud-Ouest, basculer à droite en suivant une sente pour aller remonter le raide petit vallon direction Sud, passer près d'un gros rocher (1860 m.) à partir d'où on continue la progression direction générale Sud-Ouest vers le point coté 1922 pour atteindre une cuvette (1950 m.) que l'on dépasse en remontant à droite, puis continuer la progression direction générale Ouest-Sud-Ouest (2000 m.) vers  Pène d'Eras Autous, parvenir sur une large croupe herbeuse (2270 m.) située à gauche d'un vallon d'éboulis qui buttent sur une falaise verticale formant un petit cirque, la remonter Sud-Sud-Est, contourner par la gauche la partie rocheuse et remonter Sud sur des traces de sentes recouvertes de petits éboulis dans une raide zone de rochers affleurants, prendre pied sur une selle herbeuse (2432 m.) et remonter directement Sud-Sud-Ouest la pente herbeuse qui permet d'atteindre la crête (2520 m.) que l'on suit à droite direction Ouest jusqu'à atteindre le sommet du Soum Blanc de Secugnat ou Soum Blanc de Sécugnat ou pic Blanc de Sécugnac (2577 m.), continuer sur la crête Ouest au-delà de la cote 2568, jusqu'à 2550 mètres et revenir, après être repassé sur le sommet principal, par le même itinéraire.

    Parti à 7 h20, après avoir remonté une raide pente herbeuse et hors traces au-dessus de l'enclos (1750 m.), à 8 h40 je passais près du gros rocher (1860 m.). La suite du parcours en direction générale Sud-Ouest jusqu'à la large croupe herbeuse (2270 m.) est très confuse et il faudra bien y faire attention au retour car il y a de nombreuses barres rocheuses qu'il faut éviter et de raides pentes herbeuses où il faut louvoyer pour trouver les meilleurs passages. C'est pour ces raisons que j'ai perdu du temps à reconstruire les nombreux cairns écroulés afin de les rendre visibles, à en rajouter d'autres et à tracer des fléchages à la craie bleue ^^ . De 11 h30 à 12 heures j'étais au sommet en train de savourer le magnifique panorama dévoilé par ce "modeste" sommet. Après avoir prolongé ma visite sur la crête Ouest jusqu'à 2550 mètres où elle plonge verticalement dans une brèche, j'ai fait demi-tour pour repasser au sommet à 12 h25 et après une descente prudente mais confortable grâce à mes repères réalisés à la montée je repassais à 14 h15 à l'enclos (1750 m.), près du pluviomètre mentionné sur la carte IGN. A 14 h50 je retrouvais ma voiture après environ 1100 mètres de dénivelé positif pour autant de négatif et une superbe journée chaude et ensoleillée glasses où je n'ai rencontré personne.

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

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    * 29 octobre 2014, depuis le virage en épingle qui tourne à gauche (1730 m.) sous la station de Gavarnie-Gèdre-les Espécières, en bordure de la route D 923 qui monte de Gavarnie au col de Tentes, en suivant le sentier direction Nord qui traverse le ruisseau de Peyrenère (1750 m.) pour y virer direction Est puis Ouest-Nord-Ouest (1760 m.), parvenir à la cabane des Tousaus (1827 m.) pour y faire demi-tour en montant à flanc direction Sud-Est pour aller traverser le ruisseau issu du pic de Lary (1880 m.) et monter sur le mamelon situé rive droite nommé Turonnet de Peyrenère (1885 m., croix numéro 20 de l'abornement des sept quartiers de la montagne d'Ossoue), en descendre en suivant Est-Nord-Est le ruisseau de Peyrenère puis la croupe orientée Est qui permet de retrouver le sentier de départ (1760 m.) qui ramène dans le virage en épingle que décrit la route D 923 (1730 m.) puis passage dans le défilé du ruisseau de Holle par la rive gauche, au dôme situé sur la rive droite et coté 1856, à la station de ski de Gavarnie Gèdre les Espécières (1850 m.) puis direction générale Est montée au col de Mourgat (2045 m) pour y suivre la crête direction Sud-Ouest, passer aux cotes 2092 et 2174 pour parvenir au sommet du pic de la Pahule (2292 m.), en descendre en suivant la crête Sud-Ouest pour la quitter (2240 m.) afin de continuer la descente direction Nord-Ouest pour trouver une piste rouge "Gypaète" qui ramène, direction générale Nord-Est, à la route D 923 afin d'aller retrouver le point de départ.  

