•  * 27 juin 2016 depuis l'aire de stationnement de Bious-Artigues (1422 m.) au terminal de la route D 231 au-dessus de Gabas, en suivant la piste pastorale qui longe direction Sud la rive droite du lac de Bious-Artigues, puis direction générale Sud-Ouest passe par Hounrède, franchit le Pont d'Ayous, puis le Pont de Bious pour traverser au Sud-Ouest la plaine de Bious (1538 m.) rive droite du gave de Bious, passer à l'Ouest de la cabane de Cap de Pount (1642 m.), traverser la passerelle qui enjambe le gave de Bious (1566 m.) pour remonter au-dessus de la rive gauche jusqu'aux cabanes de la Hosse (1723 m.), y continuer direction Sud, passer sous les cabanes de Lous Québottes, puis hors traces à l'Est de la cabane de la Glère (1720 m.) pour remonter plein Sud le vallon situé entre le Caillabet de Rébec à l'Ouest et la Pène dou Lapassa à l'Est, parvenir au col qui sépare ce dernier sommet de la Pène de Houer (2010 m., non coté par l'IGN français et coté 2015 m. par l'IGN espagnol), gravir Nord-Est la crête qui mène au sommet de la Pène dou Lapassa (2075 m. sur la nouvelle carte IGN français, 2077 m. sur l'ancienne carte), revenir au col (2010 m.) pour remonter Sud-Ouest la crête qui mène au sommet de la Pène de Houer (2098 m. par l'IGN français et 2102 m. par l'IGN espagnol), revenir pour repasser une troisième fois au col (2010 m.) y retrouver l'itinéraire de montée afin de le suivre jusqu'au point de départ. 

    Parti à 6 h35, à 7 h10 je passais au pont de Bious, à partir de la cabane de la Glère j'évoluais dans le brouillard et sur un sol détrempé, par endroits raide, en privilégiant le lit du cours d'eau où affleure par endroits le tuyau d'une prise d'eau. Vers 1900 mètres, je passais au-dessus des nuages mais le sol était toujours bien mouillé. Sous le col qui sépare le Caillabet de Rébec de la Pène dou Lapassa il y avait un large névé glacé mais facile à traverser et après un passage aérien dans la dernière partie de la crête de la Pène dou Lapassa, où il faut utiliser les mains pour franchir un éperon rocheux et bien tester les prises, de 9 h45 à 10 h30 j'étais au sommet où je me suis amusé à confectionner un cairn. Je suis descendu d'une bonne trentaine de mètres sur la face Nord pour revenir au sommet car je voulais aller visiter la voisine Pène de Houer. Descente vers le col coté 2015 prudemment avec utilisation du piolet en pioche pour désescalader la très raide partie herbeuse encore mouillée eek . La montée de la large crête Nord-Est de la Pène de Houer est facile et se réalise sans peine, de 10 h50 à 11 heures j'étais à son sommet et après un retour tranquille surtout dans la descente du vallon situé entre le Caillabet de Rébec et la Pène dou Lapassa où l'herbe était encore bien humide,  je retrouvais ma voiture à 13 h20 après environ 800 mètres de dénivelé positif pour autant de négatif, un parcours bien fleuri et une journée bien ensoleillée glasses ... au-dessus des nuages.

    Carte IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc national des Pyrénées 1547 OT.

    Voir galerie photos Pène dou Lapassa et Pène de Houer


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    * 20 juin 2016 depuis le parking de la station de ski du Port de la Bonaigua (2072 m.) en bordure de la route C -28 au Sud-Est de Baqueira,  en passant sur le pont qui enjambe la route pour remonter direction Nord-Nord-Est en suivant la piste, la quitter lorsqu'elle vire à gauche (2120 m) pour suivre à droite direction Nord-Est le vallon Cornèr de Vaquèira qui mène à la Colhada (col) de Montanhon, l'abandonner en arrivant au fond du cirque (2220 m.) par une raide remontée à gauche direction Nord, passer aux Bassetes des Arcoïls (2377 m.) puis à l'Estanhòla des Arcoïls ou Estanyet d'Escornacrabes (2396 m.) d'où on remonte Ouest puis Nord pour atteindre la crête au col Occidental du Tuc dera Llança (2544 m.) afin de la remonter à droite, Est, jusqu'au sommet du Tuc dera Llança ou Tuc de la Llança (2658 m.), revenir au col Occidental (2544 m.) pour gravir Ouest-Nord-Ouest la crête qui mène au sommet du Tuc des Arcoïls ou Escornacrabes (2612 m. par IGN es Signa et 2613 m. par l'Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya), en descendre en suivant la crête Sud pour l'abandonner (2570 m.) en se déportant un peu au Sud-Est afin de continuer la descente à flanc direction Sud jusqu'à atteindre une piste (2370 m.), la suivre direction Sud-Ouest, passer au col non nommé coté 2334, remonter légèrement pour passer à droite du bâtiment d'arrivée des télésièges de Argulls, descendre Sud au proche Coth (col) des Arcoïls (2326 m. ou 2327 m. selon les cartes) et suivre en direction générale Sud la piste Cresta de Bonaigua, l'abandonner à la cote 2253 pour suivre un sentier à flanc direction Est qui va rejoindre le fond du vallon Cornèr de Vaquèira en aval du cirque où on retrouve l'itinéraire de montée (2200 m.), qui ramène au Port de la Bonaigua.

