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* 5 octobre 2018, depuis l'aire de stationnement d'Espelunguère (1349 m.) au-dessus de la centrale électrique d'Estaens aux Forges d'Abel, en suivant au Nord la route forestière d'Espelunguère qui traverse le bois d'Espélunguère direction générale Nord pour en sortir et arriver en suivant à un col face à la montagne de Couecq (1620 m.), abandonner la piste du lac et refuge d'Arlet juste avant la traversée du ruisseau de Couecq pour suivre à gauche (1623 m.) celle qui mène aux cabanes Caillabère, l'abandonner une cinquantaine de mètres avant qu'elle traverse le ruisseau de Couecq (1700 m.) pour monter hors traces direction Sud-Ouest, infléchir Sud-Sud-Ouest (1820 mètres) afin d'atteindre une échancrure (1980 m.) sur la portion de crête orientée Ouest-Est, à l'Ouest de la cote 1986, et la remonter à droite Ouest puis Ouest-Nord-Ouest (2050 m.) pour rejoindre la crête principale Sud (2120 m.) que l'on suit à droite Nord-Ouest pour la quitter (2150 m.) afin d'aller traverser presque horizontalement direction Ouest-Nord-Ouest, sous la ligne de crête, la très raide zone de barres rocheuses de grès rouge à la rencontre d'un ravinement situé entre les pelouses à gauche et la barre de grès rouge à droite (2190 m.) pour le remonter direction Nord afin de parvenir au sommet du pic de Gabedaille ou Signal d'Espelunguère ou encore pico de Acué (2258 m.) continuer sur la crête Nord pour passer un col (2226 m.) avant de parvenir au sommet de l'antécime Nord nommée par certains sites Punta Gabedallo et par l'IGN espagnol pico de Gabedallos (2245 m.), revenir au pic de Gabedaille ou Signal d'Espelunguère pour descendre en suivant la crête Ouest, la quitter (2120 m.) pour continuer la descente Nord-Est puis Nord rejoindre le col de la Countende ou de Couecq nommé collado de Acué par l'IGN espagnol (2019 m., croix frontière nméro 279), puis direction générale Est-Sud-Est en rive gauche du vallon de Couecq pour passer aux cabanes Caillabère (1755 m) et aller retrouver la piste de montée au Sud de ses cabanes sur la rive droite du ruisseau de Couecq (1700 m.).
Parti à 7 h50, je passais à 8 h45 à la bifurcation du lac d'Arlet et des cabanes Caillabère. Sur l'itinéraire que je vais suivre, pas de cairn entre le ruisseau de Couecq (1700 m.) et le sommet du pic de Gabedaille, je vais en ériger une quinzaine jusqu'à l'échancrure (1980 m.) située sur la portion de crête orientée Ouest-Est, à l'Ouest de la cote 1986. Par endroits, à partir de 1900 mètres, on peut suivre quelques vagues sentes d'isards et les derniers mètres qui mènent à l'échancrure sont raides sur du grès rouge décomposé. La portion de crête qui suit et qui mène à la crête principale Sud du pic de Gabedaille ne présente aucune difficulté. Cette crête principale Sud, que j'avais suivi le 2 juin 1994 pour descendre du sommet vers le col de l'Escalé d'Aigue-Torte, se remonte facilement en s'aidant par endroits des mains, c'est pour cette raison que j'ai voulu aller voir de plus près la très raide zone de barres rocheuses de grès rouge située sous la ligne de crête. Elle est très aérienne et pour la traverser la prudence et la maîtrise du vertige s'imposent, la chute y est interdite , j'y ai progressé en utilisant quelques courtes vires et dans certains passages en dévers j'ai dû planter la lame du piolet. J'ai également utilisé la lame du piolet pour remonter le ravinement qui devient de plus en plus raide pour mener sur la crête sommitale du pic de Gabedaille où je réalisais une pause de 11 h55 à 12 h10. Après avoir suivi la crête Nord, qui impose de s'aider des mains pour franchir quelques passages d'escalade facile, je passais sur l'antécime Nord ou Punta Gabedallo ou encore pico de Gabedallos. Ne connaissant pas le versant Nord de ce sommet, je décidais de revenir sagement par le sommet du pic de Gabedaille sur lequel je réalisais une nouvelle pause de 12 h50 à 13 h05. De 14 h25 à 14 h45 je me restaurais à la source située près des cabanes Caillabère et je retrouvais ma voiture à 16 h05 après un dénivelé positif d'environ 1000 mètres pour autant de négatif et une belle journée ensoleillée .
