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    * 23 mai 2021 départ en Vélo depuis l'aire de stationnement de la mairie annexe de Louvie-Soubiron située à l'entrée du quartier Eschartès en rive gauche de l'Ouzom (519 m.) et en aval de Ferrières, en traversant le pont afin de suivre à droite vers le Sud la route D 126 pour traverser le village de Ferrières (558 m.), puis celui d'Arbéost (769 m.), passer à la bifurcation de Harnassat (989 m.), à Curebère (1102 m.), à la bifurcation des cabanes de Cure-Perdrix (1219 m.), parvenir au col de ou du Soulor (1471 m.), y quitter la route goudronnée pour descendre Est-Nord-Est afin de rejoindre (1441 m.) et suivre la piste qui en direction générale Nord-Est contourne le Cap d'Aout par son versant Oriental pour passer dans le secteur de Port Darré (1500 m.), sous le col de Mauben, monte au col de Soum (1539 m.), contourner par la droite le lac de Soum (1520 m.) pour longer direction générale Nord le versant Occidental de la crête de la Serre, passer au col de Cantau (1544 m.), franchir la crête Ouest du pic de Cantau (1459 m.), y virer direction Est pour longer sa face Nord, passer sous le col de Berbeillet (1540 m.) pour longer direction Nord le versant Occidental du Soum de Berducou et parvenir au col de Bazès (1527 m.) et y laisser le vélo, descendre Nord au vrai col (1509 m.) pour y suivre un sentier en descente direction Ouest, bifurquer Nord-Ouest dans le secteur de Palanquettes (1420 m.) puis Nord dans le secteur Artiguelongue (1420 m.) et enfin Nord-Est (1570 m.), parvenir au col de Roumenta ou col de las Couradas (1593 m.) et aller gravir au Nord-Nord-Est le pic de Navaillo (1666 m.), revenir au col de Roumenta ou de las Couradas (1593 m.) puis aller gravir au Sud le pic de Bazès (1804 m.), quitter le sommet en franchissant une brèche à l'Est puis descendre Est-Sud-Est, virer au Sud-Ouest (1600 m.) pour longer un pierrier et retrouver les pelouses du col de Bazès (1509 m.) puis au Nord le col routier (1527 m.), récupérer le vélo pour descendre direction Est jusqu'au col de la Serre (1458 m.) y continuer toujours direction Est pour atteindre le col de Couraduque (1367 m.), suivre au Nord la piste de Haugarou qui contourne par la droite le Cap de Soc d'abord sur son versant Oriental puis (1330 m.) direction Ouest sur son versant Septentrional (Nord), puis au Sud aller traverser le ruisseau de Taillade (1310 m.), y continuer la descente direction Nord, traverser le ruisseau du Bergons (1280 m.) et passer près du refuge gîte du Haugarou (1215 m.) pour parvenir à la bifurcation avec la route que l'on va suivre au Nord (1187 m.) et qui va franchir la crête Est du pic de Navaillo (1255 m.) afin d'aller chercher à l'Ouest, après deux virages en épingle, le col de Spandelles (1378 m.) où la route ramène après de multiples lacets en direction générale Ouest à Eschartès.

