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* 5 août 2021, depuis l'aire de stationnement de la Mongie-Tourmalet située en bordure de la route D 918 (1800 m.), rejoindre au Sud-Ouest le fond du vallon pour passer près de la gare aval du télésiège de Pourteilh (1778 m.), puis de la gare aval de départ du télésiège des Béarnais (1783 m.), y suivre la piste qui remonte direction générale Sud-Sud-Ouest pour rejoindre la Coume de Porteilh ou Pourteilh, passer près d'un laquet (2120 m.), près de la gare aval du télésiège des Quatre Termes (2152 m.), puis au-dessus et à l'Est du lac de Porteilh (coté 2264), abandonner la piste vers 2320 mètres à hauteur d'un pylone et d'une barrière en bois pour descendre à droite Nord-Ouest dans une zone d'éboulis, passer au Sud du lac de Porteilh et naviguer entre les blocs direction générale Sud-Ouest pour parvenir à la base d'un couloir encombré de blocs, le remonter direction Nord-Ouest puis aller chercher la crête située à droite et la remonter jusqu'à parvenir à l'entrée du cirque de la Passade de la Néou (2450 m.), à la base du sommet Oriental de cette Passade coté 2589 et revenir avec une variante de navigation dans la zone d'éboulis située au Sud du lac de Porteilh.
Parti à 7 h15 pour aller découvrir le petit cirque minéral de la Passade de la Néou, dans la descente vers la gare aval du télésiège de Pourteilh, j'ai croisé un troupeau de lamas, si c'est pas le Pérou ça y ressemble! Il y a plus de lamas que de brebis et l'un d'entre eux faisait des roulades, presque au même endroit que l'avait fait une brebis lors de ma randonnée du 2 septembre 2008 au pic des Quatre Termes. A 8 h20 je passais au laquet, gardé par une dizaine d'isards. Après être monté trop haut (2400 m.) en suivant la piste des Quatre Termes, ne trouvant aucun départ de sentier, aucun cairn et aucune trace de peinture je suis revenu sur mes pas pour quitter la piste à hauteur d'un pylone et d'une barrière en bois (2320 m.) et descendre à vue dans la zone de gros éboulis située au-dessus et au Sud du lac de Porteilh pour y chercher les moins mauvais passages sur des blocs plus ou moins stables qui ne cherchent qu'à provoquer le déséquilibre. Un embarquement dans une galère où j'ai un peu "ramé"... Peu après avoir remonté un raide couloir encombré de gros blocs et de rhododendrons auxquels on peut s'accrocher, je suis parvenu sur la crête, à l'entrée du cirque minéral de la Passade de la Néou, et pris de pitié pour mes genoux que j'ai voulu ménager, à 11 h30 j'ai fait une pause restauration sur cette crête qui vient buter à la base du sommet Oriental de la Passade de la Néou. Le Soum du Cot de l'Espade ou pic Allemand (2641 m.), point culminant de ce petit cirque, est gravissable par ce versant ou en basculant sur le versant Occidental. A 12 h30 je débutais ma descente retour. Dans la zone d'éboulis située au Sud du lac de Porteilh, sur un court passage, j'ai trouvé quelques traces de sentes, quelques cairns et un ancien balisage jaune mais pas suffisants pour ramener à la piste que j'ai été chercher à vue. Sous le télésiège des Quatre Termes j'ai croisé un pick-up à la peine qui remontait la raide piste avec à son bord des travailleurs de la station de ski. En remontant entre le télésiège des Béarnais et la route D 918, le troupeau d'une cinquantaine de lamas est venu me rejoindre et m'a accompagné jusqu'à l'aire de stationnement où de nombreux touristes attendaient. Comme dans la chanson "Je suis malade" ou en verlan de Lama suis-je son chant? Sans être son fan fan fan, en chantant, je retrouvais ma voiture à 15 heures après un dénivelé positif d'environ 800 mètres pour autant de négatif.
