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    * 6 juin 2012, depuis l'aire de stationnement de la Place du village de Canejan  (910 m.), en montant direction générale Nord à droite de l'église, puis (1100 m.) direction générale Est, et à la cote 1352 montée hors sentier direction Nord-Est afin d'aller chercher la crête frontière à la croix et borne frontière numéro 413 (1550 m.) pour redescendre Ouest-Nord-Ouest au Pas de Trentenade (1430 m., borne frontière numéro 411), puis remonter Est-Sud-Est pour passer à la croix frontière numéro 412 (1470 m.), repasser à la croix et borne frontière numéro 413 (1550 m.), passer à la croix et borne frontière numéro 414 (1588 m.) et continuer la remontée de la crête frontière jusqu'au sommet du Tuc de la Goute ou Tuc dera Gota (1652 m. ign français ou 1644 m. ign espagol), en descendre au Sud pour passer au col de Puymaurin ou Colhet de Puymaurin (1613 m.), continuer la descente direction Ouest-Sud-Ouest puis (1450 m.) direction Ouest-Nord-Ouest pour retrouver le sentier de montée (1352 m.) qui ramène à Canejan.

    Le but de cette sortie était de compléter ma collection de bornes, croix ou signes frontière du secteur.

    Parti à 6 h57, une heure après je passais à la cote 1352. Après avoir fait plusieurs remontées et descentes pour trouver la croix frontière numéro 412 sarcastic , j'étais de retour à 12 h15, après un dénivelé positif d'environ 1100 mètres pour autant de négatif et une journée assez bien ensoleillée.

    Au retrour je me suis arrêté près du pont du Roi pour y photographier les divers signaux frontière du pont et les bornes frontière placées par EDF sur les rives de la Garonne (7 sur chaque rive), suite à la construction du barrage de Plan d'Arem qui a formé un lac artificiel entraînant une montée du niveau des eaux de la Garonne. Des bornes frontière EDF, cela n'est pas courant happy .

    Carte IGN 1:25000 Aspet Pic de Maubermé 1947 OT, 1:40000 Editorial Alpina Val d'Aran et IGN espagnol signa.

    Voir galerie photos Tuc de la Goute et bornes EDF de la Garonne


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    * 17 novembre 2012, depuis le parking supérieur de la station de Gourette (1380 m.), en suivant Sud-Sud-Est le sentier balisé rouge et blanc du GR 10 en direction du lac d'Anglas, pour aller traverser la passerelle qui enjambe le Cardet ruisseau (1370 m.) puis celle qui enjambe le Valentin ruisseau (1450 m.), remonter dans le bois de Saxe, en ressortir (1500 m.) pour longer la vallée du Valentin direction Sud au-dessus de la rive gauche du Valentin ruisseau, laisser filer à gauche le chemin des cabanes de Coste de Goua puis celui du lac d'Uzious (1700 m.), continuer direction générale Sud-Ouest (1850 m.), passer sur la rive droite du lac d'Anglas (2068 m.), continuer direction Sud et passer près des bâtiments en ruines des anciennes mines de fer, remonter en courts lacets  (2100 m.) pour ensuite virer direction Ouest (2250 m.), puis laisser filer le GR 10 à droite (2320 m.) pour aller chercher plein Ouest la crête (2586 m.) et la suivre à droite Nord, passer à l'antécime (2601 m.) pour terminer Nord-Ouest au sommet d'Arre Sourins (2614 m.) et revenir par le même itinéraire avec une variante pour aller descendre le couloir situé au pied de la face Nord-Ouest du pic d'Anglas.