Cartes IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT et 1:25000 Editorial Alpina Geo/Estel Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú-Astún et IGN (Instituto Geográfico Nacional) espagnol Signa.
Voir galerie photos Pic de Gabedaille par le versant Est 05 10 2018
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Par Robert Darrieumerlou dans (019) Vallées de Luz Gèdre Gavarnie - Secteur de Luz-Saint-Sauveur le 23 Septembre 2018 à 22:49
* 21 septembre 2018, depuis la bordure de la piste de Budéraous à proximité du pont qui enjambe le ruisseau de l'Yse (1571 m.), au Sud-Est de Luz-Saint-Sauveur et de Villenave, en traversant le pont pour remonter la piste direction Nord-Ouest, la quitter pour suivre à droite un sentier direction Est (1620 m.), retrouver la piste plus haut (1687 m.) et la suivre à droite direction Est-Sud-Est pour passer à la cabane de Peyrahitte (1830 m.), un peu plus loin le sentier prend une direction Sud (1880 m.) et entre dans le vallon qui mène au col de Pierrefitte, abandonner le sentier qui mène à ce col lorsqu'il vire à l'Est et continuer sur celui de droite en direction Ouest (2029 m.), passer devant des constructions EDF (2053 m.), le sentier prend ensuite une direction générale Sud (2080 m.) puis Sud-Ouest (2220 m.), passe près d'un petit barrage au-dessus de la cabane de Maucapéra pour arriver au lac de Maucapéra (2305 m.), monter en pelouse et hors traces direction Ouest-Sud-Ouest puis en bordure gauche du pierrier pour atteindre, en suivant une sente, la Hourquette de Bachebirou (2494 m.), suivre sur quelques mètres la crête à gauche direction Sud puis contourner les rochers gris par la droite, flanc Occidental, sur des sentes en pelouse pour ensuite remonter récupérer la crête rocheuse et la suivre à droite, franchir un petit mur par une escalade facile, descendre dans une brèche pour remonter à gauche d'un piton rocheux gris une raide pente herbeuse qui mène au sommet du pic de Cumiadères (2623 m.) et revenir par le même itinéraire.
Partis à 8 h15 avec Roland, nous ferons une première pause de 9 heures à 9 h10 à la cabane de Peyrahitte. A 9 h50 nous passerons à la bifurcation du col de Peyrefitte et de 10 h50 à 11 h05 nous réaliserons une seconde pause au lac de Maucapéra en étudiant la meilleure possibilité de monter à la Hourquette de Bachebirou. En arrivant près du pierrier, le brouillard de nuages bas remontant de la vallée viendra nous envelopper et nous attendrons qu'il se dissipe pour continuer ou abandonner notre progression alors qu'au-dessus de nous des moutons accrochés sur la face Orientale du pic de Cumiadères décrochaient des pierres qui venaient ricocher non loin de nous. Le brouillard mettra une dizaine de minutes avant de disparaître et nous continuerons la progression les yeux regardant plus souvent vers le haut que vers les appuis des pieds. Après avoir dépassé le pierrier par la gauche, Roland remontera l'incommode et déconseillée zone rocheuse avec cailloutis qui lui fait suite et moi je suivrai des traces de sentes sur la bordure herbeuse située à gauche pour terminer sur une pente moins raide, à midi, à la Hourquette de Bachebirou où nous laisserons nos sacs. Ensuite, nous suivrons une sente presque horizontale sur le flanc Occidental herbeux pour, juste avant un ravinement, remonter en courts zigzags récupérer la crête rocheuse. Cette roche de couleur grise est constituée de calcaire feuilleté cassant