• (042) Vallée de Canfranc

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    * 5 septembre 2020, depuis le parking situé en bas des pistes de la station de Candanchu (1560 m.) en allant chercher, hors piste direction Ouest-Sud-Ouest et en légère montée, la zone de la Rinconada où on monte plein Sud pour rejoindre la piste bleue de la Rinconada (1700 m.) qui mène à la piste rouge del Paso (1800 m.), que l'on suit direction Sud-Est puis Sud-Ouest afin de parvenir au Puerto de Tortiellas (1988 m.), continuer sur la piste direction Sud-Ouest et enfin Sud jusqu'à la cote 2032, où on la quitte pour continuer direction Générale Ouest-Sud-Ouest en suivant la crête, qu'on quitte en basculant à gauche (2130 m.) par une désescalade (main courante - câble en acier recouvert de plastique souple) pour ensuite suivre direction Ouest-Sud-Ouest la base de la falaise sur un système de vires qui permet de traverser le flanc Sud de la Tuca Blanca, puis remonter direction générale Nord-Ouest en lacets le cirque situé entre le pico de Aspe et la Tuca Blanca, virer Sud-Ouest (2200 m.) afin de remonter la première partie du corredor Norte (couloir Nord) du pico de Aspe et parvenir sur la crête (2403m.) au Sud-Est du petit sommet coté 2417 pour continuer l'ascension de la deuxième partie du corredor Norte (couloir Nord) en suivant sa rive droite, parvenir à une brèche (2581 m.) où on suit la crête à gauche direction Est pour atteindre le sommet du pico de Aspe (2645 m.), revenir à la brèche (2581 m.) et continuer la descente direction Ouest pour rejoindre le Paso de la Garganta de Aspe ou Brecha (brèche) de Aspe (2427 m.), basculer à droite dans le raide couloir d'éboulis, en lacets direction générale Nord, commencer à faire une traversée sur le flanc Oriental du Circo de Aspe (cirque d'Aspe) (2150 m.), en suivant un sentier en descente modérée direction Nord-Nord-Est, commencer à remonter légèrement (2040 m.), franchir une croupe pour y virer Est-Nord-Est (2070 m.), atteindre et franchir le couloir Ouest de la Tabla (2040 m.) pour y remonter Nord vers les Lomeros de Esper (2060 m.), continuer la descente direction Nord-Est vers El Calcinar, passer une main courante (câble en acier recouvert de plastique souple), passer au col situé au Sud-Est de la Golocha de Esper (1840 m.), où on franchit la frontière hispano-française, et continuer à suivre le sentier direction Est pour passer près d'une grotte avec source et abreuvoir (1750 m.), le sentier vire au Nord-Est pour atteindre le col de Causiat (1634 m.) où on franchit la crête frontière franco-espagnole pour aller retrouver à l'Est la station de Candanchu.

    Parti à 7 h10, après avoir assisté à un combat de brebis au début de la piste rouge del Paso, à 8 h25, je passais au Puerto de Tortiellas. Dans le passage de désescalade équipé d'une main courante (câble en acier recouvert de plastique souple), vers 2130 mètres, je n'ai pas utilisé cette dernière tout en restant à proximité car elle a le mérite de rassurer. Je me suis fait doubler par une bonne quinzaine de randonneurs sans sac sur le dos, dans la remontée de la première partie du corredor Norte (couloir Nord) du pico de Aspe, où j'ai mis du temps avant de pouvoir retrouver un second souffle, j'avais mes provisions et les crampons/piolet dans mon sac à dos et j'étais en train de payer mes efforts de la veille où j'avais fait un circuit d'un peu plus de 3 heures en VTT sur les coteaux de Jurançon à Chapelle de Rousse. A 11 h30 je parvenais au sommet du pico de Aspe également nommé Punta Esper ou encore pico de la Garganta de Aísa et coté selon les publications 2645 ou 2643 ou 2640 ou encore 2636 mètres. Il y avait beaucoup de randonneurs, pour savourer le superbe panorama offert, dont de sympathiques jeunes Atharraztars. C'est à Tardets-Sorholus que dans le début des années 1960 j'allais en colonies de vacances et c'est là que j'ai réalisé ma première ascension, celle de la Madeleine (795 m.), mais contraint et forcé par les moniteurs cela n'avait pas été l'élément déclencheur de ma passion pour les montagnes. Je quittais le sommet à 12 h15 et en "slalomant" entre les groupes de randonneurs debouts et assis, sur un faux pas, clac !!!! oh ... ma cheville droite s'est tordue frown . La suite du retour accompagné d'une "belle" entorse sera dure et laborieuse oops . Il ne me restait plus qu'à resserrer les dents et les lacets de mes "montantes" pour descendre. Dans le couloir d'éboulis situé sous le Paso de la Garganta de Aspe ou Brecha (brèche) de Aspe il y avait des baliseurs qui plantaient des piquets pour marquer l'itinéraire d'une prochaine course de montagne. A la sortie de la zone de gros blocs située à la base de ce couloir d'éboulis, j'ai croisé trois sympathiques randonneuses qui continuaient leur descente vers le Pas d'Aspe. J'ai bien apprécié la pause restauration d'une demi-heure le pied droit dans l'eau fraîche d'une source. J'ai aussi bien apprécié et utilisé la main courante (câble en acier recouvert de plastique souple) de la zone el Calcinar où il y avait de nombreux edelweiss. J'ai également bien apprécié la pause d'une demi-heure à la grotte avec source et abreuvoir (1750 m.). Avant de parvenir au col de Causiat le brouillard s'invitera pour m'accompagner jusqu'à l'aire de stationnement, avant laquelle j'avais rencontré un sympathique couple d'espagnols masqués avec qui nous avons parlé entre autres des conditions d'obligations de port du masque pour cause de coronavirus dans nos pays respectifs. Je retrouvais, avec plaisir, ma voiture à 17 h45 après un dénivelé positif d'environ 1200 mètres pour autant de négatif. 