    Partis à 8 heures avec Roland, Eric, Laurent, Benoit et Mathieu, à 8 h40 nous passerons à la bifurcation du lac d'Uzious pour atteindre le lac d'Anglas à 9 h30. Pendant qu'avec Roland et Eric nous ferons une petite halte vers 2100 mètres, près des bâtiments en ruines des anciennes mines de fer, les plus jeunes, qui se préparent pour la Pyrénéa triathlon 2013, continueront sur la neige vers le sommet d'Arre Sourins. Nous, non pas par la force de l'âge mais forcés par l'âge qui nous impose quelques haltes, nous profiterons davantage de ces espaces paradisiaques qui sont aussi des lieux de pèlerinage pour Roland, en prenant garde aux trous entre les blocs dissimulés par une couche de neige pas assez épaisse. Sur la crête sommitale, il n'y a presque plus de neige, le versant Sud-Ouest d'Arre Sourins est complètement déneigé et juste après le passage d'une dalle inclinée glacée où il faut faire attention, nous parviendrons au sommet d'Arre Sourins à 11 h50. Après une descente avec crampons piolet pour passer dans un couloir situé au pied de la face Nord-Ouest du pic d'Anglas, de 13 h15 à 14 h15, nous ferons une pause restauration sur un replat vers 2250 mètres. Nous retrouverons la voiture à 16 heures après un dénivelé positif d'environ 1250 mètres pour autant de négatif.


    Carte IGN 1:25000 Top 25 Vignemale Ossau Arrens Cauterets Parc National des Pyrénées 1647 ET.

    Voir galerie photos Arre Sourins




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    * 17 février 2012, depuis le parking avant les ventas d'Ibardin (330 m.), pour suivre la ligne frontière direction Ouest en passant par la borne frontière numéro 12 sur le parking de la venta Peio (350 m.), puis direction Ouest-Nord-Ouest passer au lieu appelé Mandoléco-béhéreco-soroa (450 m., borne frontière numéro 11), y virer Sud-Ouest pour ensuite passer à la borne frontière numéro 10 (560 m.), y virer Ouest pour aller au sommet de Mandale ou Faringaïna ou Manttale (573 m. - borne frontière numéro 9), y virer Sud-Ouest et passer à l'endroit nommé Cigorraco-arria ou Cigorraco-arrigaïna (550 m., borne frontière numéro 8), au lieu nommé Mia-méaca (510 m., borne frontière numéro 7), à Elorrilepo, à Aranoco-arria ou Arrañoco Harria (458 m., borne frontière numéro 6), y virer Ouest pour passer au petit col d'Alcozpé ou Alcozpécolépoa (360 m., borne frontière numéro 5), à Alcozpéco-saroya ou Azkope ou Askopé (carte IGN) (384 m., borne frontière numéro 4), y virer Sud-Ouest et passer au lieu nommé Alcozpé (360 m., borne frontière numéro 3) et à l'endroit nommé Alcandia (300 m., borne frontière numéro 2) et retour par la borne frontière numéro 3 (360 m., la borne frontière numéro 4 (384 m.), la borne frontière numéro 5 (360 m.), la borne frontière numéro 6 (458 m.), la borne frontière numéro 7 (510 m.), la borne frontière numéro 8 (550 m.), la borne frontière numéro 9 au sommet de Mandale ou Faringaïna ou Manttale (573 m.), la borne frontière numéro 10 (560 m.), passage au col d'Ibardin (317 m. - borne frontière numéro 13) pour traverser la route D 404 et monter Nord-Nord-Est en suivant le GR 10, puis Sud-Est (330 m.), abandonner le GR 10 lorsqu'il vire au Nord (390 m.) pour continuer Sud-Est jusqu'à atteindre la crête frontière à l'endroit nommé Guardiaco-échola (410 m., borne frontière numéro 14), pour y suivre cette crête Est-Nord-Est, passer au sommet de Erenzazouco-gaïna ou Erintsu (carte IGN) (422 m. - borne frontière numéro 15), à Erenzazouco-lépoa ou col d'Erenzazou (400 m., borne frontière numéro 16), à Erenzazouco-gaïna (400 m., borne frontière numéro 17), au sommet de la Pena Erenzazuco-aspico-arria ou Armalo (425 m.) et retour en suivant la ligne frontière sur la crête en repassant par le col d'Ibardin.

