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    * 27 septembre 2011 depuis le terminal de la piste du hameau d'Aynis (1410 m.) à l'Est de Bernazau et au-dessus de Grust, pour suivre à gauche un sentier balisé d'un trait jaune qui monte à flanc direction générale Sud-Ouest, pour passer près de la résurgence de Coueyla Gran (1829 m.), continuer direction Sud et passer par la cote 1935, puis à l'abri de Lagües pour longer le lac de Lagües (2035 m.) par la rive gauche, passer à la cote 2113, puis direction Sud-Sud-Ouest atteindre le lac de Cantet (2382 m.) pour le contourner à droite par sa rive gauche, laisser le lac Herrat (2390 m.) à gauche, passer entre le lac de Casdabat (2411 m.) et le lac Grand (2437 m.) pour commencer à remonter (2470 m.) une vaste zone de blocs d'éboulis de toutes tailles, d'abord direction Sud puis vers 2620 mètres à l'Ouest pour atteindre la crête Nord-Nord-Ouest de l'Ardiden près de la cote 2823, et la suivre à gauche Sud-Sud-Est en passant par la cote 2835 pour atteindre le sommet du pic d'Ardiden (2988 m.). Retour par le même itinéraire jusqu'à la cote 2835 pour plonger Nord-Est récupérer l'itinéraire de montée, le quitter vers la cote 2681 pour suivre le fond du vallon encombré de blocs qui mène direction Nord au lac Grand, suivre sa rive droite (2439 m.) pour récupérer l'itinéraire de montée à la cote 2453 et enfin contourner le lac de Cantet par sa rive droite pour retrouver l'itinéraire de montée et ne plus le quitter jusqu'à la voiture.

    Pour accéder au point de départ, il faut suivre la route D 12 qui mène à la station de Luz-Ardiden et la quitter après le village de Grust, à l'entrée d'un virage à droite, pour suivre à gauche la route fléchée "Plateau de Bernazaou". Cette route goudronnée se termine au départ de deux pistes, il faut emprunter celle de gauche (en assez mauvais état en septembre 2011 mais accessible aux véhicules de tourisme) qui se termine à l'entrée du hameau d'Aynis où on trouve à gauche, en bordure de la piste, de la place pour garer une demi-douzaine de voitures.

    Parti à 7 h30, je faisais une pause à l'abri de Lagües de 8 h41 à 8 h55. Il y a une plaque au-dessus de l'entrée qui signale "Cabane Lagües 2031 m." alors que le lac Lagües qui est en contrebas est coté par l'IGN "2035". A 9 h34, je passais au lac Cantet et après avoir traversé une grande zone de blocs d'éboulis en granit de toutes tailles sarcastic , j'ai abordé la crête Nord-Nord-Ouest de l'Ardiden trop à droite, près de la cote 2823. Après avoir parcouru cette crête avec prudence et en m'aidant des mains, sur un enchevêtrement de blocs dont certains n'étaient pas stables et d'autres étaient rendus glissants par du givre et du lichen, je parvenais au sommet à 11 h53. Reparti à 12 h15, j'arrivais au lac Grand à 14 heures, pour retrouver ma voiture à 16 heures après un dénivelé positif d'environ 1600 mètres, pour autant de négatif et une superbe journée ensoleillée glasses .

    Cartes IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT. 

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    * 6 septembre 2011 depuis l'aire de stationnement du Caillou de Soques (1392 m.) en bordure de la route D 934 du col du Pourtalet au-dessus de Gabas, en remontant Sud-Est pour aller suivre un sentier qui débute en lisière de forêt pour remonter dans le bois au-dessus de la rive gauche du ruisseau de Soques, puis qui oblique direction Sud à la sortie du bois (1655 m.) pour s'élever sur des pelouses et virer à l'Est-Sud-Est (1807 m.), passer près des ruines de l'ancienne cabane de Soques de Haut (1984 m.) où le sentier disparaît, continuer à s'élever par une diagonale Est-Sud-Est pour, vers 2200 mètres, aller chercher à l'Est la base du couloir d'éboulis du col de Soques et le remonter Est-Sud-Est jusqu'au col de Soques (2487 mètres).

