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    * 3 mai 2021, départ en Vélo de l'aire de stationnement du Mail du Couret (360 m.) située en bordure de la route N 134, en aval du Pont-Suzon, en remontant la route N 134 direction Espagne, la quitter peu après pour suivre à,droite la route D 241 vers Lourdios-Ichère/Col d'Ichère, après quelques virages et des passages de pentes  à 5 % et 9,5 % dont une portion à 12 %, elle prend une direction générale Ouest-Nord-Ouest (680 m.), avant d'atteindre le col d'Ichère (674 m.) et descendre Ouest-Nord-Ouest vers Lourdios-Ichère (450 m.) puis rejoindre la route D 341 à Capdeville, que l'on suit en direction des cols de Labays et de la Pierre St-Martin (396 m.) en longeant la rive droite du gave de Lourdios avec des portions de pentes à 9 % et 10 %, passer le Pas Dét Cu, traverser le bas de la crête Ouest du Layens à hauteur du Mail Acut, puis le pont de la Mouline (600 m.) qui enjambe le gave d'Issaux, longer la rive gauche jusqu'au pont du Gouat (639 m.) où on traverse une nouvelle fois le gave d'Issaux, après plusieurs virages en épingle avec des passages de pentes à 10 % et 11,7 % dont des portions à 9%, 12 % et 10 %, on parvient à la bifurcation du secteur du pont de l'Arpet (901 m.) où on laisse filer à droite la route du col de Labays "La Pierre St-Martin/Espagne" pour continuer à gauche sur la route D 441 "Lées-Athas/Osse-en-Aspe" qui mène au col de Bouesou (1020 m.), peu après laisser filer la route D 441 pour suivre à gauche la route D 442 afin de parvenir au col de Hourataté (1010 m.) et y laisser le vélo, ensuite suivre à gauche direction Nord-Ouest la petite route, interdite aux véhicules non autorisés, qui après trois virages prend une direction générale Nord pour se terminer au col de Bergout (1162 m. ou 1164 m.) où on laisse le vélo, suivre un chemin direction Nord pour l'abandonner presque aussitôt en suivant un sentier à droite direction Est-Nord-Est, puis monter Nord (1310 m.) vers la cabane de Légarce (1380 m.) qu'on dépasse pour aller traverser un chemin (1410 m.) et continuer au Nord dans le vallon, virer à droite Est (1460 m.) puis au Nord (1500 m.) pour aller chercher la crête (1560 m.) que l'on remonte à gauche Ouest-Nord-Ouest afin de parvenir au sommet de Le Layens (1625 m.), revenir par le même itinéraire au col de Bergout, récupérer le vélo pour descendre au col de Hourataté et continuer à gauche sur le versant Oriental en suivant la route D 442 qui mène à Osse-en-Aspe (400 m.) où la route D 237 ramène sur la route N 134 qui permet d'aller retrouver vers le Nord le point de départ.