    Cartes Edirorial Alpina Geo/Estel 1:25000 E-25 Valle de Canfranc Valle de Aisa Candanchu-Astun et ign.es/signa.

    Voir galerie photos Pico de Aspe par le couloir Nord


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    *  24 mars 2019, depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) au Nord-Est du col du Somport, en montant Nord un raide ressaut situé à gauche du départ du télésiège Truchas et en rive gauche du Barranco del Escalar, pour aller traverser toujours direction Nord les Llanos del Sol, puis rentrer dans le Barranco del Escalar (1950 m.) et remonter ce défilé/ravin jusqu'à parvenir au ibón del Escalar ou de las Ranas (2078 m.), longer sa rive droite Occidentale pour remonter le vallon qui donne accès en direction Est au col des Moines ou Puerto de Jaca (2168 m.), y virer à gauche en suivant la crête et passer sur le dôme Nord du col des Moines (2291 m. par l'IGN espagnol), descendre au col de Bénou (2278 m. par l'IGN espagnol) afin de gravir au Nord-Est la crête qui mène au sommet du pic des Moines (2349 m.), pour revenir avec quelques variantes, juste après être repassé sur le dôme Nord du col des Moines descente directe plein Sud pour retrouver le vallon situé sous le col des Moines, contournement du ibón del Escalar ou de las Ranas par sa rive gauche Orientale et depuis la sortie du Barranco del Escalar (1950 m.) en continuant la descente un peu plus à l'Est que la montée jusqu'au télésiège Truchas.

    Partis à 8 h35 avec Peio, Odile et Pierre en skis de randonnée, après avoir traversé les Llanos del Sol, au lieu de remonter par les itinéraires classiques en rive droite ou en rive gauche au-dessus du défilé/ravin situé sous le ibón del Escalar, nous remonterons ce défilé/ravin bien enneigé en restant à l'intérieur. De 9 h50 à 10 heures nous ferons une pause en bordure du ibón del Escalar ou de las Ranas. La traversée directe sur ce lac était bien tentante mais la sagesse nous a fait préférer le contournement par la rive droite Occidentale. Nous utiliserons les crampons et le piolet du col des Moines au col de Bénou.  Il restait peu de neige sur la crête et nous parviendrons au sommet à 11 h40. Après avoir profité du magnifique panorama sur Ossau, Balaïtous, Infiernos, Garmo Negro, Tendeñera, Anayet, Collarada, Aspe, Visaurin, Trois Rois, Anie, Hourquette, etc... nous débuterons la descente retour à 12 h10. J'utiliserai les raquettes à partir du dôme Nord du col des Moines juqu'au retour à la station. Nous ferons une pause repas de 13 heures à 13 h55, en terrasse, au Nord du ibón del Escalar ou de las Ranas. Après avoir contourné le lac par sa rive gauche Orientale puis descendu le défilé/ravin en restant à l'intérieur, nous serons de retour à la voiture à 14 h45 après un dénivelé positif d'environ 680 mètres pour autant de négatif, par une superbe journée ensoleillée glasses et dans une super ambiance cool .  

    Cartes 1:25000 Editorial Alpina Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún, IGN Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT et ign.es.signa.

    Voir galerie photos Pic des Moines 24 03 2019


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    * 6 mai 2018, depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) en longeant la piste qui remonte direction générale Est le Barranco de Astún sur sa rive gauche, pour la quitter en s'élevant à droite direction Sud (1800 m.) puis Sud-Sud-Est (1900 m.) en visant le sommet Est de La Raca surmonté d'une construction (coté 2238 ou 2240 selon les cartes), passer à gauche du trampolín de saltos (tremplin de sauts) et virer à droite en lui passant au-dessus (2100 m.) pour traverser à flanc et en légère montée direction Ouest-Sud-Ouest, passer à gauche d'un petit mamelon (2155 m.) pour ensuite monter plus rudement direction générale Sud-Ouest afin de parvenir au sommet de La Raca (2284 m.) et revenir par le même itinéraire.