Dans la montée en voiture vers le col du Tourmalet, il fallait faire attention aux lamas qui étaient en bordure et sur la route mais aussi et surtout aux automobilistes, motards et cyclistes qui s'arrêtaient pour les prendre en photo, tout comme en arrivant au mythique col du Tourmalet qui est le col des Pyrénées le plus emprunté par les coureurs du tour de France cycliste "la Grande Boucle" où cyclistes amateurs et touristes se bousculaient pour se prendre en photo sous la statue d’Octave Lapize, le "Géant du Tourmalet" qui a été le premier coureur à franchir le col du Tourmalet lors du Tour de France de 1910.
Carte IGN 1:25000 Néouvielle Vallée d'Aure Parc National des Pyrénées 1748 ET.
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* 20 juillet 2021, départ en Vélo de l'aire de stationnement (1160 m.) située en bordure de la route D 618 qui mène de Bagnères-de-Luchon à Arreau, en amont du village de Garin et 300 mètres en aval de la bifurcation de Gouaux-de-Larboust, pour suivre la route qui remonte en direction Ouest la rive droite de la vallée du Larboust, passer la bifurcation (1183 m.) et après des passages de pentes à 8,3 %, 7,9 % et 8,8 % dont des portions à 9,3 % et 9,1 % passer au col de Peyresourde (1568 m.) et 300 mètres après, quitter la route D 618 (1550 m.) pour s'engager à gauche sur la route D 117 de la station de Peyragudes nommée "Chemin des Champs de Neige", la quitter 1,2 kilomètres après (1639 m.) pour suivre à gauche la piste qui mène au refuge de l'Auroise (1695 m.) où on laisse le vélo, monter direction Est-Sud-Est pour atteindre la Pène de Sendiès (1783 m.) et suivre la crête de Sérias toujours direction Est-Sud-Est jusqu'à parvenir au sommet du Cap de la Pène de Soulit (2031 m.), revenir par le même itinéraire au refuge de l'Auroise (1695 m.), récupérer le vélo pour suivre la piste jusqu'à la route D 117 (1639 m.) que l'on suit à gauche, parvenir à l'entrée de la station de Peyresourde Balestas (1600 m.) où on continue sur la route D 117 qui prend une direction Sud-Est pour se terminer au départ du télésiège le Privilège (1599 m.), suivre la piste "Privilège" qui prend une direction Sud puis bifurquer à gauche (1717 m.) pour remonter direction générale Est en suivant la piste de "Palombes Haut" puis celle du "Col de la Flamme" afin d'atteindre le col situé sur la crête Sud-Ouest du Cap de la Pène de Soulit (1965 m.), basculer sur le versant Oriental pour suivre la piste du "Val des Agudes" qui descend jusqu'à la station les Agudes, y récupérer la route D 76b (1549 m.) qui après quelques lacets passe à Gouaux-de-Larboust (1335 m.) et prend une direction Nord-Est pour rejoindre la route D 618 (1183 m.) que l'on suit à droite afin de retrouver le proche point de départ (1160 m.).
La météo ayant prévu des orages à partir de 15 heures, je débutais ma montée cycliste en vélo tout terrain (VTT) à 7 heures pour arriver 6 kilomètres plus loin au col de Peyresourde à 8 h05. Ce col qui a été gravi une soixantaine de fois par les coureurs du tour de France cycliste est classé en première catégorie. Après une pause de 20 minutes je repartais pour atteindre le refuge de l'Auroise à 8 h42 où je commençais la partie pédestre de mon circuit à 9 heures. Après être passé par la Pène de Sendiès, qui n'a aucune proéminence, de 10 h10 à 10 h45 j'étais au sommet du Cap de la Pène de Soulit pour y admirer le beau panorama qui m'était offert mais aussi pour regarder le menu qui m'attendait entre les stations de Peyresourde et des Agudes. Je retrouvais le refuge de l'Auroise à 11 h15 et après avoir discuté avec la bergère et m'être rafraîchi à l'abreuvoir j'enfourchais mon vélo à 11 h40. Dans la montée de la station de Peyresourde Balestas au col situé sur la crête Sud-Ouest du Cap de la Pène de Soulit, en suivant les pistes de ski, je suis descendu plusieurs fois du vélo pour le pousser sur des portions très raides recouvertes de gravier et de sable . Après cette montée éprouvante, de 13 h20 à 13 h40 je me refaisais une santé avant d'attaquer la descente. Sur la route D76b, juste avant d'arriver à Gouaux-de-Larboust, j'ai eu droit a une agréable petite averse de moins d'une minute. A 14 h25 je retrouvais ma voiture après un dénivelé pédestre positif de 340 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste d'environ 925 mètres pour autant de négatif.