    En ce premier jour de déconfinement partiel (fin des restrictions de déplacement mais couvre-feu 19 h - 6 h maintenu), je décidais d'aller faire le tour du Layens en VTT et son ascension en pédestre. Parti à 6 h55 de l'aire de stationnement du Mail du Couret en vélo tout terrain (VTT), l'échauffement sera vite fait, dès 430 d'altitude la pente moyenne sur le prochain kilomètre est annoncée à 9,5 % et dans lequel il y a une portion à 12 %. A 7 h46 j'étais au col d'Ichère et après une pause, à 8 heures je débutais la descente vers Lourdios-Ichère avec des passages de pentes à 10 % et 12 %. Ce versant Occidental du col d'Ichère a été gravi 5 fois par les coureurs du tour de France cycliste dans le même sens par Capdeville/Lourdios-Ichère, lors de l'étape Biarritz-Pau de 1978 classé en 3ème catégorie, .lors de l'étape Bayonne-Pau de 1986 classé en 2ème catégorie, lors de l'étape Pau-Jaca de 1991 classé en  2ème catégorie, lors de l'étape Mourenx-Pau de 2005 classé en 3ème catégorie et lors de l'étape Pau-Laruns de 2020 classé en 3ème catégorie. Nouvelle pause à Capdeville et à 9 heures j'empruntais la route D 341 en direction du col de Labays. La montée est par endroits raide mais c'est un mini Gavarnie yes , le passage du Pas Dét Cu fait penser à la brèche de Roland, celui du Mail Acut fait penser au Doigt de la fausse brèche et cette partie des gorges de Lourdios est superbe. Après quelques passages de pente à 12 % où à un moment j'ai mis pied à terre pour reprendre mon souffle et me restaurer, à 10 heures je passais à la bifurcation du col de Labays et à 10 h30 j'étais au col de Bouesou. La piste qui monte du col de Hourataté au col de Bergout a un raide passage peu après son début et un très raide passage peu avant sa fin, sur une portion cimentée juste avant d'arriver à la cabane qui précède le col, où j'ai mis pied à terre. Nouvelle pause restauration de 11 h15 à 11 h30 avant de commencer la partie pédestre de la sortie. Après un cheminement à flanc de montagne, à 12 h20 je passais près de la cabane de Légarce et de 13 h15 à 13 h50 je savourais le panorama qui m'était offert par le sommet du Layens et si j'étais un peu "explosé" tongue , la fatigue n'existait plus car il ne me restait que de la descente pour retrouver mon point de départ. A 15 heures je récupérais mon vélo et après avoir remis en place la chaîne qu'un malveillant avait fait sauter du plateau (l'histoire se répète) je débutais une descente prudente sur la piste où il y avait du gravier des cailloux et quelques trous. De retour sur la route D 442, avec des passages de pentes à 10 % et 9 % avant Osse-en-Aspe, ça a été très rapide et après avoir récupéré la route N 134, à 15 h45 je retrouvais ma voiture après un dénivelé pédestre positif de 463 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif de 1150 mètres pour autant de négatif sur une distance de 38 kilomètres.

    Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 3 Béarn Aspe - Ossau - Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Oloron-Ste-Marie Vallée d'Aspe 1546 OT.

    Voir galerie photos Le Layens en pédestre et son tour cycliste par les cols d'Ichère, de Bouesou, de Hourataté et de Bergout


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    * 2 avril 2021, départ en Vélo de l'aire de stationnement du pont de Louvie-Juzon (410 m.), en suivant la route D 934 direction Laruns, puis la route D 2934 en direction de Bielle/Bilhères en Ossau et enfin la route D 294 (449 m.) en direction de Bilhères en Ossau (3 km)/Col de Marie Blanque (11 km), pour contourner et passer au-dessus du village de Bilhères en Ossau et après des passages de pentes à 8 %, 8,5 % et 8,1 %, parvenir à la chapelle de Houndas (825 m.) puis, après une pente à 6,5 %, passer au col du Porteigt (881 m.), traverser Ouest-Sud-Ouest le plateau de Benou (878 m.), après une pente à 7,5 % dont une portion à 12 % passer près de l'ancienne carrière de Marbre du Benou (1000 m.) et parvenir au col de Marie Blanque pour y laisser le vélo (1035 m.), remonter direction générale Nord le sentier en bordure du raide chemin pierreux, puis le chemin devenu terreux afin de parvenir au Garroc de Pétère (1146 m.) où on l'abandonne pour suivre à droite le sentier fléché "Circuit du pic d'Escurets/Etchaux-Ishaus" qui prend une direction générale Nord, passe à Etchaux (1331 m.) où il vire au Nord-Ouest pour parvenir au sommet du pic d'Escurets (1440 m.), revenir par le même itinéraire au col de Marie Blanque, récupérer le vélo pour descendre Est sur la route D 294, parvenir à Escot (332 m.) où on suit la route D 238 en montée puis en descente vers Lurbe-St-Christau que l'on traverse (297 m.) pour suivre direction Est la route D 918 vers Arudy, passer à Saint-Christau (302 m.), monter à Berguery (353 m.), puis dans le bois du Bager à la cabane Forestière de la Borne 11 (423 m.), descendre au pont de La Puyade (316 m.) pour remonter et passer à Hangous (416 m.), parvenir à Arudy et y suivre la route D 920 qui ramène sur la route D 934 pour retrouver le point de départ au pont de Louvie-Juzon.