    J'étais parti avec l'intention de trouver quelques nouvelles traces de l'abornement des sept quartiers de la montagne d'Ossoue, réalisé en exécution de l'article 15 du traité de délimitation signé à Bayonne le 14 avril 1862. Ces sept quartiers de la montagne d'Ossoue (de Pouey Aspé, des Especières, de Pouey Arraby, de Sécrès, de Pla-Laccoum, de Pouey Mourou et de Lacoste) sont la propriété commune de la vallée française de Baréges et de la vallée espagnole de Broto, ils sont compris dans la circonscription cadastrale de la commune de Gavarnie.
    Parti à 8 h45, je passais à la cabane dèts Toussaous ou d'Estoussausse ou encore de Tousaus pour "ratisser" tout le secteur afin d'essayer de retrouver l'abornement numéro 19 (gravé sur "les rochers au-dessus de la Cabane dèts Toussaous, à 600 mètres du repère antérieur"). Je n'ai rien trouvé ! Vers 1845 mètres je passais près d'un semblant de croix gravée sur un rocher presque carré. Je passais ensuite près de la croix numéro 20 de l'abornement des sept quartiers de la montagne d'Ossoue [réalisé "sur un mamelon appelé Turonnet de Peyrenère, situé à la rive droite du ruisseau et à côté des Baz (réservoirs) du même nom", "à 250 mètres de la croix précédente"]. La croix et son numéro étaient gravés sur une pierre à fleur de terre et étaient en partie cachés sous la végétation que j'ai dû dégager. Le procès-verbal d'abornement de 1862 prècise que le Turonnet de Peyrenère est situé sur la rive droite du ruisseau de Peyrenère, la carte IGN est discordante ! Ayant ensuite "ratissé" en vain le secteut de la station de ski de Gavarnie Gèdre les Espécières  pour rechercher la croix de l'abornement numéro 21 (réalisé "A 1100 mètres au delà, au trot ou passage de Lapahule, sur un rocher qui regarde le Nord et à coté du passage"), je décidais d'aller voir si elle n'était pas située sur les crêtes du pic de la Pahule. Ayant quitté la station à 11 heures, 25 minutes plus tard je passais au col de Mourgat. La crête Nord-Est du pic de la Pahule est très raide, herbeuse avec du "Gispet la gueule", la progression fut laborieuse. A 12 h25 j'arrivais enfin au sommet du pic de la Pahule que je quittais à 12 h45 après avoir profité du superbe panorama qui m'était offert. Les pentes herbeuses situées sous la crête Sud-Ouest du pic de la Pahule sont par endroits très raides. J'ai dû faire quelques acrobaties pour éviter les deux bulldozers qui encombraient la piste rouge "Gypaète", qui avait été en partie emportée par des éboulements de terrain. J'étais de retour à la voiture à 13 h30 après un dénivelé positif d'environ 700 mètres pour autant de négatif. Superbe journée ensoleillée avec de nombreuses fleurs dont des Gentianes printanières sur l'ensemble du circuit.
     
    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT. 

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    * 31 juillet 2014, depuis l'aire de stationnement de la station de ski de Gavarnie Gèdre les Espécières, en bordure de la route D 923 (1850 m), descente au Nord-Ouest pour traverser le ruisseau de Holle (1800 m) et remonter plein Nord vers Peyrenère pour aller couper la crête Est-Nord-Est du pic des Ligades entre les cotes 2002 et 1961, passer à Peyrenère, descendre plein Nord pour aller rejoindre le sentier balisé rouge et blanc du GR 10 (1850 m) et le suivre à gauche direction générale Ouest pour traverser la montagne de Pouey Arraby, passer aux cotes 1887, 1904, 1906, 1887, 1903, traverser le ruisseau de Sausse pour faire demi-tour à la cabane de Sausse dessus (1900 m) et revenir par le même itinéraire après un crochet par une cabane EDF et par la cabane dèts Toussaous ou d'Estoussausse ou encore de Tousaus (1820 m) pour repasser à la station de ski afin de traverser la route D 923, monter direction générale Est pour passer au col de Mourgat (2045 m), gravir au Nord-Est le pic Mourgat (2103 m), en descendre au Nord-Est pour infléchir à l'Ouest (1941 m) puis au Sud-Ouest en réalisant une traversée horizontale à flanc pour aller retrouver l'aire de stationnement de la station de ski.