Carte IGN 1:25000 Bagnères-de-Luchon Lac d'Oô 1848 OT.
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* 1 juillet 2021 départ en Vélo de l'aire de l'aire de stationnement située sur le versant français du col du Pourtalet (1794 m. par l'IGN français, 1795 m. par l'IGN espagnol) en suivant vers le Sud la route qui franchit la frontière franco-espagnole du col du Pourtalet ou Puerto del Portalet, descendre sur la route A 136 direction Sud-Est et un peu plus de 3 kilomètres après, à hauteur du Corral de las Mulas (1625 m.), la quitter pour suivre à droite la piste qui descend direction Nord-Ouest pour aller traverser le río Gállego (1600 m.), puis en direction générale Sud-Ouest remonte jusqu'à la station de ski de Anayet la Mina (1720 m.), y suivre la piste qui en direction Sud puis ( 1910 m.) direction générale Sud-Est mène au Cuello de la Mina ou collado Balzaruelo (2096 m.) où on laisse le vélo, monter en suivant la crête direction Nord-Est puis (2040 m.) sur le flanc Occidental direction Nord pour atteindre la crête (2190 m.) et la suivre au Sud afin de parvenir au sommet du pico Campo de Troya ou encore Garmo Campo Troya (2224 m. ou 2219 m. ou encore 2218 m. selon les cartes), revenir par le même itinéraire au Cuello de la Mina ou collado Balzaruelo (2096 m.), récupérer le vélo pour suivre la piste qui en direction Sud remonte pour passer au sommet du Monte Lapazuso (2141 m.) puis descend au Cuello Lapazuso (2121 m.) et va rejoindre au Sud-Ouest le camino de Izas (2025 m.) que l'on va suivre à gauche direction générale Est pour ensuite bifurquer à gauche (1850 m.) en suivant la piste qui va rejoindre à l'Ouest l'aparcamiento (parking) de Sarrios (1790 m.) pour continuer direction générale Nord afin d'aller traverser le río Gállego (1550 m.) et rejoindre à l'Est la route A 136 (1560 m.) que l'on suit à gauche direction Nord-Ouest (passages avec des pentes de 6,9 % et 5,9 % et des portions à 8 %) pour retrouver, après un peu plus de 4 kilomètres, le point de départ au col du Pourtalet (1794 m.).
Des averses étant prévues en cours d'après-midi, je décidais de faire une sortie sur la matinée. A 6 h40 je quittais l'aire de stationnement du col du Pourtalet en vélo tout terrain (VTT) et après avoir emprunté la piste goudronnée interdite aux véhicules non autorisés, qui débute au Corral de las Mulas, je parvenais à la station de ski de Anayet la Mina à 7 h20. La suite va se dérouler sur des pistes de terre avec de nombreuses portions recouvertes de graviers de tailles et quantités différentes. Peu avant d'atteindre le cuello (col) de la Mina ou collado (col) Balzaruelo, j'ai été dans l'obligation de descendre du vélo pour le pousser (2030 m.) sur une vingtaine de mètres de dénivelé où la piste de terre recouverte de gros graviers était trop raide . Remonté sur le vélo (2060 m.) je parvenais au col de la Mina/Balzaruelo à 8 h30. Après une pause restauration, à 8 h55 je débutais la partie pédestre de la sortie en remontant la crête direction Nord-Est sur de la roche délitée puis direction Nord sur le flanc occidental herbeux avant d'atteindre le sommet du pico Campo de Troya par sa crête Nord à 9 h15. Les nuages commençaient à attaquer les sommets des massifs du Balaïtous, des Infiernos, de la Tendeñera et de la Telera/Partacua. A 9 h30 je quittais ce superbe belvédère pour descendre avec prudence sur de l'herbe mouillée "gispet la gueule" puis de la roche délitée et retrouver mon vélo à 9 h45. A 9 h55 je commençais une courte montée en suivant la piste qui passe au sommet du Monte Lapazuso, où débute la descente vers le cuello (col) Lapazuso. juste après le premier virage sous ce col, la pente de la piste terreuse recouverte de gros graviers étant devenue trop raide et dangereuse j'ai été dans l'obligation de descendre du vélo pour le retenir sur une quinzaine de mètres