    Parti à 6 h45 en ce jour de pentes et côtes, j'attaquais à froid les premières pentes du col du Soulor. De Ferrières au col du Soulor la route de 13 kilomètres a des passages de pentes à 8,5 et 9 %, avec quelques portions de pentes à 10, 11 et 12 %. Le 22 juillet 2010, lors de la 17 ème étape du tour de France cycliste Pau-col du Tourmalet, les coureurs avaient gravi ce col classé en première catégorie dans ce sens.  De 9 h30 à 9 h50 je réalisais une première pause restauration au col du Soulor. Après avoir quitté le bitume et réalisé une traversée sur des pistes, en montagnes russes, à 11 heures j'arrivais au col de Bazès. Nouvelle pause restauration, avant d'attaquer à 11 h25 la partie pédestre de mon circuit par une descente pour contourner le pic de Bazès par son versant Occidental. A 13 heures j'étais sur le sommet Nord du pic de Navaillo après être passé par deux autres sommets d'égale altitude. La montée au pic de Bazès est raide, il y a bien des traces mais par endroits il faut chercher son passage. De 14 h25 à 14 h45 j'étais au sommet du pic de Bazès pendant que les nuages masquaient une partie du panorama. A 15 h25 j'étais au col de Bazès et après avoir discuté avec quelques randonneurs je débutais la descente en vélo à 15 h45 pour passer au col de Couraduque à 16 h05. Peu après avoir rejoint la route bitumée du col de Spandelles et débuté la montée, un panneau annonce le col à deux kilomètres et une pente à 9 % sur un kilomètre, mais c'est une pente moyenne qui cache des portions à plus de 12 % où j'ai "explosé" tongue . Le dernier kilomètre annoncé à 8 % se grimpe mieux et à 17 heures j'arrivais au col de Spandelles sous les bravos d'un sympathique couple uruguayo-palois venu faire des repérages pour monter le lendemain vers le Soum de Granquet. Début de descente à 17 h20 mais mon vélo présentant quelques faiblesses dans le freinage, ce sera une descente prudente pour aller retrouver ma voiture à 17 h50 après un dénivelé pédestre positif de 520 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif d'environ 1350 mètres pour autant de négatif.

    Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 3 Béarn Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Top 25 Lourdes Argelès-Gazost Le Lavedan 1647 ET.

    Voir galerie photos Pic de Bazès et pic de Navaillo en pédestre et leur tour cycliste par les cols du Soulor et de Spandelles


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    * 3 mai 2021, départ en Vélo de l'aire de stationnement du Mail du Couret (360 m.) située en bordure de la route N 134, en aval du Pont-Suzon, en remontant la route N 134 direction Espagne, la quitter peu après pour suivre à,droite la route D 241 vers Lourdios-Ichère/Col d'Ichère, après quelques virages et des passages de pentes  à 5 % et 9,5 % dont une portion à 12 %, elle prend une direction générale Ouest-Nord-Ouest (680 m.), avant d'atteindre le col d'Ichère (674 m.) et descendre Ouest-Nord-Ouest vers Lourdios-Ichère (450 m.) puis rejoindre la route D 341 à Capdeville, que l'on suit en direction des cols de Labays et de la Pierre St-Martin (396 m.) en longeant la rive droite du gave de Lourdios avec des portions de pentes à 9 % et 10 %, passer le Pas Dét Cu, traverser le bas de la crête Ouest du Layens à hauteur du Mail Acut, puis le pont de la Mouline (600 m.) qui enjambe le gave d'Issaux, longer la rive gauche jusqu'au pont du Gouat (639 m.) où on traverse une nouvelle fois le gave d'Issaux, après plusieurs virages en épingle avec des passages de pentes à 10 % et 11,7 % dont des portions à 9%, 12 % et 10 %, on parvient à la bifurcation du secteur du pont de l'Arpet (901 m.) où on laisse filer à droite la route du col de Labays "La Pierre St-Martin/Espagne" pour continuer à gauche sur la route D 441 "Lées-Athas/Osse-en-Aspe" qui mène au col de Bouesou (1020 m.), peu après laisser filer la route D 441 pour suivre à gauche la route D 442 afin de parvenir au col de Hourataté (1010 m.) et y laisser le vélo, ensuite suivre à gauche direction Nord-Ouest la petite route, interdite aux véhicules non autorisés, qui après trois virages prend une direction générale Nord pour se terminer au col de Bergout (1162 m. ou 1164 m.) où on laisse le vélo, suivre un chemin direction Nord pour l'abandonner presque aussitôt en suivant un sentier à droite direction Est-Nord-Est, puis monter Nord (1310 m.) vers la cabane de Légarce (1380 m.) qu'on dépasse pour aller traverser un chemin (1410 m.) et continuer au Nord dans le vallon, virer à droite Est (1460 m.) puis au Nord (1500 m.) pour aller chercher la crête (1560 m.) que l'on remonte à gauche Ouest-Nord-Ouest afin de parvenir au sommet de Le Layens (1625 m.), revenir par le même itinéraire au col de Bergout, récupérer le vélo pour descendre au col de Hourataté et continuer à gauche sur le versant Oriental en suivant la route D 442 qui mène à Osse-en-Aspe (400 m.) où la route D 237 ramène sur la route N 134 qui permet d'aller retrouver vers le Nord le point de départ.