    Partis à 8 h30 avec Dinosaure pour tenter de rejoindre le pic de Soques 2716 mètres (en passant par le col de Soques et en descendant sur le versant espagnol pour ensuite remonter Sud-Ouest vers la crête frontière, comme décrit sur un guide de renom édité en 2008) , après avoir traversé le bois en rive gauche du torrent de Soques, nous en ressortirons à 9 h05. A partir des ruines de la cabane de Soques de Haut (il ne reste qu'un muret), plus de cairn ni de sentier, nous avons navigué à vue, en cherchant les passages les moins exposés et en réalisant quelques cairns pour faciliter le retour, Après avoir remonté le raide couloir d'éboulis qui mène au col de Soques, par la gauche et près des rochers, nous arriverons au col à 11 h45. Le couloir en entonnoir du versant espagnol extrêmement raide et encore humide des pluies de la veille, un tube pas loin de la verticale et décomposé, avec des cailloutis instables et des barres en dessous  arf frown oh erf   a fait que face à ce terrain pourri, nous avons abandonné notre idée initiale car nous avions envie de revenir entiers et par nos propres moyens yes . C'est peut-être la fonte des neiges qui occupent ce couloir assez tard dans la saison qui a dégradé et raviné le couloir pour le rendre impraticable. Après avoir grimpé sur la crête située au Nord-Est du col, les pentes d'herbe très raides, mêlées avec des cailloutis et certains rochers ne tenant pas oops eek , nous avons fait demi-tour à 2550 mètres pour retrouver le col de Soques, où nous attendaient nos sacs, à 12 h40. Après une pause restauration de 13 h30 à 14 h40 à 2000 mètres, sur une large dalle carrée en terrasse 4 étoiles face au pic du Midi d'Ossau, nous retrouverons notre point de départ à 15 h50 après un dénivelé positif d'environ 1200 mètres pour autant de négatif et une superbe journée ensoleillée glasses .

    Carte IGN 1:25000 Vignemale Ossau Arrens Cauterets Parc National des Pyrénées 1647 OT. 

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  • Le pico de Urbión ou Muela de Urbión, depuis le Paso de la Sierra, en passant par la Laguna Negra, Risco Zurraquin et retour par Llanos de la Sierra, le 8 août 2011
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    * 14 août 2011, depuis l'aire de stationnement de l'Hospice de France (1370 m.) au terminal de la route D 125 au-dessus de Bagnères-de-Luchon, en passant par l'Hospice de France pour remonter Sud-Sud-Ouest afin de traverser le Pont de Penjat (1439 m.) et laisser filer juste après l'itinéraire du Port de Vénasque pour suivre à droite le chemin fléché "Chemin de l'Impératrice" qui traverse presque horizontalement en direction générale Ouest le Bois de Sajust, pour infléchir Sud-Ouest et traverser le ruisseau de Baliran (1561 m.), puis Ouest à travers le Bois de Bédourède et enfin direction Sud pour atteindre la base du Cirque de la Glère (1570 m.), remonter en lacets direction générale Ouest pour laisser filer à droite Ouest l'itinéraire du col de Sacroux (1568 m.) et continuer au Sud, puis à partir de la cote 1925 remonter en lacets direction générale Sud-Ouest pour arriver sous le Port de la Glère (2320 m.) afin de remonter direction Sud-Sud-Est la zone d'éboulis du pic de la Glère, puis le couloir qui permet d'atteindre la crête sommitale du pic de la Glère (2496 m.), pour revenir sous le Port de la Glère (2320 m.), remonter à l'Ouest au Port de la Glère (2367 m.) et passer à la croix frontière numéro 331 (2375 m.), continuer vers l'ibon de Gorgutes pour ensuite bifurquer Nord-Ouest (2350 m.) et remonter le vallon puis le flanc gauche de la crête qui permet d'atteindre le sommet du pic de Sacroux (2676 m.). Retour au Port de la Glère pour descendre vers le cirque de la Glère puis à l'Hospice de France par l'itinéraire de montée.