    Les pâturages de la montagne de La Raca sont exploités par les pasteurs et bergers aspois et aragonais.
    Le traité de délimitation de la frontière entre l'Espagne et la France signé à Bayonne le 14 avril 1862 précise dans son article 12: "La Vésiau d’Aspé (communes aspoises de Cette-Eygun, Etsaut et Urdos) et la ville de Jaca jouiront en commun des pâturages des montagnes d’Astun, de la Raque et Raquette, propriété de Jaca, sur le versant méridional des Pyrénées, ainsi que de ceux des communaux de la Vésiau contigus à ces montagnes sur le versant français."
    Le traité initial du Port d'Astún remonte au début du XII ème siècle, en 1131,  lorsque le roi Alfonso I de Aragón cède les pâturages de Candanchú, La Raqueta et Espelungué aux moines de l'hôpital de Santa Cristina. Ces pâturages étaient utilisés en bonne intelligence par les troupeaux aspois et aragonais jusqu'à la fin du XIV ème siècle, en 1397, quand les français prirent parti pour le comte de Foix contre le roi d'Aragón Martin el Humano ils furent interdits d'utiliser ces pâturages. Au début du XVI ème siècle, en 1513, Fernando el Católico concéda la propriété des pâturages à la ville de Jaca. Moyennant un tribut annuel, les aspois de la Vésiau (Cette-Eygun, Etsaut et Urdos) purent retrouver la jouissance de ces pâturages espagnols.

    La saison hivernale de la station de ski de Astún s'étant achevée le 15 avril, vu l'enneigement exceptionnel de cet hiver, je décidais d'aller faire un tour à La Raca. Ce sommet est également nommé Larraca ou Monte de la Raca ou encore pico d'a Raca, les cartes et sites web lui donnent des altitudes de 2277 mètres (signa IGN espagnol), 2278 mètres (Editorial Alpina et IGN espagnol), 2284 mètres (IGN français, Editorial SUA et ancienne Editorial Alpina Granollers) et même 2300 mètres (pirineos 3000). Toute la randonnée effectuée sur neige, avec les raquettes du départ jusqu'au retour au parking. Les crampons que j'avais fait suivre sont restés dans le sac malgré une neige glacée rencontrée dès le départ sur les 100 premiers mètres de dénivelé, peu inclinés, où les crampons des raquettes à neige accrochaient bien.

    Parti à 8 heures, après avoir suivi la piste qui longe en légère montée la rive gauche du barranco de Astún en direction du ibón de Astún ou de las Truchas, je quittais cette piste pour suivre une direction Sud, sur une pente plus prononcée où les traces de skieurs étaient nombreuses. A 9 h30 je passais au-dessus du trampolin de saltos (tremplin de sauts) en suivant une piste qui traverse en légère montée le flanc Nord du sommet Est de La Raca avant d'aborder la plus rude montée finale. De 10 h30 à 11 h10 je profitais du magnifique panorama offert par le sommet principal de La Raca encombré de constructions, d'antennes ainsi que de la gare d'arrivée d'un télésiège et à 12 h15 j'étais de retour à la voiture après un dénivelé positif de 575 mètres pour autant de négatif, un bon "snif de blanche" yes et une superbe journée ensoleillée glasses

    Cartes IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT, Editorial Alpina 1:25000 Geo/Estel E-25 Valle de Canfranc Valle de Aisa Candanchú-Astún et IGN espagnol Signa.

    Voir galerie photos La Raca 6 05 2018


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    * 19 mars 2017 depuis l'aire de stationnement située près de l'arrêt de bus en bordure de la route N-330 à l'entrée Sud de Canfranc Pueblo (1040 m.), en suivant direction Sud-Ouest l'itinéraire balisé rouge et blanc du GR 11.1 espagnol qui va ensuite remonter direction générale Ouest au-dessus de la rive droite du Barranco de los Meses (1080 m.), passer près de la Fuente (source) de la Paja ou Pajeta (1230 m.), rejoindre pour suivre à droite la piste venant de Villanúa (1300 m.), traverser le torrent de los Meses (1310 m.) et continuer de remonter en lacets direction générale Nord, passer près de la Fuente de los Abetazos (1340 m.) puis monter Ouest juqu'au refugio Majada (refuge bergerie) de Gabardito (1520 m.), peu après descendre Nord-Ouest pour franchir le Barranco de la Añaza (1490 m.) et faire une traversée horizontale sur pelouse puis en forêt en légère descente direction Nord-Ouest, remonter au-dessus de la rive droite du Barranco de Campón, traverser le torrent de Campón (1660 m.) pour monter au col (1670 m.) situé à gauche et au Nord-Ouest de l'éminence cotée 1696, descendre Nord (1660 m.) pour traverser Nord-Nord-Est la Mallata Lecherín Bajo et passer près du refugio (1680 m.) où on abandonne l'itinéraire du GR 11.1 pour aller chercher à l'Est la base du couloir (1720 m.) que l'on remonte Nord-Nord-Est jusqu'à ce qu'il se partage en deux voies (2030 m.), remonter le couloir de gauche qui prend une direction Nord pour parvenir après une légère descente à la Gruta Helada (grotte glacée) de Lecherines située à la base des falaises de la rive gauche (2060 m.) et revenir par le même itinéraire.