où il faudra tester chaque appui des pieds et chaque prise des mains. Nous passerons un petit mur de quatre mètres par une escalade facile, au retour nous l'éviterons en suivant une vire sur le flanc Oriental. La suite de la crête devient presque horizontale mais un peu plus aérienne. Nous descendrons ensuite dans une brèche pour contourner par la gauche un piton rocheux gris en suivant les pelouses situées à sa base pour gravir la raide pente herbeuse qui mène au sommet du pic de Cumiadères que nous atteindrons à 12 h40. Immense panorama ! A 13 heures nous débuterons la descente. Petite frayeur sur la partie de la crête rocheuse qui suit le contournement du petit mur de quatre mètres escaladé à la montée, un relâchement sans avertir de mon genou droit me fera réaliser un plongeon en avant , j'ai eu le réflexe de basculer le corps à droite de l'arête et de bloquer la chute en jetant le piolet pour plaquer la main gauche sur le coté gauche de l'arête... Sur cette arête la chance ou le "cul" m'y adhère, un avertissement heureusement sans grave conséquence , sauf pour mon coupe-vent. De 14 h20 à 15 h30 nous ferons une pause restauration au bord du lac de Maucapéra. Après une descente en grande partie dans le brouillard mais agrémentée par la dégustation de framboises et de myrtilles et par la cueillette de coulemelles, nous retrouverons la voiture à 17 h40 après un dénivelé positif d'environ 1100 mètres pour autant de négatif.
Carte IGN 1:25000 Gavarnie Luz-Saint-Sauveur Parc National des Pyrénées 1748 OT.
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* 1 septembre 2018, depuis la bordure de la piste du ibón de los Asnos (1870 m.), 8 kilomètres après son début à l'entrée du village de Hoz de Jaca, en continuant à suivre cette piste direction Nord-Nord-Est, pour laisser filer la piste qui descend à gauche vers l'arrivée de la télécabine Panticosa-Puntal de los Petros, virer au Sud puis Est-Nord-Est, après avoir traversé la crête Nord du pico Mandilar ou Punta Narronal prendre une direction générale Sud-Sud-Est (1970 m.) et en suivant laisser filer à gauche la piste qui mène au ibón de Sabocos (1980 m.) pour grimper raide sur celle de droite qui s'adoucit ensuite pour mener en direction générale Sud-Sud-Est au ibón de los Asnos (2060 m., nommé ibón deros Asnos et coté 2050 par Prames), continuer sur la piste qui le longe maintenant au-dessus de la rive droite pour virer vers l'Est en débutant une légère descente, la quitter à hauteur de deux cairns (2100 m.) pour remonter à flanc direction générale Sud-Est, passer à gauche et à l'Est du sommet coté 2286 par l'IGN espagnol (2284 par Prames) pour descendre au petit col (2260 m.) qui ferme la partie Nord-Est d'une cuvette occupée tardivement par un névé recouvrant un petit lac, remonter à flanc direction Sud-Sud-Est pour atteindre des zones d'éboulis croulants que l'on remonte direction Sud vers les murailles qui ferment le cirque puis direction Est-Sud-Est (2500 m.) sur un immense pierrier de couleur ocre par endroits croulant, parvenir à la base d'un raide couloir (2570 m.) et le remonter jusqu'à parvenir sur la crête (2660 m.) que l'on suit à droite, escalader une falaise de couleur grise par une cheminée facile puis atteindre la crête principale (2725 m.) qui mène à gauche, direction Est, au sommet de la Peña Sabocos (2757 m. par l'Editorial Alpina ou 2755 m. par l'IGN espagnol et Prames) et revenir par le même itinéraire.