    Il y avait quelques névés peu pentus à traverser mais les crampons et le piolet que j'avais fait suivre sont restés dans et sur le sac.

    Parti à 6 h45, après avoir traversé quelques névés, je passais près des Bassetes des Arcoïls à 7 h45. Sur la carte IGN es Signa ce nom désigne deux petites étendues d'eau qui ne faisaient qu'une grande étendue lors de mon passage. De 7 h52 à 8 heures je traversais le névé qui bordait la rive Sud de l'Estanhòla des Arcoïls ou Estanyet d'Escornacrabes. La montée vers le col Occidental du Tuc dera Llança se déroule sur un terrain herbeux, caillouteux et terreux bien raide. De 8 h30 à 8 h38 je profitais de la vue offerte par ce col. La montée de la crête qui mène au sommet du Tuc dera Llança est à prendre au sérieux, il faudra sortir les mains des poches pour s'accrocher au rocher et bien assurer la stabilité des pieds. Lors de mon passage il y avait un peu de neige et je me suis trompé lorsque l'on doit contourner une falaise verticale par la droite, j'ai poursuivi un peu trop loin à flanc alors qu'il fallait remonter en suivant à gauche, c'était chaud, chaud, chaud arf erf , surtout pour le retour en descente où toutes les prises même les touffes d'herbe étaient les bienvenues sarcastic . De 9 h20 à 9 h35 j'étais au sommet du Tuc dera Llança qui offre un panorama à couper le souffle oh ... Après une descente prudente où il faut faire très attention sur certains passages, je repassais au col Occidental du Tuc dera Llança à 10 heures. De 10 h17 à 10 h30 j'étais au sommet du Tuc des Arcoïls nommé Escornacrabes par l'Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya, où je me suis amusé à élever un cairn de neuf étages (une pierre à chaque étage). A 11 h30 je passais au Coth (col) des Arcoïls et à 12 h14 je retrouvais ma voiture après un dénivelé positif d'environ 750 mètres, pour autant de négatif et une superbe journée de veille d'été bien ensoleillée glasses .

    Cartes Mapa Excursionista Editorial Alpina 1:40000 Val d'Aran et 1:50000, RANDOéditions pica d'estats-aneto parc nacional d'aigüestortes i estany de sant mauric, IGN espagnol Signa et Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya.

    Voir galerie photos Tuc dera Llança et Tuc des Arcoïls


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  • * 5 juin 2016 depuis le parking de Sestas ou Sextas (1500 m.) de la station de ski de Formigal, au Sud-Est du col du Pourtalet et en bordure de la route A-136, en allant traverser le Puente (pont) de Sestas ou Sextas qui enjambe le río Gállego pour remonter direction générale Sud en suivant la piste, passer à la Estación de Esquí (station de ski) de Formigal (1870 m.), continuer Ouest Sud-Ouest en suivant le GR 11 sur le Camino (chemin) de Izas pour remonter le Barranco de los Campos de Troya au-dessus de la rive droite puis (1930 m.) au-dessus de la rive gauche, parvenir au collado (col) de Izas (2238 m.) afin de remonter la crête à gauche, direction Sud, jusqu'au sommet du pico de las Tres Huegas ou Tres Guegas ou Tres Bornas (2302 m., 2304 m., 2305 m. ou 2306 m. selon les cartes), continuer à suivre la crête en montagne russe direction Est pour passer au col coté 2199, au sommet coté 2216 ou 2217 selon les cartes, au col coté 2172, au sommet de Cerro de Izas (2251 m. ou 2257 m. selon les cartes), puis au Nord au sommet du pico de los Tres Hombres (2271 m. ou 2276 m. selon les cartes), au Nord-Est au proche sommet coté 2273, puis direction Est-Nord-Est au col coté 2209 puis au sommet de la Punta Sorpena (2249 m.) pour revenir au col coté 2209, descendre Nord puis Ouest (2140 m.) pour aller trouver une piste (2100 m.) qui ramène direction générale Nord à la Estación de Esquí (station de ski) de Formigal (1870 m.) où on retrouve l'itinéraire de montée.

    J'ai utilisé les raquettes à neige sur le Camino (chemin) de Izas à partir de 2000 mètres jusqu'au collado (col) de Izas et les crampons à quatre reprises sur la piste en neige dure  située sous le col coté 2209 et qui ramène à la Estación de Esquí (station de ski) de Formigal (1870 m.), dont une fois pour traverser une raide coulée de neige qui était passée sur cette piste.