    Partis à 8 h15 avec Odile, Pierre, Eric et Roland, après une agréable progression ombragée et régulière sur un sentier judicieusement tracé dans une belle forêt, nous réaliserons une halte au refugio Majada (refuge bergerie) de Gabardito. Dans la traversée en forêt et en légère descente qui précède le franchissement du torrent de Campón nous devrons traverser plusieurs barrancos et de nombreuses portions enneigées. La Mallata Lecherin Bajo était à moitié enneigée et l'enneigement continu débutera à 1750 mètres. Nous nous allégerons des raquettes à 1800 mètres pour mettre les crampons dans le couloir, à la base d'un premier raide ressaut où un sympathique couple moneinchon, Yoann (comme nous membre de Pyrénées-Team) et Anne-Lise, nous rejoindra. Au-dessus de ce raide ressaut et avant le suivant, mon pied gauche et ma jambe gauche toute entière se sont enfoncés dans un trou créé par l'affaissement de la neige de surface lors de mon passage. Le genou de la jambe droite plié brusquement et bloqué à la surface de la neige n'a pas résisté à la trop forte flexion (rupture du ménisque interne révélée lors de l'IRM) frown . La visite de la Gruta Helada (grotte glacée) de Lecherines commencée à 12 h30 se terminera à 13 h15. Une pure merveille avec ses colonnes, stalactites et stalagmites de glace oh yes . Une stalactite se détachera pour s'éclater au sol non loin de nous ouch . Nous réaliserons notre restauration sur un gros rocher presque plat situé près de l'entrée de la grotte puis nous débuterons la descente à 14 h20. De 15 heures à 15 h30 nous ferons une halte près du refugio de Mallata Lecherín Bajo, près duquel coule l'eau d'une source dans un long abreuvoir, à 16 h20 nous passerons au refugio Majada (refuge bergerie) de Gabardito et à 17 h25 nous retrouverons les voitures après un dénivelé positif d'environ 1200 mètres pour autant de négatif. Une belle journée ensoleillée glasses passée dans une super ambiance cool .

    Carte Editorial Alpina 1:25000 Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú-Astún.

    Voir galerie photos Gruta Helada (grotte glacée) de Lecherines


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    * 27 février 2017 depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) en montant Nord un raide ressaut situé à gauche du départ du télésiège Truchas et en rive gauche du Barranco del Escalar, pour aller traverser toujours direction Nord les Llanos del Sol puis changer de rive (1900 m.) pour remonter en rive droite au-dessus du défilé situé sous le ibón del Escalar, parvenir au ibón del Escalar ou de las Ranas (2078 m.) et depuis sa rive Occidentale remonter Ouest le vallon qui mène au Paso de Audas ou Pas des Aoudas (2195 m. par Editorial Alpina, 2198 m. par l'IGN espagnol et 2202 m. par l'IGN français) afin d'y suivre la crête à gauche, direction Sud-Ouest, pour parvenir au sommet du pic de Belonseiche (2293 m. par Editorial Alpina, 2297 m. par l'IGN français et l'IGN espagnol) et revenir par le même itinéraire.

    Parti à 8 h35, les crampons dans le sac et les raquettes et piolet sur le sac, j'utilisais les crampons et le piolet à partir de 1930 mètres pour traverser les raides pentes qui permettent de franchir le défilé situé sous le ibón del Escalar. A 9 h35 je réalisais une petite pause près du lac en regardant deux skieurs de randonnée traverser le lac caché sous la neige, ils avaient remonté le défilé en restant dans le fond. A 10 h10 je passais au Pas des Aoudas et à 10 h25 je parvenais au sommet du pic de Belonseiche. Après avoir admiré le superbe panorama offert par ce sommet et discuté avec un skieur de randonnée espagnol qui m'y avait rejoint, je débutais la descente à 10 h45. J'utilisais les raquettes à partir du Pas des Aoudas pour les changer par les crampons dans le franchissement du défilé situé sous le lac et les remettre après le mauvais passage pour ne plus les quitter jusqu'à mon retour à la station à 12 h05, après un dénivelé positif de 600 mètres pour autant de négatif par une belle journée ensoleillée glasses .

    Cette randonnée n'est à entreprendre qu'avec de très bonnes conditions nivologiques. Il faudra la faire petit "BRA" car il y a eu de nombreuses avalanches dévastatrices et meurtrières dans ce secteur erf .

    Carte Editorial Alpina 1:25000 Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú-Astún et IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe¨Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    Voir galerie photos Pic de Belonseiche 27 02 2017


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    * 13 avril 2015, depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) en longeant la piste bleue qui remonte direction générale Est  le Barranco de Astún sur sa rive gauche, puis Nord-Est (1950 m.), la quitter avant d'atteindre le ibón de Astún ou de las Truchas pour suivre direction Est (2050 m.) le vallon qui se dirige vers le Collado ou Puerto de Astún et qui prend ensuite une direction Sud-Est puis Sud pour parvenir sur la crête venant de Larraca ou La Raca (2250 m.) afin de la suivre à gauche Est-Nord-Est jusqu'au proche sommet du pico de Mala Cara ou pico de Malacara ou encore Punta Mala Cara (2268 m. ou 2269 m. ou 2277 m. selon les cartes et topos). Retour par le même itinéraire

    Toute la randonnée effectuée sur neige, avec les raquettes du départ jusqu'au retour au parking. Les crampons et le piolet, que j'avais fait suivre, sont restés dans et sur le sac.