    En ce premier jour de déconfinement partiel (fin des restrictions de déplacement mais couvre-feu 19 h - 6 h maintenu), je décidais d'aller faire le tour du Layens en VTT et son ascension en pédestre. Parti à 6 h55 de l'aire de stationnement du Mail du Couret en vélo tout terrain (VTT), l'échauffement sera vite fait, dès 430 d'altitude la pente moyenne sur le prochain kilomètre est annoncée à 9,5 % et dans lequel il y a une portion à 12 %. A 7 h46 j'étais au col d'Ichère et après une pause, à 8 heures je débutais la descente vers Lourdios-Ichère avec des passages de pentes à 10 % et 12 %. Ce versant Occidental du col d'Ichère a été gravi 5 fois par les coureurs du tour de France cycliste dans le même sens par Capdeville/Lourdios-Ichère, lors de l'étape Biarritz-Pau de 1978 classé en 3ème catégorie, .lors de l'étape Bayonne-Pau de 1986 classé en 2ème catégorie, lors de l'étape Pau-Jaca de 1991 classé en  2ème catégorie, lors de l'étape Mourenx-Pau de 2005 classé en 3ème catégorie et lors de l'étape Pau-Laruns de 2020 classé en 3ème catégorie. Nouvelle pause à Capdeville et à 9 heures j'empruntais la route D 341 en direction du col de Labays. La montée est par endroits raide mais c'est un mini Gavarnie yes , le passage du Pas Dét Cu fait penser à la brèche de Roland, celui du Mail Acut fait penser au Doigt de la fausse brèche et cette partie des gorges de Lourdios est superbe. Après quelques passages de pente à 12 % où à un moment j'ai mis pied à terre pour reprendre mon souffle et me restaurer, à 10 heures je passais à la bifurcation du col de Labays et à 10 h30 j'étais au col de Bouesou. La piste qui monte du col de Hourataté au col de Bergout a un raide passage peu après son début et un très raide passage peu avant sa fin, sur une portion cimentée juste avant d'arriver à la cabane qui précède le col, où j'ai mis pied à terre. Nouvelle pause restauration de 11 h15 à 11 h30 avant de commencer la partie pédestre de la sortie. Après un cheminement à flanc de montagne, à 12 h20 je passais près de la cabane de Légarce et de 13 h15 à 13 h50 je savourais le panorama qui m'était offert par le sommet du Layens et si j'étais un peu "explosé" tongue , la fatigue n'existait plus car il ne me restait que de la descente pour retrouver mon point de départ. A 15 heures je récupérais mon vélo et après avoir remis en place la chaîne qu'un malveillant avait fait sauter du plateau (l'histoire se répète) je débutais une descente prudente sur la piste où il y avait du gravier des cailloux et quelques trous. De retour sur la route D 442, avec des passages de pentes à 10 % et 9 % avant Osse-en-Aspe, ça a été très rapide et après avoir récupéré la route N 134, à 15 h45 je retrouvais ma voiture après un dénivelé pédestre positif de 463 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif de 1150 mètres pour autant de négatif sur une distance de 38 kilomètres.

    Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 3 Béarn Aspe - Ossau - Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Oloron-Ste-Marie Vallée d'Aspe 1546 OT.