    J'étais parti pour faire un circuit botanique avec également l'intention de trouver quelques nouvelles traces de l'abornement des sept quartiers de la montagne d'Ossoue, réalisé en exécution de l'article 15 du traité de délimitation signé à Bayonne le 14 avril 1862. Ces sept quartiers de la montagne d'Ossoue (de Pouey Aspé, des Especières, de Pouey Arraby, de Sécrès, de Pla-Laccoum, de Pouey Mourou et de Lacoste) sont la propriété commune de la vallée française de Baréges et de la vallée espagnole de Broto, ils sont compris dans la circonscription cadastrale de la commune de Gavarnie.
    Parti à 7 h45, je réalisais un parcours hors sentier avec pour seules rencontres des marmottes et de nombreuses variétés de fleurs dont certaines endémiques des Pyrénées (Iris, Pédiculaire, Germandrée...), jusqu'à ce que j'emprunte le sentier balisé rouge et blanc du GR 10, un peu à l'Ouest de la cabane dèts Toussaous ou d'Estoussausse ou encore de Tousaus. Après une traversée presque horizontale avec de légères montées et descentes, à 10 h40 je passais à la cabane de Sausse dessus qui était fermée à clef. Au Sud de cette cabane, dans l'estive de la vallée de Sausse dessus les vaches de la vallée de Broto, certaines marquées d'un "B" sur le flanc gauche, y étaient nombreuses. Après de vaines recherches de l'abornement numéro 13 (réalisé sur une grande roche "à 90 mètres à l'Ouest du torrent de Saussé-dessus qui sépare les quartiers de Sécrès et de Pouey-Arraby"), je débutais le retour à 11 h30. Pas plus de succès dans mes recherches des abornements numéro 14 vers la cote 1903 (réalisé 260 mètres après le 13, "sur une pierre à fleur de terre, dans un petit col au Sud du Turonnet de Fartaloubien"), numéro 15 vers la cote 1887 (réalisé "Sur une grande pierre plate, à 180 mètres en avant, et à 60 mètres au Sud-Est du Turon de Pouey-Arraby ou Tozal rédondo de Puirrabin"), numéro 16 vers la cote 1867 (réalisé "A 200 mètres au delà, sur une roche touchant la cabane de Pouey-Arraby, et à 3 mètres au Sud de la fontaine du même nom"), numéro 17 vers la cote 1887 (réalisé "Au Trot ou passage de Pouey-Arraby, sur un rocher au bord du chemin, à 1280 mètres du n°16") et numéro 18 (réalisé "A 400 mètres plus loin, sur une arête rocheuse qui descend de la Montagnette, et qui marque la limite entre les quartiers de Pouey-Arraby et des Espécières"). De 13 heures à 13 h15 j'étais dans le secteur de la cabane dèts Toussaous ou d'Estoussausse ou encore de Tousaus pour essayer de retrouver l'abornement numéro 19 (gravé sur "les rochers au-dessus de la Cabane dèts Toussaous, à 600 mètres du repère antérieur"). Je passais ensuite dans le secteur de l'abornement numéro 20 (réalisé " Au Turonnet de Peyrenère, à 250 mètres de la croix précédente" "A coté des Baz (réservoirs) du même nom". A 14 h30 je traversais le ruisseau de Holle pour rechercher l'abornement numéro 21 (réalisé "A 1100 mètres au delà, au trot ou passage de Lapahule, sur un rocher qui regarde le Nord et à coté du passage") pour retrouver le parking à 14 h35. En face de moi, plein Est, le pic Mourgat qui se détache fièrement de la crête ensorcelait mon regard. A 14 h40 mes jambes décidaient de se remettre en marche pour y faire une visite et après une montée assez rapide direction générale Est  je passais au col de Mourgat (non nommé sur la carte IGN) à 15 h10. La suite sera moins rapide et plus laborieuse, tout d'abord sur une raide pente herbeuse/terreuse/caillouteuse puis les mains seront de la partie pour en découdre avec la crête rocheuse de droite, où l'endémique Saxifrage à longues feuilles/Saxifraga longifolia était bien représentée, pour revenir ensuite à gauche en traversée horizontale sur du rocher très incliné avec de minces prises afin de joindre la cheminée qui débouche à gauche du sommet du pic Mourgat où je parvenais à 15 h29. Superbe vue sur le cirque de Gavarnie et ses sommets ! A 15 h40 je commençais la descente au Nord-Est, à gauche de la crête, vers l'abornement numéro 22 (réalisé "Sur un rocher au Sud du passage, au Pourtillou de Mourgat, à 600 mètres du pic du même nom, et à 730 du Trot de la Pahule").pour aller retrouver ma voiture à 16 h25 après un dénivelé positif d'environ 800 mètres pour autant de négatif. Superbe journée ensoleillée lors de laquelle je n'ai rencontré des gens que sur le GR 10 et sur le parking de la station de ski.
       
    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT. 

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    * 10 juillet 2014, depuis la cabane de Milhas en bordure de la piste qui prolonge la route D 128 (1680 m.) au Sud-Est du Turon de Cout et à l'Ouest de Gavarnie, en montant Nord-Nord-Est pour passer au Pla de las Salèras ou Salieras, non nommé par l'IGN (1780 m., croix numéro 6 de l'abornement des sept quartiers de la montagne d'Ossoue), continuer direction Est-Sud-Est pour passer près de la croix numéro 5 (1800 m.), puis direction Est jusqu'à la croix numéro 4 (1823 m.) pour y infléchir Est-Nord-Est et ensuite virer Nord (1900 m.) pour remonter le ravin puis la zone d'éboulis qui mènent au col d'Aspé ou de Pla Coummunau (2281 m), y continuer à droite direction Est pour remonter une partie de la crête Ouest du Soum Blanc de Sécugnat passer au sommet coté 2435, sur une pointe (2435 m.) et faire demi-tour à la brèche suivante pour revenir au col d'Aspé ou de Pla Coummunau (2281 m) et remonter en face sur la crête de Labassà, direction Ouest-Nord-Ouest, passer à la cote 2349, au sommet du Soum de Labassa ou Soum d'èt Labassà (2388 m), au col coté 2366, aux cotes 2418 et 2474 pour atteindre le sommet du Soum d'éts Mèyts (2509 m) nommé les Meyts par l'IGN, revenir au col d'Aspé ou de Pla Coummunau (2281 m), descendre direction générale Sud pour retrouver l'itinéraire de montée (1900 m.), le suivre vers l'Est  jusqu'au Pla de las Salèras ou Salieras (1786 m.) pour y suivre un chemin direction Ouest-Nord-Ouest qui ramène sur la piste du barrage d'Ossoue, traverser le gave d'Ossoue (1710 m.) pour aller contourner le Turon de Cout par le Nord, puis aller longer la base orientale du Carrot de Milha ou Millas direction Sud-Ouest pour parvenir à l'Espugue de Milha ou Millas (1720 m.), revenir Est récupérer la piste du barrage d'Ossoue (1710 m.)  qui ramène à droite à la cabane de Milhas et 300 mètres avant de l'atteindre descendre traverser à droite le gave d'Ossoue pour longer sa rive droite Sud-Est  jusqu'au Pla de Salces (1660 m.) et revenir au Nord-Ouest à la cabane de Milhas (1680 m.).