    Parti à 9 h35, après avoir longé les pistes de ski de la station qui avait terminé sa saison la veille, je quittais la piste qui mène au ibón de Astún ou de las Truchas à 10 h24 pour suivre le vallon qui se dirige vers le Collado de Astún. Comme ce dernier était bien défendu par une belle corniche qui suivait toute la crête frontière, j'ai été chercher la crête venant de Larraca ou La Raca pour la suivre jusqu'au sommet du pico de Mala Cara. L'IGN français cote ce sommet frontière 2269 mètres mais ne le nomme pas. De 11 h30 à 11 h50 je profitais du magnifique panorama offert par ce modeste sommet et à 12 h45 j'étais de retour à la voiture après un dénivelé positif d'environ 570 mètres pour autant de négatif et une superbe journée ensoleillée glasses

    Cartes IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT, Editorial Alpina 1:25000 Geo/Estel E-25 Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú-Astún et IGN espagnol Signa.

    Voir galerie photos Pico de Mala Cara

     


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    * 13 octobre 2013, depuis l'aire de stationnement du refugio Espata (1690 m.), en suivant la piste direction générale Ouest-Nord-Ouest qui monte (1720 m.) puis descend (1670 m.) pour remonter au refugio de la Trapa (1720 m.), où on l'abandonne pour suivre à droite direction Nord un sentier qui traverse La Trapa et qui mène au pied d'un couloir (1850 m.) à gravir pour déboucher sur les prairies de El Falcar (1900 m.) y continuer Est-Nord-Est pour passer à gauche du refugio El Trapal (1940 m.), à Los Cubilares, remonter rive droite le Barranco de la Ciresera puis rive gauche pour parvenir au Llano de la Fuente et aller prendre pied sur une vaste zone d'éboulis à remonter Est-Nord-Est pour atteindre le bas d'une cheminée, à gravir à son début par une diagonale ascendante de gauche à droite, pour arriver au sommet de la Peña Collarada (2886 m.), en descendre par son versant Oriental direction générale Sud-Est pour passer au Cuello de Ip (2567 m.), traverser une zone d'éboulis pour aller chercher au Sud la cuvette herbeuse cotée 2473, descendre au Sud le Paso Abete, aller chercher le col (2380 m.) situé à l'Est de la cote 2393, descendre Sud le couloir puis les zones d'éboulis de El Marañan, passer au Cubilar de los Güeys pour aller rejoindre, toujours direction Sud, le vallon venant du Collado de la Espata, qui ramène direction Ouest au refugio Espata.

    Après être passé à la Gazolinera de Villanua (en bordure de la route nationale) afin d'y récupérer les autorisations de circuler en véhicule sur la piste de la Collarada, avec Odile, Pierre, Eric, Roland et Dédé, nous partirons du refugio Espata à 9 h30 pour passer près du refugio de la Trapa à 9 h55. Le couloir qui remonte de La Trapa à El Falcar est équipé d'une chaîne, mais les nombreuses et bonnes prises offertes par le rocher permettent de ne pas s'en servir. Après avoir remonté la pente d'éboulis croulants, qui vient buter au pied les falaises formant la couronne sommitale de la Peña Collarada, nous laisserons sur notre gauche le couloir évident de la voie normale pour aller chercher à droite une cheminée qu'il faut gravir à son début par une diagonale ascendante de gauche à droite sur une dalle inclinée. Une étroite langue d'éboulis, à gravir par les bords pour éviter d'envoyer des "pierres" sur les copains, termine la cheminée qui débouche tout près du sommet que nous atteindrons à 13 h10. A 13 h25 nous commencerons notre descente et nous ferons une pause restauration, de 14 h15 à 15 h30, près de la cuvette herbeuse cotée 2473 pendant que trois Gypaètes barbus nous gratifieront de leurs vols majestueux en réalisant plusieurs passages au-dessus de nous. Dans la descente du raide couloir qui permet de rejoindre El Marañan, il y a une barre rocheuse d'environ cinq mètres à désescalader avec prudence, qui peut se terminer par un petit saut avec réception sur herbe. Nous retrouverons les voitures à 17 h20 après un dénivelé positif d'environ 1250 mètres pour autant de négatif et une journée assez bien ensoleillée.   

    L'autorisation de circuler en véhicule à moteur sur la piste de la Collarada est à demander à l'Office de Tourisme de Villanua, par internet: turismo@villanua.net, à partir d'un téléphone fixe: 0034 974 378 465 ou avec un téléphone portable: +34 974 378 465.

    Carte 1:25000 E-25 Editorial Alpina GEO/ESTEL  Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún.