    Voir galerie photos Le Layens en pédestre et son tour cycliste par les cols d'Ichère, de Bouesou, de Hourataté et de Bergout


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    * 2 avril 2021, départ en Vélo de l'aire de stationnement du pont de Louvie-Juzon (410 m.), en suivant la route D 934 direction Laruns, puis la route D 2934 en direction de Bielle/Bilhères en Ossau et enfin la route D 294 (449 m.) en direction de Bilhères en Ossau (3 km)/Col de Marie Blanque (11 km), pour contourner et passer au-dessus du village de Bilhères en Ossau et après des passages de pentes à 8 %, 8,5 % et 8,1 %, parvenir à la chapelle de Houndas (825 m.) puis, après une pente à 6,5 %, passer au col du Porteigt (881 m.), traverser Ouest-Sud-Ouest le plateau de Benou (878 m.), après une pente à 7,5 % dont une portion à 12 % passer près de l'ancienne carrière de Marbre du Benou (1000 m.) et parvenir au col de Marie Blanque pour y laisser le vélo (1035 m.), remonter direction générale Nord le sentier en bordure du raide chemin pierreux, puis le chemin devenu terreux afin de parvenir au Garroc de Pétère (1146 m.) où on l'abandonne pour suivre à droite le sentier fléché "Circuit du pic d'Escurets/Etchaux-Ishaus" qui prend une direction générale Nord, passe à Etchaux (1331 m.) où il vire au Nord-Ouest pour parvenir au sommet du pic d'Escurets (1440 m.), revenir par le même itinéraire au col de Marie Blanque, récupérer le vélo pour descendre Est sur la route D 294, parvenir à Escot (332 m.) où on suit la route D 238 en montée puis en descente vers Lurbe-St-Christau que l'on traverse (297 m.) pour suivre direction Est la route D 918 vers Arudy, passer à Saint-Christau (302 m.), monter à Berguery (353 m.), puis dans le bois du Bager à la cabane Forestière de la Borne 11 (423 m.), descendre au pont de La Puyade (316 m.) pour remonter et passer à Hangous (416 m.), parvenir à Arudy et y suivre la route D 920 qui ramène sur la route D 934 pour retrouver le point de départ au pont de Louvie-Juzon.

    Parti de nuit à 7 heures en vélo tout terrain (VTT), le jour se levait au moment où je commençais à attaquer la pente à 8 %, 3,5 kilomètres après le départ sur la route D 294. Les plus forts pourcentages de pente sont situés entre le panneau signalant le col ouvert et le virage qui précède l'arrivée à la chapelle de Houndas avec au menu une petite portion à 12 % juste après avoir traversé le plateau de Benou. A 9 h15 j'arrivais enfin, à mon petit train, au col de Marie Blanque. En 1990, les coureurs du tour de France cycliste, lors de l'étape Lourdes-Pau, avaient gravi ce col classé en 1ère catégorie dans ce même sens, lors du tour de France 1996 dans l'étape Argelès-Gazost-Pampelune ce même col dans le même sens était classé en 2ème catégorie. Après une pause d'un quart d'heure, je débutais la partie pédestre de mon circuit en montant au pic d'Escurets. Il y avait de nombreux randonneurs dont un groupe d'une quarantaine de personnes de la MJC des Fleurs de Pau et des fleurs il y en avait sur tout le parcours. Revenu à 11 h50 au col ou mon vélo avait été retourné par un malveillant, j'y réalisais une petite pause restauration et à 12 h10 je débutais la descente en vélo vers Escot. Ce versant que les coureurs du tour de France ont gravi plusieurs fois est classé en 1ère catégorie mais le pourcentage de pente y est plus élevé avec des portions à 11 et 13 %. Après le village d'Escot, la suite du parcours jusqu'à Arudy est en montagnes russes. Je retrouvais ma voiture à 14 h45 après un petit dénivelé pédestre positif de 405 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif d'environ 1000 mètres pour autant de négatif sur une distance de 50 kilomètres.

    Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 3 Béarn Aspe - Ossau - Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Oloron-Ste-Marie Vallée d'Aspe 1546 OT.

    Voir galerie photos Pic d'Escurets en pédestre et son tour cycliste par le col de Marie Blanque


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  • * 26 février 2021, depuis le virage en épingle du chemin forestier de Curadère (1610 m.), en montant Est-Nord-Est pour passer à le Pouy Droumidé (1691 m.), continuer direction Sud-Est et passer au col situé au Sud de La Tucoy (1796 m.) pour réaliser une traversée direction générale Sud sur le flanc Occidental  du pic Araillé, passer à la cabane d'Aurios (1970 m.) pour aller prendre pied sur la crête Nord-Ouest du le Malinat (2015 m.), en remonter une partie puis basculer sur son versant Occidental (2050 m.) afin d'y réaliser une traversée ascendante à flanc direction Sud, parvenir au Clot de la Touette (2081 m.), remonter direction générale Est afin de parvenir au sommet du Soum de Lat Dessus (2244 m.) et revenir par le même itinéraire.