de dénivelé (2110-2090 m.) . Plus bas, j'ai rencontré des ouvriers qui réalisaient des travaux de création de nouvelles pistes au-dessus de la station de ski de Sarrios. L'un d'entreux, qui remontait le camino de Izas à bord d'un pickup, m'a interpellé pour me signaler qu'il avait mis des panneaux d'interdiction de passage dans tout le secteur de la station de Sarrios pour cause de travaux avec utilisation d'explosifs. Quand je lui ai signalé que je venais de la station de Anayet par les cuellos (cols) de la Mina et de Lapazuso et que dans ce sens de descente il n'y avait aucun panneau signalant ces travaux, il est resté sans voix et j'ai continué ma descente sur des pistes moins raides. Après avoir retrouvé le goudron, par endroits fraîchement refait, au parking de la station de Sarrios, plus bas je récupérais la route A 136 pour la remonter vers le col du Pourtalet ou Puerto del Portalet. La vuelta (tour d'Espagne) 2020 avait classé pour sa 6ème étape du 25 octobre, Biescas-Tourmalet, la montée du Alto del Portalet (col du Pourtalet) en 1ère catégorie, mais en raison de la pandémie de coronavirus les coureurs n'avaient pas franchi ce col et cette étape s'était terminée par une arrivée à Aramón Formigal (1ère catégorie à 1790 mètres d’altitude). Après avoir croisé plusieurs fourgons de la guardia civil (gendarmerie espagnole), par précaution j'avais fait suivre le certificat covid numérique UE (EU digital covid certificate) obligatoire à partir de ce jour, je retrouvais ma voiture à 11 h35 après un petit dénivelé pédestre positif de 130 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif d'environ 800 mètres pour autant de négatif.
Cartes 1:25000 Editorial Alpina Geo/Estel E-25 Valle de Canfranc Valle de Aísa Candanchú-Astún, 1:25000 Editorial Alpina Granollers Panticosa Formigal (édition 1992), 1:40000 Editorial Alpina Valle de Tena Sierra de Tendeñera Peña Telera et IGN es Signa.
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* 7 juin 2021 départ en Vélo de l'aire de stationnement de l'église d'Aucun (860 m.), en suivant la route D 918 direction Sud-Ouest et en descente (852 m.) pour remonter légèrement et passer à Marsous (857 m.), puis à Arrens-Marsous (875 m.) où on bifurque à gauche pour suivre la route D 105 fléchée "Chapelle de Pouey Laun - Barrage du Tech Lac d'Estaing - Col des Bordères" , puis suivre à gauche la route D 603 fléchée "Estaing - Col des Bordères Lac d'Estaing" (889 m.), plus loin laisser filer en face la route de "Les Esplaus" pour bifurquer à gauche (940 m.) toujours en suivant la route D 603 et remonter direction générale Est-Nord-Est afin de parvenir au col des Bordères (1157 m. ou 1161 m.) et y laisser le vélo, ensuite suivre à gauche direction Nord-Nord-Ouest le chemin puis le sentier qui lui fait suite, parvenir sur la crête Ouest du pic de Pan (1150 m.) et la remonter à droite direction générale Est-Sud-Est afin de parvenir au sommet du pic de Pan (1461 m. ou 1462 m.), retour au col des Bordères, y récupérer le vélo pour descendre sur la route D 603 direction générale Sud-Est, parvenir à Estaing où on suit à gauche la route D 103 direction Nord-Est (980 m.), la quitter juste avant le pont de la Badette (851 m.) pour suivre à gauche le chemin herbeux/terreux qui monte en direction générale Nord pour passer par la sablière de Bun et aller rejoindre une route bitumée (890 m.) que l'on suit pour passer à Lanne Dessus (870 m.), à les Pouèyes et aller rejoindre au Nord-Ouest la route D 13 (813 m.) que l'on suit à gauche jusqu'à la très proche bifurcation où on l'abandonne pour suivre à gauche la route fléchée "1,8 Aucun N 618" (813 m.) qui ramène en direction générale Ouest et après être passé à Terre Nère (841 m.) sur la route D 918 (847 m.) que l'on suit à gauche Ouest pour arriver en suivant à Aucun y retrouver le point de départ.