    Voir galerie photos Peña Collarada

     


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    * 9 septembre 2013, depuis le parking situé en bas des pistes de la station de Candanchu (1580 m.) en allant Ouest-Sud-Ouest à la Rinconada pour remonter Sud-Sud-Ouest  le ravin qui mène à l'entrée du couloir de la Zapatilla (1850 m.), suivre au Nord-Ouest, en haut des éboulis, la base de la falaise de El Calcinar (1820 m.) pour revenir à l'entrée du couloir de la Zapatilla (1850 m.) et y faire une traversée descendante Est-Sud-Est des éboulis pour aller récupérer (1800 m.) et suivre la piste qui remonte Sud-Est puis Sud-Ouest au Puerto de Tortiellas (1988 m.), puis Sud-Ouest et enfin Sud jusqu'à la cote 2032, y quitter la piste pour continuer direction Générale Ouest-Sud-Ouest en suivant la crête, la quitter en basculant à gauche (2070 m.) pour y suivre direction Ouest-Sud-Ouest un système de vires qui permet de traverser le flanc Sud de la Tuca Blanca, pour aller remonter par la droite en arc de cercle le cirque situé entre le pico de Aspe et la Tuca Blanca jusqu'aux névés (2300 m.), revenir par le même itinéraire pour reprendre la crête où elle avait été quittée (2070 m.) en la suivant à l'Ouest puis au Nord pour passer au col d'arrivée du télésiège "Rey Juan Carlos" de Tuca Blanca (2207 m.) pour y continuer au Sud-Ouest afin de passer au col coté 2261, basculer sur le flanc Sud de la Tuca Blanca (2250 m.) pour revenir au col coté 2261 puis a celui coté 2207 pour gravir au Sud-Sud-Ouest la crête qui mène au sommet de la Tuca Blanca (2322 m.), revenir au col coté 2207 pour suivre la piste qui ramène direction générale Est à la cote 2032 puis Nord-Nord-Est au Puerto de Tortiellas (1988 m.) et enfin Nord à la Rinconada (1620 m.) pour aller retrouver à l'Est-Nord-Est le parking de départ.   

    Départ à 7 h40 pour aller rechercher des traces de la croix frontière numéro 297 disparue. Selon le procès-verbal d'abornement du traité du 17 avril 1862 cette croix avait été gravée sur la face Nord et au pied d'un immense rocher qui fait suite à une bande de rochers d'un blanc bleuâtre appelé par les espagnols El Calcinar, sur la ligne de partage des eaux. Introuvable, cette croix a été remplacée en 1977 ou 1978 par une borne placée sur un petit monticule coté 1795 par l'IGN française et 1793 par l'Editorial Alpina, à une centaine de mètres de l'emplacement de la croix originelle. Pendant une heure, j'ai "ratissé" tout le secteur, en longeant le haut de la raide zone d'éboulis et à la base de la falaise sur plus de cent mètres, jusqu'à remonter le début du raide couloir de la Zapatilla. J'ai bien trouvé la bande de rochers d'un blanc bleuâtre avec à quelques mètres de son terme à gauche, Est, un semblant de marques d'encadrement taillé dans la roche, mais était-ce les restes de la gravure de la croix 297 ???. Ayant du temps devant moi et ne connaissant pas ce secteur de Candanchu, je décidais de faire un tour un peu plus haut et passais par le Puerto de Tortiellas à 9 h51. Des ouvriers étaient en train de vérifier les mécanismes des remontées de la station de ski de la zone de la Tuca, au Llano de Tortiellas Alto. Après avoir suivi un système de vires situées dans les falaises qui dominent le barranco de Tortiellas, je remontais le cirque situé entre le pico de Aspe et la Tuca Blanca mais, en arrivant vers 2300 mètres, à la base de raides névés bien glacés que je décidais de ne pas franchir, je regardais la crête des Puntas de Esper où un fier sommet, bien escarpé de toutes parts, se détachait. Il sagissait de la Tuca Blanca  Il n'était que11 h25, alors je fis demi-tour avec l'intention d'aller essayer de trouver un point faible à cette "forteresse". Dans la descente, je croisais un couple d'espagnols qui montait avec l'intention de gravir le pico de Aspe sans piolet ni crampons et dans la remontée vers la Tuca Blanca, je le vis faire demi-tour au même endroit que moi. Je passais devant la face Est de la Tuca Blanca bien défendue par de raides pentes herbeuses, puis au col d'arrivée du télésiège "Rey Juan Carlos" de Tuca Blanca (2207 m.) d'où la crête a l'air abordable, sur le flanc Nord-Ouest défendu par de belles falaises abruptes, au col coté 2261 d'où un couloir très raide remonte et vient buter sous des falaises surplombantes et même chose sur la face Sud   De retour au col d'arrivée du télésiège "Rey Juan Carlos" de Tuca Blanca (2207 m.), je remontais la crête Nord-Nord-Est de la Tuca Blanca pour parvenir à son sommet à 13 h30. Après avoir amélioré le cairn sommital et profité du panorama je commençais la descente retour à 13 h45, pour retrouver ma voiture à 15 h15, après environ 1100 mètres de dénivelé positif pour autant de négatif et une superbe journée ensoleillée. 