    Randonnée réalisée sur neige avec utilisation des crampons et du piolet à partir de 1880 mètres. Les raquettes auront pris l'air en restant sur le sac à dos.

    Après avoir remonté en voiture la mauvaise "route forestière de Curadère", je démarrais la marche à 8 heures pour passer à 8 h45 au col situé au Sud de La Tucoy. De 9 heures à 9 h15 je réalisais une petite pause sur le flanc Occidental du pic Araillé avec mise des crampons. Un randonneur qui me suivait passera devant, il allait gravir le Cabaliros. Après avoir basculé sur le versant Occidental de la crête Nord-Ouest du le Malinat, la traversée qui suit, ascendante et à flanc, se fait sur une pente raide. Ayant remonté le Clot de la Touette, je parvenais sur la crête Nord du Soum de Lat Dessus, au sommet duquel j'arrivais à 11 heures. Ayant bien profité du magnifique panorama offert par cet étroit sommet "corniché", je débutais la descente à 11 h30. Après la visite de la cabane d'Aurios, un peu plus bas à la fin de l'enneigement, je réalisais une pause restauration avec rangement des crampons de 12 h45 à 13 h15. Je retrouvais ma voiture à 13 h50 après un dénivelé positif de 650 mètres pour autant de négatif et une journée assez bien ensoleillée.

    Carte TOP 25 IGN 1:25000 Lourdes Argelès-Gazost Le Lavedan.

    Voir galerie photos Soum de Lat Dessus 26 02 2021


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  • * 15 février 2021, depuis l'aire de stationnement d'Aumet (1160 m.) au-dessus du hameau de Lhers, en suivant la route direction Sud-Sud-Ouest au-dessus de la rive droite du Labadie ruisseau pour passer près de la cabane de Pourcibo (1340 m.), juste après on suit le sentier fléché "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet" en direction générale Sud-Sud-Est pour traverser plusieurs fois la route, contourner par la gauche le "Rocher appelé le Caillaü" et passer au-dessus de la cabane det Caillau (1456 m.) pour suivre à l'Est le sentier fléché "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet" qui vire ensuite à droite pour prendre une direction générale Sud-Sud-Est et après une série de six virages en épingle on parvient à la bifurcation Labigouer-Arlet (1610 m.) où on laisse filer à gauche le sentier fléché "Col de Souperet - Pic de Labigouer" pour continuer en face direction Sud sur le sentier fléché "Col de Saoubathou - Refuge d'Arlet", réaliser une traversée à flanc toujours direction Sud pour atteindre et traverser le replat de Cambouet (1834 m.), puis aller chercher au Sud-Est le col situé au Sud du dôme coté 1987 et au Nord-Ouest du pic Rouge, passer sur le dôme (1987 m.) puis descendre Nord-Nord-Est au col de Saoubathou (1949 m.) où on suit la crête direction Nord puis on bascule sur le flanc Oriental avant d'atteindre le Sommet de Saubatou ou Sommet de Saoubathou (2035 m.) et revenir avec deux variantes, descente à partir du col de Saoubathou à l'Ouest-Sud-Ouest pour aller retrouver le replat de Cambouet puis passage près de la cabane det Caillau pour y suivre la route jusqu'à Aumet.

    Ce modeste sommet d'une proéminence de 47 mètres, coté 2035 et non nommé par ign fr, est situé au Sud-Est du Puits d'Arious et au Nord du col de Saoubathou. Il est nommé "Cambouet" et coté 2029 par mendikat.net, "Sommet de Saubatou" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous et "Sommet de Saoubathou" sur le cadastre napoléonien de 1837 de Borce.