    J'étais parti pour faire un circuit avec l'intention de trouver quelques traces de l'abornement des sept quartiers de la montagne d'Ossoue, réalisé en exécution de l'article 15 du traité de délimitation signé à Bayonne le 14 avril 1862. Ces sept quartiers de la montagne d'Ossoue (de Pouey Aspé, des Especières, de Pouey Arraby, de Sécrès, de Pla-Laccoum, de Pouey Mourou et de Lacoste) sont la propriété commune de la vallée française de Baréges et de la vallée espagnole de Broto, ils sont compris dans la circonscription cadastrale de la commune de Gavarnie.
    Parti à 7 h15, après une raide montée en pelouse et dans un petit talweg à sec, je parvenais sur une zone herbeuse presque plane, nommée Pla de las Salèras ou Salieras, où il y a des traces de sentier. Sur un gros rocher presque carré situé à une trentaine de mètres au Sud du sentier, il y est gravé une croix constituée d'un trait vertical de 20 centimètres coupé de deux branches horizontales, de 7 centimètres pour celle du haut et 10 centimètres pour celle du bas, avec en dessous son numéro d'ordre "6" gravé à l'envers.  C'est très certainement le même graveur qui a réalisé cet abornement et celui de la frontière internationale franco-espagnole, où tous les chiffres de la croix frontière numéro 315 du Port du Pla d'Aube et les deux premiers chiffres de la croix frontière numéro 316 du col du Cardal sont gravés à l'envers. En suivant les traces du sentier, et après une traversée à flanc qui mène à un petit vallon suspendu, environ 250 mètres au-delà de la croix numéro 6, il y a un mamelon au Sud du sentier avec un groupe de rochers sortant du sol. Sur l'un des premiers rochers il y est gravé la même croix que la précédente avec également son numéro d'ordre "5" gravé à l'envers. J'ai passé un peu plus d'une heure à chercher la croix numéro 4, qui, selon le procès-verbal d'abornement est située à 260 mètres "sur une grande pierre blanche". Ca semblait clair et pourtant j'y étais passé à coté sans la voir, cachée par la végétation elle est gravée sur une pierre gris-beige, de même style que les précédentes, avec également son numéro d'ordre "4" gravé à l'envers. C'est par hasard que je la trouverai lors de mon passage de retour. Après une raide remontée en pelouse puis sur des éboulis croulants avec par endroits des traces de sentier, je passais au col d'Aspé ou de Pla Coummunau à 9 h55. Le procès-verbal d'abornement signalant la première croix gravée "Sur un rocher blanc à la naissance du Barrancou ou ravin de Coumaciouse, près de la dernière crête susmentionnée.", Alphonse Meillon précisant "sur un roc blanc vertical un peu en dessous de la crête... à 500 mètres environ à l'ouest du pic Blanc de Sécugnac.", je décidais donc de remonter une partie de la crête Ouest du Soum Blanc de Sécugnat afin d'explorer toutes les zones situées sous les échancrures de la crête, versant Sud dominant la vallée d'Ossoue, à la recherche de rochers blancs. Si le début de la crête est peu raide et herbeux , la suite est assez raide avec des passages aériens sur la crête où il faut bien tester les prises car certains rochers ne demandent qu'à se détacher. Après être passé au sommet d'une pointe, à la brèche suivante j'étais contraint de faire demi-tour à 11 heures, au pied d'un grand gendarme pas "gentil", après avoir quand même réussi à descendre de quelques mètres en longeant la base de ces falaises Sud sur un semblant de sente où je n'ai pas trouvé la croix numéro 1. De retour au col d'Aspé ou de Pla Coummunau à 11 h30, deux Gypaètes sont passés plusieurs fois au-dessus de moi. Je décidais de remonter en face la crête de Labassà pour passer au sommet du Soum de Labassa ou Soum d'èt Labassà et suivre cette crête jusqu'au sommet du Soum d'éts Mèyts, nommé les Meyts par l'IGN, atteint à 13 h45. Les nuages empêchant de voir le proche pic de Labassa, le Vignemale et les hauts sommets du secteur, je repartais un quart d'heure plus tard pour repasser une troisième fois au col d'Aspé ou de Pla Coummunau et c'est dans la descente que je réalisais en partie un peu plus à l'Ouest que l'itinéraire du montée, et après de nouvelles recherches, que je découvrais par hasard la croix numéro 4. A 16 heures je retrouvais la piste du barrage d'Ossoue pour aller ensuite visiter à l'Ouest l'Espugue de Milha ou Millas, puis au Sud-Est le Pla de Salces avant de retrouver ma voiture à 17 h45 après un dénivelé positif d'environ 1300 mètres pour autant de négatif et une journée assez bien ensoleillée malgré les nuages qui ont empêché, pendant une grande partie de la journée, de voir les plus grands sommets du secteur.       

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

    Voir galerie photos Soum d'éts Méyts ou les Meyts



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    * 4 septembre 2001, depuis l'aire de stationnement du col de Tentes (2208 m.) au terminal de la route D 923 au-dessus de Gavarnie, en suivant la crête à Est-Nord-Est pour passer à la cote 2289, au sommet du pic de Tentes (2322 m.), aux cotes 2254, 2237, au sommet anonyme (2261 m.), au col coté 2235, au sommet du pic de la Pahule (2292 m.) pour revenir par le même itinéraire au col de Tentes (2208 m.), continuer à l'Ouest pour faire le tour du lac des Espécières (2195 m.) et revenir au point de départ.

    Avec Jean-Marc nous avons mis 1 h30 aller et retour Col de Tentes-pic de la Pahule et 40 minutes de plus pour l'aller et retour col de Tentes-lac des Espécières, avec un dénivelé positif de 350 mètres pour autant de négatif.

    Nous étions dans le brouillard jusqu'à 2300 mètres ce qui fait que nous n'avions une vue dégagée qu'aux sommets du pic de Tentes et du pic de la Pahule, au-dessus de la mer de nuages.