Parti à 8 h30, en manque de montagne depuis plus d'un mois, pour soigner ma "sinusite maxillaire droite" de 9 h15 à 9 h30 je réalisais une pause à hauteur du ibón de los Asnos. Peu après avoir quitté la piste, je croisais un jeune couple de sympathiques montagnards ossalois de Laruns qui avait passé la nuit au sommet de la Peña Sabocos et à peine plus haut un randonneur espagnol qui me confiait avoir été plus impressionné dans la descente du couloir situé au-dessus des pierriers que par le passage du Paso del Caballo au Ballibierna. Après avoir remonté les pierriers de couleur ocre, par endroits croulants, j'ai opté pour remonter à gauche un raide couloir bordé de rochers, d'abord en m'appuyant sur les rochers solides de droite puis sur ceux du milieu pour terminer sur les rochers de droite et où les mains seront constamment utilisées. Tester toutes les prises et bien assurer mes appuis y a été impératif car la roche est par endroits friable, branlante et certains morceaux ne demandaient qu'à partir. Après ce couloir, un court passage en crête vient buter au pied d'une falaise de couleur grise presque verticale. Pour la franchir je vais utiliser la cheminée de gauche haute d'environ 5 mètres suivie d'une plus courte et pour la descente j'utiliserai une fissure plus fine à droite (à gauche dans le sens de la descente). A 12 h40 je parvenais au sommet de la Peña Sabocos qui offre un immense panorama. A 13 h15 je quittais le sommet pour réaliser une descente prudente et faire une pause rafraîchissante de 15 heures à 15 h15 sur le névé situé dans la cuvette au Sud du petit col (2260 m.). Je retrouvais ma voiture à 15 h50 après un dénivelé positif d'environ 950 mètres pour autant de négatif et une belle journée ensoleillée .
Cartes Editorial Alpina 1:40000 Valle de Tena Sierra de Tendeñera Peña Telera, Editorial Alpina 1:25000 Valle de Tena Panticosa - Sallent, Prames 1:25000 Valle de Tena et IGN (Instituto Geográfico Nacional) espagnol.
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* 30 juillet 2018, depuis le parking de l'Orri (1860 m.) au Nord-Est de Vaqueira (Baqueira), pour traverser direction Est-Sud-Est en rive droite le vallon boisé de l'Arriu Malo, remonter Est la combe passant à gauche de deux mamelons boisés, traverser un plateau avec petit lac, remonter pour passer au-dessus et au Nord de l'Estanh de Baish de Bacivèr (2130 m.), remonter à gauche Est et à flanc le vallon situé entre deux bosquets, passer hors sentier au Sud du mamelon coté 2337 puis au-dessus de la rive gauche et au Sud des Estanhs deth Rosari de Bacivèr (2340 m.), puis monter au Sud-Est à la Collada dels Estanys del Rosari ou col de Rosari (2507 m.) afin d'y suivre la crête à gauche direction Nord pour passer aux sommets cotés 2546 et 2540 avant de parvenir au sommet du Tuc de Marimanha ou pic de Marimanya (2679 m.) et revenir avec quelques variantes assez proches de l'itinéraire de montée pour passer sur le flanc Occidental du sommet coté 2546, longer les rives gauches des Estanhs deth Rosari de Bacivèr (2318 m.) et (2311 m.) pour ensuite suivre les rives du torrent, passer au déversoir de l'Estanh de Baish de Bacivèr et suivre la rive droite de l'Arriu Malo et enfin traverser l'Arriu Malo (1980 m.) pour terminer en suivant la piste qui longe la rive gauche.
Parti à 6 h55, à 9 h50 je faisais une pause à la Collada dels Estanys del Rosari ou col de Rosari. J'ai suivi l'intégralité de la crête qui mène de la Collada dels Estanys del Rosari ou col de Rosari au sommet du Tuc de Marimanha ou pic de Marimanya. Cette crête, large et recouverte de blocs granitiques après le premier sommet, devient étroite et par endroits aérienne. Dans certaines portions il faudra s'aider des mains en testant les prises car quelques blocs ne demandent qu'à partir , cette crête est bien détaillée par l'Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya (ICGC) qui donne les cotes suivantes, du Sud au Nord: Col de Rosari (2506,9 m.), sommet suivant (2543,1 m.), collada dels Estanys de Rosari (2512, 7 m.), sommet suivant (2526,4 m.), col (2521,8 m.) suivi d'une cuvette suspendue (2517,9 m.), sommet suivant (2555,8 m.), col (2544,1 m.), sommet suivant (2580,2 m.), col (2577 m.), sommet suivant (2641,3 m.), col (2632,8 m.), sommet suivant (2670,7 m.), col (2664,8 m.) et sommet du Tuc de Marimanha (pic de Marimanya) (2679,3 m.). De 11 h20 à 12 heures j'étais au sommet du Tuc de Marimanha ou pic de Marimanya. Après une pause à l'Estanh det Rosari de Bacivèr (2318 m.), où j'étais invité à l'apéro (excellent vin blanc de 16°) par un sympathique groupe d'une dizaine de randonneurs accompagnés de leur guide catalan des Pyrénées-Orientales que j'avais dépanné avec le tire-bouchon de mon couteau suisse , je réalisais une nouvelle pause à l'Estanh de Baish de Bacivèr de 15 h10 à 15 h30. Je retrouvais ma voiture à 16 h15 après un dénivelé positif d'environ 950 mètres pour autant de négatif et une chaude journée ensoleillée .