    Parti à 5 h58, après avoir quitté deux fois la piste pour faire des montées directes, de 7 h10 à 7 h25 j'étais à la Estación de Esquí (station de ski) de Formigal (1870 m.). L'accès à la station est interdit entre 17 heures et 8 h45 sauf aurorisation expresse de la station. Le début de la crête qui mène du collado (col) de Izas au pico de las Tres Huegas est très raide, elle était en partie déneigée sur son versant Ouest mais l'herbe était un peu gelée. De 9 h30 à 9 h50 j'étais au sommet du pico de las Tres Huegas. En suivant la crête, où il n'y a pas de sentier, il y avait quelques névés faciles à traverser et de 10 h25 à 10 h30 j'étais au sommet coté 2216 ou 2217. Après avoir remonté une cheminée, où il faut s'aider des mains et à la base de laquelle j'ai réalisé un cairn, puis traversé un  gros névé peu pentu, de 11 h20 à 11 h30 j'étais au sommet de Cerro de Izas. La cheminée peut s'éviter en allant un peu plus loin trouver des pentes herbeuses, plus abordables, qui permettent de retrouver la crête. A 11 h38 je foulais le sommet du pico de los Tres Hombres que je quittais à 11 h45 après avoir amélioré le cairn et de 12 h03 à 12 h10 j'étais au sommet de la Punta Sorpena où je me suis également amusé à améliorer le cairn. A 14 h10 je retrouvais ma voiture après un dénivelé positif d'environ 1100 mètres pour autant de négatif et une distance parcourue de près de 14 kilomètres par une superbe journée ensoleillée glasses .

    Carte 1:25000 Editorial Alpina Geo/Estel Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú-Astún et carte IGN espagnol Signa.

    Voir galerie photos Pico de las Tres Huegas et pico de los Tres Hombres


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    * 1 avril 1996 depuis l'aire de stationnement du Caillou de Soques (1392 m.) en bordure de la route D 934 du col du Pourtalet, en descendant Ouest pour aller traverser la passerelle qui enjambe le gave de Brousset (1350 m.), puis remonter direction générale Ouest le ravin du ruisseau de Pombie, passer à la cabane de Puchéoux et remonter plein Ouest le vallon du ruisseau de Pombie pour rejoindre le sentier descendant du col de Soum de Pombie à 2050 mètres et descendre au Nord jusqu'au refuge de Pombie (2031 m.) et au lac de Pombie invisible sous la neige pour revenir par le même itinéraire.

    Randonnée effectuée sur neige à partir de 1500 mètres et en raquettes à partir de 1550 mètres par une belle journée ensoleillée avec quelques nuages bloqués hors du secteur par les sommets voisins.

    Parti à 9 h.56, j'étais au refuge de Pombie à 12 h.44 pour être de retour à 14 h.14.

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT.

    Voir galerie photos Lac et refuge de Pombie 1 04 1996


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  • * 20 juin 1996, depuis l'aire de stationnement du  Caillou de Soques (1392 m.) en bordure de la route D 934 du col du Pourtalet au-dessus de Gabas, en remontant au Nord-Est pour traverser le bois, puis la passerelle qui enjambe le ruisseau d'Arrious (1580 m.) afin de remonter en rive droite le vallon d'Arrious, passer à la Quèbe d'Arrious puis, à l'entrée d'un petit plateau (2060 m.), laisser filer à droite l'itinéraire du col de Sobe, continuer Est-Nord-Est sur le sentier jusqu'au col d'Arrious (2259 m.), bifurquer à droite Sud-Est, passer au-dessus de la rive droite du lac d'Arrious (2285 m.) et franchir la crête Nord-Ouest du pic du lac d'Arrious pour faire demi-tour au milieu du passage d'Orteig qui traverse en corniche la face Nord de ce pic et qui permet d'aller rejoindre à l'Est le lac d'Arrémoulit, revenir au col d'Arrious (2259 m.) et descendre Nord-Est afin de rejoindre le sentier venant du lac d'Artouste (2080 m.) afin de le suivre à droite Sud-Est jusqu'au déversoir du lac d'Arrémoulit (2260 m.) et terminer au refuge d'Arrémoulit (2265 m). Retour par le même itinéraire jusqu'à la passerelle qui enjambe le ruisseau d'Arrious (1580 m.), ne pas la franchir en restant sur le sentier qui longe la rive droite pour aboutir à l'ancien téléphérique (1376 m.), près du Pont d'Arrious, en bordure de la route D 934 qu'il n'y a plus qu'à remonter au Sud pour retrouver le point de départ.

    Même s'il a été sécurisé par le CAF puis équipé d'une main courante (câble) par le Parc National des Pyrénées au début des années 90, le passage d'Orteig n'est à emprunter qu'avec de bonnes conditions, sec, non glacé et déneigé. Pour les sujets au vertige, une corde sera utile pour rassurer les uns et une double longe pour assurer les autres. En cas de mauvaises conditions ne pas hésiter à faire comme nous, l'humidité du terrain et la présence de neige nous ayant fait faire demi-tour au milieu du passage, nous sommes revenus au col d'Arrious pour descendre au Nord-Est afin de rejoindre le sentier permettant la liaison du lac d'Artouste au lac d'Arrémoulit.

    Avec Marcel nous avons effectué cette randonnée en 7 heures avec 1350 mètres de dénivelé positif pour autant de négatif.

    Carte IGN 1:25000 TOP 25 Vignemale 1647 OT.

    Voir galerie photos Lacs d'Arrémoulit et d'Arrious


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