    Carte Edirorial Alpina Geo/Estel 1:25000 E-25 Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún.

    Voir galerie photos Tuca Blanca

     


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    * 14 juin 2012, depuis l'aire de stationnement du Puente de los Peregrinos (Pont des Pèlerins) ou Puente de Arriba (Pont du Haut) (1050 m.) au Nord de Canfranc Pueblo, en remontant au Nord la piste du camino de Santiago (chemin de Saint Jacques de Compostelle) pour la quitter afin d'aller remonter direction Est la valle (vallée) de Ip en rive droite, dans le Pinar de la Solana, pour passer à la cabana (cabane) de la Paridera, au nouveau refugio (refuge) del Ibon de Ip (2075 m.), monter direction générale Nord-Nord-Est jusqu'à la cote 2193 pour y remonter direction Nord la rive droite du couloir qui mène au col coté 2618, afin de suivre Est-Nord-Est le début de la crête puis en remontant Est-Nord-Est le flanc Sud pour retrouver la crête et passer au sommet Occidental de la Pala de Ip (2775 m.), continuer à suivre la crête Est-Sud-Est pour parvenir au sommet de la Pala de Ip (2779 m. ou 2783 m. selon les cartes et les ouvrages). Retour presque par le même itinéraire avec deux variantes, pour la descente du couloir sous le col coté 2618 en s'écartant plus à l'Ouest pour retrouver l'itinéraire de montée à la coté 2193 et près du nouveau refugio del Ibon de Ip, en suivant la rive gauche de la vallée de Ip pour aller traverser trois talwegs vers le Nord-Ouest afin de retrouver l'itinéraire de montée en amont de la cabana de la Paridera.

    Partis à 7 h10 avec Dédé, nous passerons à la cabana de la Paridera à 9 h25 pour en repartir à 9 h35 et atteindre le refugio ou cabana del Ibon de Ip à 10 h15. Sans avoir eu à poser les pieds sur la neige, nous atteindrons le col coté 2618, situé entre les picos de la Tronquera et la Pala de Ip à 12 h05, pour être au sommet Occidental de la Pala de Ip à 12 h 35 et au sommet principal de la Pala de Ip de 12 h50 à 13 h10. Si la crête n'est pas difficile à parcourir, deux passages obligent à poser les mains (I). La traversée, entre la cime Occidentale et le sommet Oriental plus élevé de 6 mètres d'après nos deux altimètres, est aérienne par les à-pics de son versant Nord, elle était par moments balayée par de puissantes rafales de vent. Dans la descente, vers 2300 mètres, ayant trouvé une superbe terrasse avec une large pierre horizontale qui nous servira de table, nous ferons une pause restauration **** d'une heure face au superbe circo (cirque) de Ip enserré entre les picos de la Tronquera et la Pena Collarada. Après être repassé près du nouveau refuge del l'Ibon de Ip, nous remonterons vers l'ancien refuge pour débuter la descente de la vallée de Ip par sa rive gauche; sur des traces de sentes en suivant un ancien balisage vert-blanc et des cairns, mais ne sachant pas si cet itinéraire nous ramènerait à notre point de départ, nous traverserons trois talwegs pour aller sagement retrouver notre itinéraire de montée en rive droite. Une centaine de mètres avant d'atteindre le Puente de los Peregrinos nous y verrons un ancien écriteau "AL IBON DE IP POR LA BESERA" confirmant qu'il y a, ou qu'il y avait, un itinéraire en rive gauche. Nous retrouverons la voiture à 18 h25 après environ 1900 mètres de dénivelé positif pour autant de négatif. Une sortie où nous avons pris tout notre temps pour apprécier et photographier la flore smile , ainsi que pour apercevoir des lagopèdes, marmottes, isards et vautours sarcastic cool .

    Carte Edirorial Alpina Geo/Estel 1:25000 E-25 Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún.

    Voir galerie photos Pala de Ip

     


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    * 1 novembre 1996 le pic des Moines (2349 m.), depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) au Nord-Est du col du Somport, en remontant direction Nord au-dessus de la rive droite du barranco del Escalar pour passer sur la rive droite du ibon del Escalar (2078 m.), aller chercher à l'Est le col des Moines (2168 m.) puis au Nord le col de Bénou afin de gravir au Nord-Est la crête qui mène au sommet. Retour en passant par la rive gauche du Ibon del Escalar et en descendant par la rive gauche du barranco del Escalar.

    Cartes 1:25000 Editorial Alpina Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún et IGN Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    Il y avait quelques névés, sur la rive gauche du ibon del Escalar ainsi qu'au col de Bénou.

    Parti à 7 h10, je passais à 8 heures à l'ibon del Escalar, à 8 h25 au col des Moines et j'étais au sommet à 8 h40 pour retrouver ma voiture à 10 heures après un dénivelé positif de 670 mètres pour autant de négatif.