    Parti à 8 h50, après une halte au site des cromlechs situés près de la brèche, j'arrivais au sommet du Mandale à 9 h33 pour en repartir à 9 h43. A 9 h55 j'étais près de la borne frontière numéro 7 à la recherche d'une ancienne croix gravée sur une roche à 5 m85 de la borne selon le procès-verbal d'abornement de l'époque. Je l'ai finalement découverte, elle était cachée par la mousse et le lichen. Après un bon nettoyage je repartais à 10 h18 et m'amusais à réaliser par endroits quelques passages d'escalade et de désescalades de rochers et de dalles situés sur et près de la ligne frontière. Après une erreur de parcours dans la descente vers la borne frontière numéro 2, due à une progression dans une zone d'épineux qui me dépassaient et qui n'offraient pas de visibilité, j'arrivais finalement à cette borne à 11 heures. Je débutais mon retour à 11 h40 pour revenir par le même itinéraire en passant à 12 h43 au sommet du Mandale pour descendre ensuite au col d'Ibardin où je passais à 13 h11. De 13 h50 à 14 h03 j'étais au sommet de la Pena Erenzazuco-aspico-arria et je retrouvais ma voiture à 14 h30 après un dénivelé positif de 750 mètres pour autant de négatif. Je n'ai croisé personne, par contre il y avait de nombreux vautours, pottoks (petits chevaux ou poneys) et quelques betizus ou betisoak (petites vaches sauvages).

    Le but de cette randonnée était d'essayer de trouver quelques anciennes bornes et croix frontalières d'abornements antérieurs au Traité du 2 décembre 1856.
    Outre les 16 bornes frontières, de la numéro 2 à la numéro 17, issues de cet abornement de 1856 dont certaines plus anciennes avaient été utilisées, et en partant de la borne frontière numéro 2, j'ai trouvé:
    -Près de cette borne frontière numéro 2 et sur le même rocher, à environ 2 mètres il y a une croix grecque à bouts pattés sans numéro (300 m.), sur le rocher situé derrière et juste à coté il y a une autre croix grecque à bouts pattés ainsi qu'une croix latine.
    -Près de la borne frontière numéro 7, et 6 mètres avant d'y arriver, il y a une ancienne croix sans numéro gravée sur la roche à gauche du sentier (510 m.).
    -Entre les bornes frontière 9 et 10, il y a une borne sans numéro (565 m.)
    -Entre les bornes frontière 11 et 12, il y a une ancienne borne, pierre dressée en forme de stèle, avec une croix gravée sur la partie supérieure horizontale (420 m.).
    -Entre les bornes frontière 13 et 14, il y a une ancienne borne, pierre dressée en forme de stèle, avec une croix gravée sur la partie supérieure horizontale (360 m.).
    -Presque 3 mètres après la borne frontière numéro 14, il y a une ancienne borne, pierre dressée en forme de stèle (410 m.).
    -Entre les bornes frontière 14 et 15, il y a une ancienne borne, pierre dressée en forme de stèle, avec une croix gravée sur la partie supérieure horizontale (415 m.).
    Je n'ai pas trouvé:
     -Une croix qui était gravée sur le rocher d'Erenzazouco-aspico-arria (397 m.), situé 14 mètres après la borne frontière 17. Ce rocher qui est un gros bloc de grès rouge, rose et noir, est très détérioré et tenu en équilibre par un empilage de pierres qui semblent issues de ce même bloc. Sur le bord supérieur droit, il y a un semblant de gravure de croix détériorée, mais je doute que ce soit l'emplacement de la croix originelle.
       
    Carte IGN 1:25000 Hendaye Saint-Jean-de-Luz 1245 OT.