    Parti de nuit à 7 heures en vélo tout terrain (VTT), le jour se levait au moment où je commençais à attaquer la pente à 8 %, 3,5 kilomètres après le départ sur la route D 294. Les plus forts pourcentages de pente sont situés entre le panneau signalant le col ouvert et le virage qui précède l'arrivée à la chapelle de Houndas avec au menu une petite portion à 12 % juste après avoir traversé le plateau de Benou. A 9 h15 j'arrivais enfin, à mon petit train, au col de Marie Blanque. En 1990, les coureurs du tour de France cycliste, lors de l'étape Lourdes-Pau, avaient gravi ce col classé en 1ère catégorie dans ce même sens, lors du tour de France 1996 dans l'étape Argelès-Gazost-Pampelune ce même col dans le même sens était classé en 2ème catégorie. Après une pause d'un quart d'heure, je débutais la partie pédestre de mon circuit en montant au pic d'Escurets. Il y avait de nombreux randonneurs dont un groupe d'une quarantaine de personnes de la MJC des Fleurs de Pau et des fleurs il y en avait sur tout le parcours. Revenu à 11 h50 au col ou mon vélo avait été retourné par un malveillant, j'y réalisais une petite pause restauration et à 12 h10 je débutais la descente en vélo vers Escot. Ce versant que les coureurs du tour de France ont gravi plusieurs fois est classé en 1ère catégorie mais le pourcentage de pente y est plus élevé avec des portions à 11 et 13 %. Après le village d'Escot, la suite du parcours jusqu'à Arudy est en montagnes russes. Je retrouvais ma voiture à 14 h45 après un petit dénivelé pédestre positif de 405 mètres pour autant de négatif et un dénivelé cycliste positif d'environ 1000 mètres pour autant de négatif sur une distance de 50 kilomètres.

    Carte Rando éditions données IGN 1:50000 Pyrénées n° 3 Béarn Aspe - Ossau - Parc National des Pyrénées et Carte IGN 1:25000 Oloron-Ste-Marie Vallée d'Aspe 1546 OT.

    Voir galerie photos Pic d'Escurets en pédestre et son tour cycliste par le col de Marie Blanque


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  • * 26 février 2021, depuis le virage en épingle du chemin forestier de Curadère (1610 m.), en montant Est-Nord-Est pour passer à le Pouy Droumidé (1691 m.), continuer direction Sud-Est et passer au col situé au Sud de La Tucoy (1796 m.) pour réaliser une traversée direction générale Sud sur le flanc Occidental  du pic Araillé, passer à la cabane d'Aurios (1970 m.) pour aller prendre pied sur la crête Nord-Ouest du le Malinat (2015 m.), en remonter une partie puis basculer sur son versant Occidental (2050 m.) afin d'y réaliser une traversée ascendante à flanc direction Sud, parvenir au Clot de la Touette (2081 m.), remonter direction générale Est afin de parvenir au sommet du Soum de Lat Dessus (2244 m.) et revenir par le même itinéraire.

    Randonnée réalisée sur neige avec utilisation des crampons et du piolet à partir de 1880 mètres. Les raquettes auront pris l'air en restant sur le sac à dos.

    Après avoir remonté en voiture la mauvaise "route forestière de Curadère", je démarrais la marche à 8 heures pour passer à 8 h45 au col situé au Sud de La Tucoy. De 9 heures à 9 h15 je réalisais une petite pause sur le flanc Occidental du pic Araillé avec mise des crampons. Un randonneur qui me suivait passera devant, il allait gravir le Cabaliros. Après avoir basculé sur le versant Occidental de la crête Nord-Ouest du le Malinat, la traversée qui suit, ascendante et à flanc, se fait sur une pente raide. Ayant remonté le Clot de la Touette, je parvenais sur la crête Nord du Soum de Lat Dessus, au sommet duquel j'arrivais à 11 heures. Ayant bien profité du magnifique panorama offert par cet étroit sommet "corniché", je débutais la descente à 11 h30. Après la visite de la cabane d'Aurios, un peu plus bas à la fin de l'enneigement, je réalisais une pause restauration avec rangement des crampons de 12 h45 à 13 h15. Je retrouvais ma voiture à 13 h50 après un dénivelé positif de 650 mètres pour autant de négatif et une journée assez bien ensoleillée.

