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    Montagne de Bidaoubous

    * 5 mai 2014, depuis le Pont du Roi -confluence avec le ruisseau Argellé (borne frontière numéro 410)- (582 m.), en suivant la rive gauche de la Garonne jusqu'à la confluence du ruisseau du Terme (562 m., borne frontière numéro 409), en passant par 8 petites bornes frontière EDF numérotées de 7 (il y a 2 numéros 7, une rive droite près de la borne frontière 410 et une rive gauche) à 1, puis remontée Nord-Ouest dans le lit du ruisseau du Terme pour le quitter (650 m.) et continuer direction Sud-Ouest à travers la montagne de Bidauboux ou Bidaoubous (secteur espagnol) jusqu'à 750 mètres puis descendre Sud-Est pour retrouver le Pont du Roi.

    Départ à 8 h40 de la borne frontière numéro 410 et premier problème rencontré pour l'accès au sentier qui longe la rive gauche de la Garonne (il y a le départ d'un sentier bien tracé plus en amont). J'ai dû enjamber le parapet puis escalader un passage mi-rocheux mi-herbeux pour arriver au-dessus de la petite borne EDF numéro 7, située à 19 mètres de la ligne frontière qui est dans le lit de la Garonne (il y a 7 bornes frontière EDF numérotées de 1 à 7 sur chaque rive de la Garonne, soit 14 bornes qui signalent le distance au centimètre près avec la ligne frontière située dans le lit de la Garonne). Ensuite c'est une promenade presque horizontale, avec quelques arbres couchés à enjamber, qui mène à la confluence du ruisseau du Terme avec la Garonne. J'ai commencé à suivre le cours du ruisseau du Terme mais après une centaine de mètres de dénivelé, le fort débit du ruisseau et les pentes trop raides et accidentées m'ont fait quitter le lit du ruisseau à 9 h10, pour basculer direction Sud-Ouest dans le secteur espagnol de la montagne de Bidauboux ou Bidaoubous où les raides pentes envahies d'épineux et d'arbustes m'ont fait redescendre vers le pont du Roi. A 10 h15 j'étais de retour à la voiture après un modeste dénivelé positif d'environ 200 mètres pour autant de négatif.

    Carte IGN 1:25000 Aspet pic de Maubermé 1947 OT.

    Tuc du Plan de la Serre

    * 5 mai 2014, depuis le col du Portillon (1293 m., croix frontière numéro 366) en descendant Sud sur la route du val d'Aran pour la quitter (1270 m.) afin de suivre à droite direction Sud-Ouest la piste du col de Barèges ou Coth de Varetja et l'abandonner (1340 m.) en prenant la direction Ouest du col de l'Artiguette ou Coth des Artiguetes ou Coret dera Artigueta, traverser la zone marécageuse de l'Artiguette ou Plan des Bruishes et atteindre le lieu dit Peyres juntes ou Peyras quilladas (1320 m., croix frontière numéro 360), pour remonter Sud-Sud-Ouest et revenir en traversée direction Est (1350 m.) récupérer la piste qui mène au col de Barèges ou Coth de Varetja ou Coth de Baretja (1749 m., borne frontière numéro 356), y faire une traversée en diagonale ascendante Ouest-Nord-Ouest pour atteindre la crête Sud-Ouest du Tuc du Plan de la Serre ou Tuc deth Plan dera Sèrra (1965 m., borne "Y") et la suivre jusqu'au sommet (1977 m.), en descendre en suivant la crête Est jusqu'à la borne frontière numéro 357 (1950 m.), puis Sud-Est jusqu'au col de Barèges ou Coth de Varetja ou Coth de Baretja (1749 m.) pour aller retrouver au Nord-Nord-Est la piste (1680 m.) qui ramène sur la route du col du Portillon (1270 m.). 

    Parti à 11 h30 en suivant la piste du col de Barèges ou Coth de Varetja, je quittais cette piste peu après le départ pour aller traverser la zone marécageuse de l'Artiguette afin d'atteindre le lieu dit Peyres juntes ou Peyras quilladas où la croix frontière numéro 360 est gravée sur un rocher. Ensuite j'ai tenté de gravir les pentes situées au Sud-Sud-Ouest qui remontent vers la croix frontière numéro 359 mais, étant trop abruptes avec des blocs de rochers entre lesquels la végétation cachait des trous et beaucoup trop d'arbres couchés (déracinés et cassés par la tempête Xynthia du 28 février 2010), j'ai réalisé une traversée "musclée", digne d'un vrai parcours d'accrobranches, pour aller retrouver la piste du col de Barèges au-dessus de la zone marécageuse. A 13 h05 je passais à la bifurcation de Artiga d'Aubas puis j'ai une nouvelle fois quitté la piste dans le virage à gauche en épingle (1600 m.) pour essayer de me diriger Nord-Nord-Ouest vers la croix frontière numéro 359, mais un nouveau parcours d'accrobranches me fit renoncer. A 14 h20 je passais au col de Barèges ou Coth de Varetja pour atteindre le sommet du Tuc du Plan de la Serre à 15 heures. J'étais de retour à la voiture à 17 heures après un dénivelé positif d'environ 800 mètres pour autant de négatif. Superbe journée ensoleillée, il ne subsistait que quelques névés que je me suis fait un plaisir de traverser alors qu'ils pouvaient facilement s'éviter.