    Voir galerie photos Pic des Moines




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  • * 1 juillet 2008 l'embalse de Ip (2115 m.) depuis l'aire de stationnement du Puente de los Peregrinos (1050 m.) au Nord de Canfranc Pueblo, en remontant au Nord la piste du camino de Santiago pour la quitter afin d'aller remonter direction Est la vallée de Ip en rive droite pour passer à la cabana de la Paridera, au refugio ou cabana del Ibon (2075 m.), à la Presa (barrage) de l'embalse de Ip (2115 m.), aux sommets Nord de l'embalse (2183 m., 2183 m., et 2192 m.) et retrouver l'itinéraire de montée au refugio ou cabana del Ibon.

    Carte Editorial Alpina 1:25000 Candanchú -Astú n-Canfranc ou Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún.

    Randonnée botanique.

    Parti à 7 h 15, j'étais à l'embalse de Ip à 10 h 30, au sommet Nord de l'embalse à 11 heures que je quittais à 11 h 30 pour retrouver ma voiture à 14 heures après un dénivelé positif de 1200 mètres pour autant de négatif et une belle journée ensoleillée glasses .

    Voir galerie photos Embalse de Ip




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  • * 1 juin 1995 le pico del ibon del Escalar (2278 m.) (pic Sud-Est du ibón del Escalar ou encore pic Sud du col des Moines) depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) au Nord-Est du col du Somport, en remontant direction Nord au-dessus de la rive droite du barranco del Escalar, pour passer sur la rive droite du ibon del Escalar et aller chercher direction Est-Sud-Est la crête frontière au Sud du col des Moines pour la remonter plein Sud jusqu'au sommet. Retour en passant par la rive gauche du Ibón del Escalar et au-dessus de la rive gauche du barranco del Escalar.

    Cartes 1:25000 Editorial Alpina Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún et IGN Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    Itinéraire enneigé depuis le départ (il avait neigé la veille), visibilité bouchée par le brouillard.

    J'ai mis 3 h 30 pour cette randonnée d'un dénivelé positif de 600 mètres pour autant de négatif.

     Voir galerie photos Pico del Ibón del escalar




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    * 11 juin 2001 la crête La Raca col des Moines (2288 m.) depuis l'aire de stationnement de la station de Astún (1710 m.) au Nord du col du Somport, en remontant vers le Sud en suivant par endroits les pistes de ski pour passer au restaurant d'altitude (2022 m.), au sommet de La Raca (2284 m.), et suivre la crête au Nord-Est en passant par le sommet Est de La Raca (2240 m.), le collado de Anayet (2145 m.), le sommet Sud de Mala Cara (2241 m.), le sommet du pico de Mala Cara (2269 m.) pour y suivre la crête frontière vers le Nord-Ouest et passer au collado de Astun (2189 m.), au sommet du pic d'Astu (2279 m.), au sommet du pico d'Astún (2288 m.), au sommet du pico del ibon del Escalar (ou pic Sud-Est du ibon del Escalar) (2278 m.), au col des Moines (2169 m.) et à partir de là, descendre au Sud-Ouest pour longer la rive gauche du ibon del Escalar 2078 m.) pour passer à son déversoir et descendre au-dessus de la rive gauche du Barranco del Escalar pour rejoindre le point de départ.

    Cartes 1:25000 Editorial Alpina Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú Astún et IGN Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    J'ai rencontré trois sympathiques randonneurs de Saint-Palais sous le sommet du pico de Astún. Dans la descente sous le déversoir du ibon del Escalar, je me suis blessé au genou gauche en faisant une belle chute.

    Parti à 9 h 50, j'étais de retour à 14 h 40 après un dénivelé positif de 1000 mètres pour autant de négatif et une assez belle journée ensoleillée.

    Voir galerie photos Crête La Raca col des Moines




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    * 7 juin 2006 la Peña Collarada (2886 m.)  depuis le refugio Cubilar de la Espata (1630 m.) au-dessus de Villanua (vallée de Canfranc), en remontant le vallon direction Est pour l'abandonner afin de remonter au Nord le vallon de Maranan, aller chercher au fond de celui-ci à l'Est de la cote 2416 le couloir qui permet d'arriver à un col anonyme (2400 m.) pour continuer la remontée plein Nord et passer à un autre col anonyme (2470 m.), au collado de Ip (2590 m.) et suivre la crête direction Nord-Est jusqu'au sommet.

    Carte 1:25000 Editorial Alpina Sierra de la Partacua Peña Telera.

    Départ à 10 h. 30, passage au col anonyme (2400 m.) à 12 h. 16 et au collado de Ip à 13 h. 03 pour arriver au sommet smile à 13 h. 46. Départ du sommet à 14 h. 15 pour retrouver la voiture à 16 h. 20 après 1280 mètres de dénivelé positif et autant de négatif. Pour pouvoir monter en voiture jusqu'au refugio Cubilar de la Espata, il faut passer par l'ayuntamiento (mairie) de Villanua pour demander l'autorisation écrite d'emprunter la piste de la Collarada (Decreto 96/1990, de la Diputacion General de Aragon).

    Voir galerie photos Peña Collarada




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