Carte Editorial Alpina 1:40000 Val d'Aran et Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya (ICGC).
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* 18 juillet 2018 depuis l'aire de stationnement du plateau de Pountas (1459 m.) au terminal de la route D 920 au Sud de Cauterets pour aller remonter direction générale Ouest la rive gauche du gave du Marcadau et à hauteur du Chalet Refuge du Clot (1522 m.) traverser les passerelles qui enjambent les deux bras du gave du Marcadau, suivre la piste à droite direction générale Ouest, passer près du lac du Paradis (1619 m.), descendre Ouest vers la rive droite du gave pour la longer direction Sud-Sud-Ouest, quitter la piste qui mène au refuge Wallon pour traverser le pont du Cayan (1630 m.) et remonter en lacets direction générale Ouest puis Nord (1800 m.) la Coste de Castet Abarca, virer Ouest-Sud-Ouest (1900 m.), ignorer une bifurcation à droite (1980 m.), continuer vers les lacs de l'Embarrat, parvenir au petit col (2060 m.) situé à l'Ouest d'un sommet coté 2081 qu'on laisse à gauche, basculer sur l'autre versant à droite pour aller longer Ouest-Nord-Ouest la rive gauche du lac inférieur (2076 m.) puis celle du lac supérieur (2139 m.) pour virer à droite plein Est, ignorer la bifurcation de droite qui mène au "Col de la Haougade - Ilhéou" et continuer à gauche Ouest "Lac du Pourtet" (2220 m.), pour remonter en rive gauche du ruisseau du Pourtet, passer près d'un petit lac (2307 m.) avant de parvenir au lac du Pourtet (2420 m.) et revenir par le même itinéraire jusqu'à hauteur du pont du Cayan qu'on ne traverse pas afin de suivre Nord-Nord-Est la rive gauche du gave du Marcadau pour passer près de la cabane du Marcadau (1621 m.), infléchir Nord-Est puis Est (1609 m.), passer au plateau du Clot puis près du Chalet Refuge du Clot (1522 m.) où on retrouve l'itinéraire de montée.
Parti de nuit à 5 h50, après avoir suivi la piste qui mène au refuge Wallon en longeant la rive droite du gave du Marcadau, je traversais le pont du Cayan à 7 heures. A 8 h45 je parvenais au lac inférieur de l'Embarrat où je réalisais une pause d'un quart d'heure. Le souffle et la forme n'étaient pas au rendez-vous . A 10 h35 j'arrivais enfin au lac du Pourtet, 4 h45 après mon départ alors que certains guides donnent 3 h15. Je pensais revenir en passant par le lac Nère et le refuge Wallon, ce qui aurait fait un circuit d'une vingtaine de kilomètres, mais vu ma mauvaise forme et les prévisions météorologiques qui avaient annoncé sur Cauterets un "temps généralement clair jusqu'à midi avec des averses et orages possibles l'après-midi", je suis revenu tranquillement par l'itinéraire de montée. Au plateau du Clot la pluie s'invitait avec quelques coups de tonnerre. Pas de chance pour moi, en moins de 10 jours, ça faisait deux fois que le mauvais temps me rattrapait dans ce secteur . Je retrouvais ma voiture à 15 h25, après un dénivelé positif d'environ 1000 mètres pour autant de négatif. Coût du stationnement au parking du plateau de Pountas = 6,5 €uros. De retour à Pau, diagnostic de mon médecin: pharyngite !
Carte IGN 1:25000 Vignemale Ossau. Arrens. Cauterets Parc National des Pyrénées 1647 OT.
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