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

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    * 8 septembre 2011 depuis l'aire de stationnement située au terminal de la route D 176 près du barrage des Gloriettes (1668 m.), traversée du barrage pour longer direction Nord-Est puis Sud la rive Gauche du lac des Gloriettes, remontée toujours plein Sud de la rive gauche de la vallée d'Estaubé, puis montée direction générale Sud-Ouest (1850 m.), et direction Sud-Sud-Est à partir de la bifurcation de la Hourquette d'Alans (2220 m.) qu'on laisse filer à droite, comme on laisse filer à droite un peu plus loin (2240 m.) l'itinéraire de la brèche de Tuquerouye, pour continuer direction générale Est-Sud-Est jusqu'au Port Neuf de Pinède ou Puerto de Pineta (2466 m.), monter à droite Sud-Ouest jusqu'à la croix frontière numéro 320 (2475 m.) et revenir au Port Neuf de Pinède afin de monter au Nord-Est sur la crête jusqu'à 2510 mètres, repasser au Port Neuf de Pinède, pour arriver à la bifurcation de la Hourquette d'Alans (2220 m.) et y suivre le sentier qui en direction Nord puis Ouest mène à la Hourquette d'Alans (2430 m.) afin de basculer sur l'autre versant en suivant le sentier qui descend direction Nord-Nord-Est sur le flanc Occidental pour l'abandonner (2400 m.) afin de monter à flanc direction Nord sur des éboulis, puis infléchir à l'Est pour gravir la raide pente herbeuse et rocheuse afin de prendre pied sur la crête et la suivre au Nord jusqu'au sommet Nord de la Hourquette d'Alans (2521 m.) (sommet coté mais non nommé par l'IGN), en descendre en suivant la crête Est pour la quitter en poursuivant Sud-Est sur le raide versant Oriental herbeux afin de retrouver le sentier de la Hourquette d'Alans (2280 m.) qui ramène au point de départ.

    Parti à 7 h30, je passais à la hauteur de la cabane d'Estaubé à 8 h22, à la bifurcation de la Hourquette d'Alans à 9 h37 et à la première bifurcation de la Brèche de Tuquerouye à 9 h49. Bien après cette première bifurcation que j'avais emprunté les deux fois où j'étais monté à la brèche de Tuquerouye, en arrivant sur une autre bifurcation je me suis engagé sur le sentier de droite qui est bien tracé et copieusement cairné. Ce n'est que vers 2320 mètres, en arrivant sous la Borne de Tuquerouye, que je me suis aperçu de mon erreur, j'étais sur un autre itinéraire qui mène à la brèche de Tuquerouye. En traversant direction générale Est, à 10 h23 je retrouvais le sentier du Port Neuf de Pinède vers 2225 mètres, à l'entrée d'un grand pierrier. J'arrivais au Port Neuf de Pinède à 11 h10. Après une petite visite à la croix frontière numéro 320, gravée sur un rocher au Sud-Ouest du col, je montais sur la crête située au Nord-Est du col jusqu'à 2510 mètres sur un terrain très raide recouvert de cailloutis croulants. Le sommet situé au Nord-Est du Port Neuf de Pinède, non nommé mais coté 2660 par l'IGN, est nommé pico Tromacal, pico de Lera, Montaspro ou encore Montaspro Baixo par d'autres qui le cotent 2662, 2663 ou encore 2665 m. On le nommera tout simplement sommet Nord-Est du Port Neuf de Pinède avec l'altitude la plus modeste de 2660 mètres. A 11 h45 je repassais au Port Neuf de Pinède, de retour à la bifurcation de la Hourquette d'Alans à 12 h57, je décidais d'y faire un crochet et de 13 h35 à 14 heures j'y faisais ma pause restauration devant le Taillon et le Vignemale. Il y avait 4 anglais dont un était en train de terminer sa portion de H R P. Les jolis rochers de couleur rouge situés sur la crête Nord de la Hourquette d'Alans cachaient un sommet non nommé mais coté 2521 par l'IGN, et curieusement nommé Arète de Piméné par l'ancienne carte l'Editorial Alpina 1:40000 valle de Ordesa, qui le cote à 2505. On le nommera tout simplement sommet Nord de la Hourquette d'Alans. Je décidais d'y faire "un saut" et après quelques passages d'escalade sur un raide terrain herbeux et rocheux, j'étais au sommet à 14 h20 que je quittais à 14 h40 après avoir bien agrandi le modeste cairn qui s'y trouvait. Après une rude descente sur le versant Oriental, sur de raides pentes herbeuses et en suivant un couloir rocheux puis un "torrent" de pierres, je retrouvais le sentier vers 2280 mètres à 15 h08, la bifurcation du Port Neuf de Pinède à 15 h23, pour passer à hauteur de la cabane d'Estaubé à 16 h07 et retrouver ma voiture à 16 h50 après un dénivelé positif d'environ 1300 mètres pour autant de négatif et une superbe journée ensoleillée glasses .

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT. 

    Voir galerie photos Circuit cirque d'Estaubé

     


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    * 8 avril 2006, le Turon de Pouey Boucou (2017 m.)  depuis l'aire de stationnement de la chapelle de Héas (1521 m.) située au-dessus de Gèdre en bordure de la route D 922 qui mène au cirque de Troumouse, en continuant sur la route pour passer au Péage (1540 m.), la quitter à la cabane de Groutte (1790 m.) en bifurcant vers l'Ouest sur un sentier qui remonte en traversée Nord-Ouest la montagne de Poueyboucou pour passer au col coté 1992 et terminer par une montée Nord-Ouest jusqu'au sommet.