Parti, pour un court circuit d'une demi-journée, à 7 h05 du petit parking situé en face de l'église d'Aucun, le ciel était bleu et sans nuages, il mettait en valeur le superbe massif du Gabizos que j'avais constamment en face de moi. Quel poster ! A partir de la bifurcation de la route D 603 avec celle de "Les Esplaus" (940 m.) la montée devient plus raide, avec des passages de 8 et 9 % et des petites portions de 10, 11 et 12 %. En 1987, les coureurs du tour de France cycliste, lors de l'étape Pau-Luz-Ardiden, avaient gravi ce col classé en 2ème catégorie dans ce même sens, depuis Arrens-Marsous et idem lors du tour de France 1989 dans l'étape Pau-Cauterets il était toujours classé en 2ème catégorie depuis Arrens-Marsous. A 8 heures j'étais au col des Bordères et après une pause restauration j'attaquais la partie pédestre de ma sortie à 8 h30. Le sol rendu humide par les dernières pluies, était glissant. Pan dans le mille , à 9 h30 j'étais au sommet du pic de Pan alors que les nuages avaient décidé d'envelopper les hauts sommets. Après avoir attendu vainement un élargissement du panorama , à 10 heures je débutais une descente prudente car le rocher, la terre et l'herbe étaient toujours humides et glissants. A 10 h50 je retrouvais le col des Bordères où un groupe de cyclistes vendéens, en vacances à Pierrefitte-Nestalas, posait devant le panneau du col. Après avoir discuté un moment avec eux et les avoir pris en photo avec leurs téléphones, je récupérais mon VTT pour débuter la descente vers Estaing à 11 h15. Ce versant que les coureurs du tour de France ont gravi une fois en 2018, en version longue depuis Argelès-Gazost par Estaing, lors de l'étape Lourdes-Laruns était classé en 2ème catégorie avec des pourcentage de pente à 9 et 10 %. Le chemin herbeux/terreux qui monte vers la sablière de Bun a deux portions très raides et il était encore humide. Après avoir retrouvé le bitume à Lanne Dessus, à 11 h55 j'étais de retour à la voiture après un petit dénivelé pédestre positif de 320 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif d'environ 400 mètres pour autant de négatif.
De récentes opérations de gravillonnage des deux versants de la route du col des Bordères, non gênantes à la montée, avaient rendu la descente dangereuse.
Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 4 Bigorre Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Top 25 Lourdes Argelès-Gazost Le Lavedan 1647 ET.
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* 23 mai 2021 départ en Vélo depuis l'aire de stationnement de la mairie annexe de Louvie-Soubiron située à l'entrée du quartier Eschartès en rive gauche de l'Ouzom (519 m.) et en aval de Ferrières, en traversant le pont afin de suivre à droite vers le Sud la route D 126 pour traverser le village de Ferrières (558 m.), puis celui d'Arbéost (769 m.), passer à la bifurcation de Harnassat (989 m.), à Curebère (1102 m.), à la bifurcation des cabanes de Cure-Perdrix (1219 m.), parvenir au col de ou du Soulor (1471 m.), y quitter la route goudronnée pour descendre Est-Nord-Est afin de rejoindre (1441 m.) et suivre la piste qui en direction générale Nord-Est contourne le Cap d'Aout par son versant Oriental pour passer dans le secteur de Port Darré (1500 m.), sous le col de Mauben, monte au col de Soum (1539 m.), contourner par la droite le lac de Soum (1520 m.) pour longer direction générale Nord le versant Occidental de la crête de la Serre, passer au col de Cantau (1544 m.), franchir la crête Ouest du pic de Cantau (1459 m.), y virer direction Est pour longer sa face Nord, passer sous le col de Berbeillet (1540 m.) pour longer direction Nord le versant Occidental du Soum de Berducou et parvenir au col de Bazès (1527 m.) et y laisser le vélo, descendre Nord au vrai col (1509 m.) pour y suivre un