    Randonnée réalisée sur neige avec utilisation des raquettes à partir de 1600 mètres, remplacées par les crampons et le piolet à partir de 1960 mètres sur la crête du Sommet de Saubatou.

    Parti à 7 h35 de l'aire de stationnement d'Aumet située près d'une cabane (nommée Cabane Aumet de bas sur le cadastre napoléonien), pour une suite d'"immersion" en 1837 vers la Montagne de Lacuarde (nom donné à cette montagne sur le cadastre napoléonien). Je passais à 8 h13 près de la cabane de Pourcibo (Cabane de la Poursiübe sur le cadastre napoléonien) à partir de laquelle je quittais la route pour suivre le sentier fléché "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet". Après avoir contourné par la gauche un immense rocher (Rocher appelé le Caillaü sur le cadastre napoléonien) je passais au-dessus de la cabane det Caillau pour réaliser une pause de 8 h41 à 8 h50 près du fléchage "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet". J'utilisais les raquettes à partir de 1600 mètres pour passer à la bifurcation Labigouer-Arlet à 9 h20. Un peu plus haut, la progression se déroule sur un secteur ayant un raide dévers (Et Hieret sur le cadastre napoléonien), les raquettes accrochaient bien et j'avais sorti le piolet. J'arrivais ainsi à l'entrée du replat de Cambouet à 10 h23 et sa sortie offrait une belle vue sur le vallon suspendu, parallèle à la crête frontière, où les cabanes "de Lacuarde" et "de Lapassarotte" (nommées ainsi sur le cadastre napoléonien) étaient enfouies dans la neige. En suivant des traces sur la neige et sous un vent glacial je continuais la progression face au "Col  des montagnes rouges" (nommé ainsi sur le cadastre napoléonien) pour virer à gauche et passer au col situé au Nord-Ouest du pic Rouge (Le Pic rouge sur le cadastre napoléonien), sur le dôme coté 1987 où les traces s'arrêtaient. Après être passé au col de Saoubathou (Col de Saubatou sur le cadastre napoléonien), à 11 h17 je réalisais une halte sur le début de la crête du Sommet de Saubatou pour changer les raquettes par les crampons. La traversée du versant Oriental est aérienne sur une raide zone enneigée et le franchissement de l'arête en neige dure a été délicat erf . Il y avait de violentes rafales de vent, les raquettes fixées au sac à dos leur offrant de belles prises et la chute étant interdite, j'ai terminé l'ascension en rampant à 11 h45. J'effectuais la descente du Sommet de Saubatou avec prudence en mettant plus de temps qu'à la montée. Dans de telles conditions, ce "petit" sommet est à négocier avec le matériel adéquat, sérieux et prudence doivent être de mise ainsi qu'une corde pour assurer ou rassurer. De retour au col de Saoubathou, j'ai réalisé une descente Ouest-Sud-Ouest pour aller retrouver le replat de Cambouet à l'Est du "Sommet de Soumas" et du "Sommet du Cambouet" (dômes nommés ainsi sur le cadastre napoléonien). Le "Col du Camy Junqué", la "Crête de Lacuette", le "Col de Lacuette" et le "Sommet des Curets" (nommés ainsi sur le cadastre napoléonien), situés sur la frontière, sont restés cachés toute la journée sous une bande de nuages. Après avoir "battu les oeufs en neige" et retiré les raquettes, de 13 h25 à 13 h55 je dégustais une bonne omelette et le reste... à 1600 mètres, au-dessus de la cabane det Caillau. A partir de cette cabane je suivais la route pour aller retrouver ma voiture à Aumet à 14 h56, après un dénivelé positif de 930 mètres pour autant de négatif et une belle journée assez bien ensoléillée où j'ai rencontré une famille de promeneurs dans le secteur det Caillau et à Aumet deux randonneurs qui revenaient du pic de Labigouer qu'ils avaient réalisé en boucle.

    Carte IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT et cadastre napoléonien de 1837 d'Accous plus instructif pour être plus riche au niveau de la toponymie (voir au bas du résumé de la sortie: Montagne de Hieret (1800 m.), "immersion" en 1837).

    Voir galerie photos Sommet de Saubatou 15 02 2021


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