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Gavarnie Luz-St-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

    Randonnée effectuée sur neige à partir de 1750 mètres avec utilisation des raquettes à partir de 1900 m. Le problème a été de trouver l'itinéraire qui traverse le petit ravin juste derrière la cabane de Groutte, où les repères du sentier n'existaient plus sous la neige et à partir d'où je suis remonté au jugé pour faire la traversée de la montagne de Poueyboucou.

    Parti à 8 heures, je passais à 8 h 40 à la cabane de Groutte pour être au sommet smile à 9 h 40 que je quittais à 10 h 05 pour retrouver ma voiture à 11 heures après un dénivelé positif de 500 mètres pour autant de négatif.

    Voir galerie photos Turon de Pouey Boucou




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    * 29 septembre 2009, le pic de Lourdes Oriental (2646 m.) et le pic du Cardal (2569 m.) depuis le bord de la route D 128 (1714 m.) à l'Ouest du Turon de Cout et à l'Ouest de Gavarnie, en traversant direction Sud-Ouest l'Espugue de Millas pour aller remonter la rive droite du ruisseau qui coule à l'Ouest du ruisseau la Canau, traverser le sentier balisé du GR 10 vers 1930 mètres pour remonter direction Ouest le flanc Sud du pic Rond afin d'arriver sous le cirque des Gabiétous de Lourdes et remonter à l'Ouest le ravin qui arrive près du laquet coté 2270 et continuer direction Ouest pour arriver au Port du Pla d'Aube (2433 m. - croix frontière numéro 315) et en revenir en descendant Sud-Est pour passer aux Gabiétous de Lourdes (2270 m.), et remonter plein Sud au col de Lourdes non nommé par l'IGN (2518 m. - fausse croix frontière numéro 316 peinte sur un rocher), gravir à l'Ouest-Nord-Ouest la crête qui mène au sommet du pic de Lourdes Oriental (2646 m.), retour au col de Lourdes (2518 m.) pour gravir à l'Est le pic du Cardal (2569 m.) en descendre au Nord pour passer aux Gabiétous de Lourdes (2270 m.) et aller chercher à l'Ouest le col coté 2312 afin de descendre au Sud-Est pour passer sur la rive gauche du lac du Cardal 2221 m.) et remonter Sud-Sud-Ouest le vallon qui mène au col du Cardal (2361 m. - vraie croix frontière numéro 316) pour revenir au lac du Cardal (2221 m.) et continuer la descente dans le vallon au Nord-Est, passer à la cabane de Lourdes (1947 m.) et retrouver l'itinéraire de montée juste après avoir traversé le ruisseau d'Aube.

     Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT. Le pic de Lourdes Oriental est coté 2646 sur la carte IGN mais non nommé, il est nommé pic de Lourdes Inf. et coté 2646 par l'Editorial Alpina Ordesa Monte Perdido au 1:40000 et est nommé pico inf. de Lourdes et également coté 2646 par l'Editorial Pirineo Excursionista Valle de Tena au 1:40000.

    La croix frontière numéro 316 du col de Lourdes (2518 m.) est une fausse croix qui a été peinte sur une roche, la vraie croix frontière numéro 316 est gravée sur une roche au col du Cardal (2361 mètres).

    Parti à 7 h 40, je croisais le GR 10 à 8 h 10, pour passer près du laquet coté 2278 à 9 h 32, au Port du Pla d'Aube à 9 h 45 en repartir à 10 heures, passer aux Gabiétous de Lourdes à 10 h 20, au col de Lourdes à 10 h 55 en repartir à 11 h 05, au sommet du pic de Lourdes Oriental à 11 h 25 en repartir à 11 h 40, revenir au col de Lourdes à 11 h 55 pour être au sommet du pic du Cardal à 12 h 05 en repartir à 12 h 15, passer au col coté 2312 à 13 h 10, au lac du Cardal à 13 h 17, au col du Cardal à 13 h 45 en repartir à 14 heures, repasser au lac du Cardal à 14 h 15, passer à la cabane de Lourdes à 14 h 45 et retrouver ma voiture à 15 heures après un dénivelé positif de 1350 mètres et autant de négatif et une superbe journée ensoleillée glasses .

    Voir galerie photos Pic de Lourdes Oriental

     


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    * 23 septembre 2009, le pic de Gabiet ou pico de Bernatuara (2716 m.) depuis le bord de la route D 128 (1714 m.) à l'Ouest du Turon de Cout et à l'Ouest de Gavarnie, en traversant direction Sud-Ouest l'Espugue de Millas pour aller remonter la rive droite du ruisseau qui coule à l'Ouest du ruisseau la Canau, récupérer le sentier balisé du GR 10 vers 1930 mètres et le suivre vers le Sud pour l'abandonner à la cabane de Lourdes (1947 m.) afin de remonter Sud-Sud-Ouest la vallée de la Canau, passer au col de la Bernatoire (2336 mètres - croix frontière numéro 317) et suivre à l'Ouest la crête en évitant la falaise verticale par la droite afin de prendre pied à son sommet (2467 m.) et suivre à l'Ouest la crête qui mène, après être passé par le point de jonction avec l'arête Nord (2607 m.), au sommet (2716 m.). Retour par le même itinéraire.

    Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur parc National des Pyrénées 1748 OT.

    La crête est par endroits aérienne arf et il faut utiliser les mains en testant les prises pour franchir quelques petits passages d'escalade facile. Avec les troupeaux de vaches dans les estives de la Canau et de Lourdes, il y avait trois taureaux bad bad bad .

    Parti à 7 h 45, j'étais au sommet à 10 h 30 que je quittais à 11 heures, pour retrouver ma voiture à 13 heures après un dénivelé positif de 1050 mètres et autant de négatif et une superbe journée ensoleillée  glasses .