    Carte IGN 1:25000 Bagnères-de-Luchon Lac d'Oô 1848 OT et Carte Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya.

    Voir galerie photos Tuc du Plan de la Serre et montagne de Bidaoubous

     


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     * 17 juin 2014, depuis l'aire de stationnement de Boucouas, située au terminal de la petite route qui démarre au Sud de la route N 125 à hauteur du cimetière d'Arlos (530 m.), en suivant la pîste qui continue au Sud-Est pour rencontrer et suivre l'itinéraire balisé rouge et blanc du GR 10 à l'entrée du vallon du ruisseau de la Batch, remonter direction Sud-Ouest ce vallon d'abord rive droite puis rive gauche, quitter le fond du vallon en remontant Nord-Ouest jusqu'aux abords de la cabane d'Artiguessans pour la laisser à droite afin de suivre la piste à gauche direction Sud-Ouest (990 m.), rejoindre une piste venant de Marignac (1040 m.) et la suivre à gauche direction Sud-Ouest puis Sud-Est et enfin Sud, la quitter pour suivre à droite le sentier balisé rouge et blanc du GR 10 (1100 m.) et traverser plusieurs fois la piste direction générale Sud-Sud-Ouest, parvenir à la cabane d'Artigue avec écriteau "Estive de Palarquère-Burat Cabane de l'Artigue"  (1340 m.), continuer en forêt direction Ouest, traverser le ruisseau de Palarquère à la sortie de la forêt (1410 m) pour remonter en zigzags rive gauche, quitter le GR 10 sous les cabanes des Courraux (1540 m.) afin de partir hors sentier, horizontalement direction Sud, franchir un éperon pour remonter direction Ouest retrouver l'itinéraire du GR 10 au-dessus de l'éperon (1610 m.), le suivre vers le Sud pour l'abandonner définitivement en arrivant à l'étang de St-Béat (1891 m.) afin d'aller gravir plein Sud la raide pente qui permet d'atteindre la crête, à gauche d'un rocher en forme de bateau (2010 m.), pour la suivre à gauche, Est, jusqu'au sommet du pic d'Estagnous ou pic des Estanhons ou encore Tuc des Estanhs (2055 m.), descendre en suivant la crête Nord pour la quitter (1930 m) afin d'aller retrouver à l'Ouest l'itinéraire de montée, près de l'étang de St-Béat pour le suivre jusqu'au point de départ après avoir réalisé un crochet par les cabanes des Courraux (1586 m.)

    Parti à 6 h50, après avoir suivi une piste par endroits empierrée, rendue glissante par l'humidité, de 7 h50 à 8 heures je réalisais une pause près de la cabane d'Artiguessans où un troupeau de vaches gasconnes était en estive. A 9 heures, j'étais en train de visiter l'intérieur de la cabane d'Artigue et de 9 h40 à 9 h50 je faisais une nouvelle pause, sous les cabanes des Courraux, pour étudier les différentes possibilités de remonter vers l'étang de St-Béat. De 10 h45 à 11 heures, je réalisais une nouvelle pause près de l'étang de St-Béat et après avoir recherché les possibilités d'accès au pic d'Estagnous, je me réservais la facile crête Nord, envahie de rhododendrons, pour le retour et je décidais de remonter plein Sud la raide pente herbeuse, caillouteuse et terreuse (des crampons quatre pointes ne seront pas superflus) qui permet d'atteindre la crête juste à gauche d'un magnifique rocher en forme de bateau ou de tête d'isard selon le point de vue. A 11 h35 je parvenais au sommet du pic d'Estagnous, également nommé pic des Estanhons ou encore Tuc des Estanhs, que je quittais dix minutes après car la météo avait prévu des orages dans le courant de l'après-midi. Dans le début de la descente par la crête Nord du pic d'Estagnous, j'ai aperçu un cerf qui a traversé la Pale des Médous, puis il a franchi la crête des Estagnous pour basculer sur le versant espagnol. A 12 h50 je passais aux cabanes des Courraux, à 13 h15 à la cabane d'Artigue, à 14 heures près de la cabane d'Artiguessans où le vacher était en train de grossir son troupeau de vaches gasconnes avec d'autres têtes de bétail montées, par la piste venant de Marignac, avec des remorques tirées par des tracteurs. A 14 h45 j'étais de retour à la voiture après un dénivelé positif d'environ 1550 mètres pour autant de négatif. La diversité des fleurs rencontrées a fait de cette sortie une belle randonnée botanique !     

    Cartes IGN 1:25000 Saint-Bertrand-de-Comminges 1847 OT (pour le départ), Bagnères-de-Luchon Lac d'Oô 1848 OT et RANDOéditions 1:50000 Pyrénées carte n°5 Luchon Comminges-Louron (cette dernière pour une idée générale, car pas assez précise).

    Voir galerie photos Pic d'Estagnous

     


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  • Le pic d'Estagnous, depuis le village d'Arlos, pour une randonnée botanique le 17 juin 2014
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