    Voir galerie photos Mandale ou Manttale depuis Ibardin 17 02 2012


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  • Le pic de Ronglet depuis Accous en passant par le col de Liard, le 10 novembre 2012
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    * 10 novembre 2012, depuis la fin de la piste qui longe la Berthe rivière à l'Est d'Accous (840 m.), pour traverser à gué le torrent d'Araille, et aussitôt après, laisser filer la piste de la Borde Apiou pour suivre à gauche un sentier qui remonte en forêt direction générale Est puis Sud pour sortir de la forêt (1208 m.), continuer Est-Sud-Est en passant près de la fontaine de la Cagote pour aller traverser le Lapassa ruiseau (1300 m.) en laissant à droite la cabane du Lapassa, longer Est-Sud-Est la rive gauche en traversant un ruisseau confluent pour remonter en lacets la croupe qui les sépare, laisser filer le sentier du col d'Iseye lorsqu'il vire à gauche Nord (1650 m.) pour remonter hors traces direction Sud-Est vers la cote 1835, continuer la remontée Sud-Sud-Ouest sur un relief accidenté puis dans un défilé afin d'atteindre un plateau herbeux suspendu (1920 m.), le traverser à droite direction Sud-Ouest pour aller faire une montée à flanc (1950 m.) en diagonale ascendante orientée Ouest vers le col de Liard (2118 m.) puis monter plein Nord vers les falaises Sud du Ronglet, descendre de quelques mètres à droite sur le flanc Oriental de la crête herbeuse, pour atteindre la base des falaises au pied d'une faille verticale où est enclavée une cheminée (II -), et après l'avoir remontée pour ensuite arriver dans une brèche située sur la crête, gravir à gauche le raide éperon pour redescendre de l'autre côté afin de traverser une brèche et remonter au sommet du pic de Ronglet (2180 m.). Retour par le même itinéraire jusqu'à la cote 1835 où on continue direction Nord pour trouver un sentier presque horizontal qui traverse à flanc Occidental le Pas de Congas afin de parvenir au col d'Iseye (1829 m.), descendre Ouest pour passer près de la cabane d'Escurets (1700 m.) et aller retrouver hors traces l'itinéraire de montée (1450 m.) qui ramène au point de départ.     

    Partis sous la pluie à 7 h30, avec Dino,  nous sortirons de la forêt à 8 h30 au moment où il arrêtera de pleuvoir. A 9 h45 nous quitterons l'itinéraire du col d'Iseye en montant hors traces direction générale Sud-Est sur des pentes raides pour trouver quelques cairns à l'entrée du plateau herbeux suspendu. Après avoir remonté la pente qui mène au col de Liard sous quelques grains de grésil, à 11 h15 nous laisserons nos sacs au pied de la cheminée de droite qui donne accès à la crête sommitale. Cette cheminée n'est pas difficile à surmonter, il faut tester les prises et faire attention aux pierres instables entassées en équilibre à sa sortie. Le franchissement de l'éperon ainsi qu'un passage aérien sur la crête sommitale étaient rendus délicats par la mauvaise qualité de la roche et la présence de courte végétation (arbustes) humide avec un peu de neige fraîche. La cheminée de la voie normale décrite par certains guides, cotée II par certains et II Inférieur par d'autres, est située à une trentaine de mètres à gauche de la faille verticale où est enclavée la cheminée que nous avons empruntée. Parvenus à 11 h40 au sommet, nous ne traînerons pas et après un début de descente prudente, nous ferons une pause restauration de 12 h45 à 13 h30,  vers 1900 mètres, sous le plateau herbeux suspendu, près d'un gros rocher. Nous aurons même les glaçons qui tomberont du ciel sous forme d'une petite averse de neige. Nous passerons au col d'Iseye à 13 h45 pour descendre avec le soleil glasses à vue et hors sentier jusqu'à 1450 mètres et retrouver la voiture à 15 h25, après un dénivelé positif d'environ 1400 mètres pour autant de négatif.

    Carte IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    Voir galerie photos Pic de Ronglet




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