    Voir galerie photos Pic de Gabiet




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    * 20 mars 2004, la Vierge du cirque de Troumouse (2134 m.) depuis l'aire de stationnement de la chapelle de Héas (1521 m.) située au-dessus de Gèdre en bordure de la route D 922 qui mène au cirque de Troumouse, en continuant sur la route D 922 pour passer au Péage (1540 m.), à la cabane de Groutte (1790 m.), à l'hôtellerie du Maillet (1830 m.), couper plein Sud pour virer à l'Est (1853 m.), parvenir sur le plateau de l'aire de stationnement de Troumouse (2103 m.), aller chercher au Nord-Est la cabane de la Vierge (2105 m.) puis au Nord la Vierge de Troumouse et le Cot (2138 m.).

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Gavarnie Luz-St-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

    Randonnée effectuée sur neige à partir de 1600 mètres et avec les raquettes à partir de 1800 mètres. Superbe journée ensoleillée glasses .

    Parti à 9 h.10, je passais à 10 h.10 à l'hôtellerie du Maillet ou le Maillet Hôtellerie, à 12 heures j'étais au pied de la Vierge de Troumouse que je quittais à 12 h.30 pour faire un petit crochet par le Cot et retrouver ma voiture à 14 h.40 après un dénivelé positif de 700 mètres et autant de négatif.

    Voir galerie photos Vierge du cirque de Troumouse




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    * 18 avril 2006, le pic de Lary (2397 m.)  depuis le virage en épingle qui tourne à gauche (1730 m.) sous la station de Gavarnie-Gèdre-les Espécières, en bordure de la route D 923 qui monte de Gavarnie au col de Tentes, en allant traverser au Nord le ruisseau de Peyrenère pour remonter vers l'Ouest et parvenir au dôme coté 2004, remonter Sud-Ouest le vallon pour passer au col non nommé coté 2218, à la cote (autre col non nommé) 2235, au Sud du petit lac (également non nommé et non coté) (2225 m.), parvenir au col de Lary (2278 m.) pour gravir au Nord-Est la crête qui mène au sommet.

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Gavarnie Luz-St-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.

    Randonnée effectuée sur neige à partir de 1800 mètres avec utilisation des raquettes à partir de 1900 mètres et des crampons à partir de 2300 mètres sur la crête Sud-Ouest du pic de Lary. Superbe journée ensoleillée au-dessus de 2200 mètres glasses .

    Parti à 10 heures, j'étais de retour à la voiture à 14 h.20 après un dénivelé positif de 700 mètres et autant de négatif.

    Voir galerie photos Pic de Lary




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    * 12 février 2004, le Soum Braqué (2304 m.)  depuis la route qui mène aux granges de Saugué  au-dessus de Gèdre, dans le virage (1420 m.) qui précède celui qui est coté 1437, en remontant cette route pour passer au pont de Saugué (1528 m.), continuer sur la route qui mène au Sud vers les granges de Saugué, et à hauteur du Gîte d'étape (1610 m.) l'abandonner pour continuer Sud-Sud-Ouest dans la montagne de Saugué, contourner le sommet coté 2007 par le Sud (1978 m.), remonter au Pourteillou Col (2238 m.) et continuer plein Est sur la crête pour passer un premier sommet (2277 m.), le col (2251 m.), un deuxième sommet (2303 m.) et arriver au Soum Braqué.

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Gavarnie Luz-St-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT. 

    Randonnée effectuée sur neige depuis le départ (c'est pour cette raison que je n'ai pas pu monter en voiture jusqu'au pont de Sauguet), avec utilisation des raquettes à partir de 1700 mètres puis des crampons à partir du Pourteillou Col. Quand je suis arrivé au sommet il y avait un couple d'anglais, et un montagnard français qui y était monté par le versant Nord-Est.

    Parti à 9 heures, j'étais de retour à 15 heures après un dénivelé positif de 1000 mètres et autant de négatif. Superbe journée ensoleillée glasses .

    Voir galerie photos Soum Braqué




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    2 juin 2007 le pic de Saint André (2608 m.)  depuis l'aire de stationnement du col de Tentes (2208 m.), en passant par le lac des Espécières ou de Luhos (2195 m.) pour le contourner par sa rive gauche, le col des Espécières ou Port Vieux (2334 m.) et sa croix frontière n°318, remontée Nord-Nord-Ouest de la crête pour passer par le sommet du pic du Port Vieux (2603 m.), la crête Nord-Est enneigée, et le col coté 2529  pour parvenir au sommet puis revenir par l'itinéraire de montée.

    Carte IGN : 1:25000 Top 25 Gavarnie 1748 OT.

    Départ à 8 h.45, pour passer au pic du Port Vieux smile à 9 h.45 en repartir à 10 h.15 pour arriver au sommet du pic de Saint André smile à 10 h.40, en repartir à 11 h.10 pour repasser au pic du Port Vieux à 11 h.30 et retrouver ma voiture à 12 h.20 après 600 mètres de dénivelé positif et autant de négatif. 

    A mon départ de l'aire de stationnement il n'y avait qu'une dizaine de véhicules, je n'ai croisé personne sur mon itinéraire et à mon retour l'aire était remplie de voitures et de cars, les gens descendaient du pic de Tentes et certains étaient en chaussures de ville.