    Partis à 7 heures avec Dinosaure pour essayer de gravir le pic de la Glère, après une longue traversée presque horizontale en suivant le chemin de l'Impératrice; puis une montée dans le cirque de la Glère en suivant l'itinéraires fléché 31 et 33 jusqu'à la cote 1568, nous suivrons ensuite l'itinéraire fléché 33 qui mène au Port de la Glère. Parvenus sous le Port de la Glère, vers 2320 mètres, nous abandonnerons l'itinéraire du proche Port de la Glère pour effectuer une rude montée sur la raide pente d'éboulis croulants du flanc Nord-Ouest du pic de la Glère, la pente se redresse encore plus en arrivant à la base de deux couloirs. Après une visite dans celui de droite qui apparait encore plus austère, nous déciderons d'emprunter celui de gauche constitué de terre, de rochers et de gravillons fuyants (où l'utilisation du piolet sera vitale car pas grand chose ne tient  mad arf ) situé à droite d'un éperon rocheux et herbeux. Arrivés en haut du couloir, nous nous séparerons, Dinosaure partira à droite pour aller attaquer la crête à l'Ouest du sommet et moi j'irai à gauche pour contourner un éperon par la gauche afin d'aborder la crête sommitale par l'Est. Après un petit passage d'escalade plus facile et bref pour moi, nous atteindrons le sommet du pic de la Glère. Dans la descente prudente où j'empruntais la voie de la montée en utilisant plus que jamais le piolet, les cailloux partaient de tous côtés, Dinosaure s'étant écarté sur la droite pour suivre le raide éperon rocheux et herbeux y trouvera quelques cairns qui le mèneront jusqu'à une selle herbeuse, ce qui semble être la voie "normale" d'ascension. Arrivée sous le Port de la Glère OUF! OUF! OUF! tongue tongue c'était chaud! Nous ferons ensuite une pause restauration bien méritée d'une heure sur une terrasse de premier choix, sous le Port de la Glère versant espagnol, devant l'ibon de Gorgutes et face au massif de la Maladeta. Après cette pause, les nuages étant venus griser le ciel et nous aussi, nous déciderons de gravir le proche pic de Sacroux. Après le passage de quelques dalles en dévers, nous arriverons à son sommet accompagnés de quelques gouttes de pluie. Superbe panorama! Sur le chemin du retour, la pluie nous accompagnera sur tout le chemin de l'Impératrice jusqu'à la voiture où nous arriverons à 17 heures, après un dénivelé positif d'environ 1600 mètres pour autant de négatif.

    Cartes 1:25000, IGN Bagnères-de-Luchon Lac d'Oô 1848 OT. 

    Voir galerie photos Pic de Sacroux et pic de la Glère




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    * 2 août 2011, le pic de la Latte de Bazen (2472 m.) depuis la station de Gourette (1460 m.), en suivant la piste balisée du GR 10 à l'Est puis au Nord pour la quitter en suivant un sentier qui file direction générale Est, pour arriver sous le col de Tortes, bifurquer au Sud pour rejoindre, après un passage aérien taillé dans la roche et cablé, et remonter Sud-Sud-Est la crête de la Latte de Bazen jusqu'à son sommet (2262 m.), pour franchir en descente la falaise (2217 m.) qui permet de basculer sur la face Nord-Ouest du pic de la Latte de Bazen que l'on remonte par une diagonale direction Sud-Est jusqu'au sommet. Retour par le même itinéraire en faisant une petite remontée au col de Tortes (1799 m.).

    Partis à 8 h15 avec Dinosaure, nous serons au sommet du pic de la Latte de Bazen à 11 h40, et après une pause restauration au col de Tortes (1799 m.) de 13 h05 à 13 h55, nous retrouverons la voiture à 14 h35 après un dénivelé positif d'environ 1100 mètres pour autant de négatif.

    Le passage taillé dans la roche près du col de Tortes est aérien mais cablé sarcastic . Les pentes sur la face Nord-Ouest de la Latte de Bazen sont très raides et il faut se montrer prudent arf

    Carte IGN 1:25000 Top 25 Laruns.Gourette Col d'Aubisque Vallée d'Ossau 1546 ET. 

    Voir galerie photos Crête et pic de la Latte de Bazen




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