sentier en descente direction Ouest, bifurquer Nord-Ouest dans le secteur de Palanquettes (1420 m.) puis Nord dans le secteur Artiguelongue (1420 m.) et enfin Nord-Est (1570 m.), parvenir au col de Roumenta ou col de las Couradas (1593 m.) et aller gravir au Nord-Nord-Est le pic de Navaillo (1666 m.), revenir au col de Roumenta ou de las Couradas (1593 m.) puis aller gravir au Sud le pic de Bazès (1804 m.), quitter le sommet en franchissant une brèche à l'Est puis descendre Est-Sud-Est, virer au Sud-Ouest (1600 m.) pour longer un pierrier et retrouver les pelouses du col de Bazès (1509 m.) puis au Nord le col routier (1527 m.), récupérer le vélo pour descendre direction Est jusqu'au col de la Serre (1458 m.) y continuer toujours direction Est pour atteindre le col de Couraduque (1367 m.), suivre au Nord la piste de Haugarou qui contourne par la droite le Cap de Soc d'abord sur son versant Oriental puis (1330 m.) direction Ouest sur son versant Septentrional (Nord), puis au Sud aller traverser le ruisseau de Taillade (1310 m.), y continuer la descente direction Nord, traverser le ruisseau du Bergons (1280 m.) et passer près du refuge gîte du Haugarou (1215 m.) pour parvenir à la bifurcation avec la route que l'on va suivre au Nord (1187 m.) et qui va franchir la crête Est du pic de Navaillo (1255 m.) afin d'aller chercher à l'Ouest, après deux virages en épingle, le col de Spandelles (1378 m.) où la route ramène après de multiples lacets en direction générale Ouest à Eschartès.
Parti à 6 h45 en ce jour de pentes et côtes, j'attaquais à froid les premières pentes du col du Soulor. De Ferrières au col du Soulor la route de 13 kilomètres a des passages de pentes à 8,5 et 9 %, avec quelques portions de pentes à 10, 11 et 12 %. Le 22 juillet 2010, lors de la 17 ème étape du tour de France cycliste Pau-col du Tourmalet, les coureurs avaient gravi ce col classé en première catégorie dans ce sens. De 9 h30 à 9 h50 je réalisais une première pause restauration au col du Soulor. Après avoir quitté le bitume et réalisé une traversée sur des pistes, en montagnes russes, à 11 heures j'arrivais au col de Bazès. Nouvelle pause restauration, avant d'attaquer à 11 h25 la partie pédestre de mon circuit par une descente pour contourner le pic de Bazès par son versant Occidental. A 13 heures j'étais sur le sommet Nord du pic de Navaillo après être passé par deux autres sommets d'égale altitude. La montée au pic de Bazès est raide, il y a bien des traces mais par endroits il faut chercher son passage. De 14 h25 à 14 h45 j'étais au sommet du pic de Bazès pendant que les nuages masquaient une partie du panorama. A 15 h25 j'étais au col de Bazès et après avoir discuté avec quelques randonneurs je débutais la descente en vélo à 15 h45 pour passer au col de Couraduque à 16 h05. Peu après avoir rejoint la route bitumée du col de Spandelles et débuté la montée, un panneau annonce le col à deux kilomètres et une pente à 9 % sur un kilomètre, mais c'est une pente moyenne qui cache des portions à plus de 12 % où j'ai "explosé" . Le dernier kilomètre annoncé à 8 % se grimpe mieux et à 17 heures j'arrivais au col de Spandelles sous les bravos d'un sympathique couple uruguayo-palois venu faire des repérages pour monter le lendemain vers le Soum de Granquet. Début de descente à 17 h20 mais mon vélo présentant quelques faiblesses dans le freinage, ce sera une descente prudente pour aller retrouver ma voiture à 17 h50 après un dénivelé pédestre positif de 520 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif d'environ 1350 mètres pour autant de négatif.
Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 3 Béarn Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Top 25 Lourdes Argelès-Gazost Le Lavedan 1647 ET.
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