    Voir galerie photos Pic de Saint André




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    27 septembre 2006 le Soum de Port Bieil (2846 m.)  depuis l'aire de stationnement du cirque de Troumouse (2103 m.) au terminal de la route D 922 à Gèdre, en remontant le couloir de la Canau, pour passer à la cote 2405, au Port de la Canau (2686 m.) et sa croix frontière 321, au sommet du pic de Bouneu (2726 m.), avec retour au Port de la Canau (2686 m.) pour aller gravir le pic de Gabiédou (2809 m.) et continuer en crête pour passer au sommet anonyme (2775 m.), au col de Gabiédou (2737 m.) et gravir le Soum de Port Bieil par son arête Est pour revenir par le col de Gabiédou (2737 m.), le sommet anonyme (2775 m.), le pic de Gabiédou (2809 m.), le Port de la Canau (2686 m.), le couloir de la Canau et le lac de Serre Longue (2190 m.).

    Carte IGN : 1:25000 TOP 25 Gavarnie 1748 OT.

    Départ à 10 h. pour passer à la cote 2405 à 10 h.37, au Port de la Canau à 11 h.17, au sommet du pic de Bouneu smile à 11 h. 23, en repartir à 11 h.30 pour arriver au sommet du pic de Gabiédou smile à 11 h.58, en repartir à 12 h.15, pour descendre l'aérienne crête Ouest-Sud-Ouest arf,passer au col de Gabiédou à 12 h.30 et parvenir au sommet du Soum de Port Bieil smile à 12 h.51, en repartir à 13 h.30 pour repasser au pic de Gabiédou à 14 h.10 et retrouver la voiture à 15 h. 15 après 1000 mètres de dénivelé positif et autant de négatif. Deux jours avant, j'avais été contraint de faire demi-tour dans le couloir de la Canau, à 100 mètres sous le Port de la Canau, à cause d'une tempête de neige et dans la descente un bloc de rocher (que j'avais entendu arriver) était passé à deux mètres de moi ouch pour aller finir sa course sur le névé qui se trouve dans la cuvette cotée 2405 m. 

    Voir galerie photos Soum de Port Bieil

     


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    5 septembre 2006, le pic de la Géla (2851 m.)  depuis l'aire de stationnement près de la chapelle de Héas (1530 m.) en bordure de la route D 922 à Gèdre, en passant par le ravin du ruisseau de l'Aguila pour passer près de la prise d'eau, près de la passerelle (1880 m.), traverser le Pla de la cabane de l'Aguila pour passer à la Fontaine et oratoire de la Sainte Famille (1910 m.), au col (2293 m.) de la cabane des Aguilous, au Pla (2409 m.), au col de la Géla (2706 m.) pour gravir le pic de la Géla par sa crête Sud-Ouest et revenir ensuite par sa crête Nord-Nord-Ouest, par la Hourquette de Héas (2608 m.) par la cabane des Aguilous (2291 m.) et retrouver l'itinéraire de montée au col (2293 m.) de cette cabane.

    Carte IGN 1:25000 TOP 25 Gavarnie 1748 OT.

    Départ à 9 h.45, pour passer à 10 h.30 à la Fontaine et oratoire (où un taureau bad , en bordure du sentier, m'a obligé à remonter assez haut pour l'éviter), à 11 h.30 au col de la cabane des Aguilous, à 13 h. au col de la Géla et atteindre le sommet  à 13 h.21. Départ du sommet à 13 h.40 pour passer à la Hourquette de Héas à 14 h.20, à la cabane des Aguilous à 14 h.50, à la cabane de l'Aguila à 15 h.30 et retrouver la voiture à 16 h. après 1350 mètres de dénivelé positif et autant de négatif. 

    Voir galerie photos Pic de la Géla




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    3 juillet 2003 le Soum Blanc des Espécières (2685 m.)  depuis l'aire de stationnement du col de Tentes (2208 m.) au-dessus de Gavarnie, en passant par le lac des Espécières (2195 m.), le col des Espécières ou Port Vieux (2334 m.) et sa croix frontière 318, le pic du Port Vieux (2603 m.) et le sommet Est du Soum Blanc des Espécières (2671 m.), avec retour au col des Espécières pour gravir le pic Entre les Ports (2476 m.) et revenir par le Port de Boucharo (2270 m.).

    Carte IGN 1:25000 TOP 25 Gavarnie 1748 OT.

    Départ à 9 h. 30 pour arriver au sommet du Soum Blanc des Espécières smile à 11 h. 20. Départ du sommet à 11 h 45 pour revenir par le pic Entre les Ports smile et retrouver la voiture à 14 h. après un petit dénivelé de 700 mètres.

    Voir galerie photos Soum Blanc des Espécières




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    15 juillet 2004 le Pimené (2801 m.)  depuis l'aire de stationnement du village de gavarnie (1365 m.) en passant par la cabane de Pailla (1800 m.), le refuge des Espuguettes (2027 m.), le col du Pimené (2522 m.) et le Petit Pimené ou Cap-Latus (2667 m.) avec retour par le versant Est du Petit Pimené ou Cap-Latus pour retrouver l'itinéraire de montée au col du Pimené.

    Carte IGN 1:25000 TOP 25 Gavarnie 1748 OT.

    Départ à 7 h. 15, pour passer à 9 h. au refuge des Espuguettes, à 10 h. 45 au sommet du Petit Pimené et atteindre le sommet du Pimené  à 11 h. 20. Départ du sommet à 12 h. pour repasser au refuge des Espuguettes à 13 h. 20 (où un taureau bad était avec un troupeau de vaches), à la cabane de Pailla à 13 h. 35 et retrouver la voiture à 14 h. 15 après 1460 mètres de dénivelé positif et autant de négatif.

    Voir galerie photos Pimené




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