    Carte TOP 25 IGN 1:25000 Lourdes Argelès-Gazost Le Lavedan.

    Voir galerie photos Soum de Lat Dessus 26 02 2021


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  • * 15 février 2021, depuis l'aire de stationnement d'Aumet (1160 m.) au-dessus du hameau de Lhers, en suivant la route direction Sud-Sud-Ouest au-dessus de la rive droite du Labadie ruisseau pour passer près de la cabane de Pourcibo (1340 m.), juste après on suit le sentier fléché "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet" en direction générale Sud-Sud-Est pour traverser plusieurs fois la route, contourner par la gauche le "Rocher appelé le Caillaü" et passer au-dessus de la cabane det Caillau (1456 m.) pour suivre à l'Est le sentier fléché "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet" qui vire ensuite à droite pour prendre une direction générale Sud-Sud-Est et après une série de six virages en épingle on parvient à la bifurcation Labigouer-Arlet (1610 m.) où on laisse filer à gauche le sentier fléché "Col de Souperet - Pic de Labigouer" pour continuer en face direction Sud sur le sentier fléché "Col de Saoubathou - Refuge d'Arlet", réaliser une traversée à flanc toujours direction Sud pour atteindre et traverser le replat de Cambouet (1834 m.), puis aller chercher au Sud-Est le col situé au Sud du dôme coté 1987 et au Nord-Ouest du pic Rouge, passer sur le dôme (1987 m.) puis descendre Nord-Nord-Est au col de Saoubathou (1949 m.) où on suit la crête direction Nord puis on bascule sur le flanc Oriental avant d'atteindre le Sommet de Saubatou ou Sommet de Saoubathou (2035 m.) et revenir avec deux variantes, descente à partir du col de Saoubathou à l'Ouest-Sud-Ouest pour aller retrouver le replat de Cambouet puis passage près de la cabane det Caillau pour y suivre la route jusqu'à Aumet.

    Ce modeste sommet d'une proéminence de 47 mètres, coté 2035 et non nommé par ign fr, est situé au Sud-Est du Puits d'Arious et au Nord du col de Saoubathou. Il est nommé "Cambouet" et coté 2029 par mendikat.net, "Sommet de Saubatou" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous et "Sommet de Saoubathou" sur le cadastre napoléonien de 1837 de Borce.

    Randonnée réalisée sur neige avec utilisation des raquettes à partir de 1600 mètres, remplacées par les crampons et le piolet à partir de 1960 mètres sur la crête du Sommet de Saubatou.

    Parti à 7 h35 de l'aire de stationnement d'Aumet située près d'une cabane (nommée Cabane Aumet de bas sur le cadastre napoléonien), pour une suite d'"immersion" en 1837 vers la Montagne de Lacuarde (nom donné à cette montagne sur le cadastre napoléonien). Je passais à 8 h13 près de la cabane de Pourcibo (Cabane de la Poursiübe sur le cadastre napoléonien) à partir de laquelle je quittais la route pour suivre le sentier fléché "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet". Après avoir contourné par la gauche un immense rocher (Rocher appelé le Caillaü sur le cadastre napoléonien) je passais au-dessus de la cabane det Caillau pour réaliser une pause de 8 h41 à 8 h50 près du fléchage "Pic de Labigouer - Refuge d'Arlet". J'utilisais les raquettes à partir de 1600 mètres pour passer à la bifurcation Labigouer-Arlet à 9 h20. Un peu plus haut, la progression se déroule sur un secteur ayant un raide dévers (Et Hieret sur le cadastre napoléonien), les raquettes accrochaient bien et j'avais sorti le piolet. J'arrivais ainsi à l'entrée du replat de Cambouet à 10 h23 et sa sortie offrait une belle vue sur le vallon suspendu, parallèle à la crête frontière, où les cabanes "de Lacuarde" et "de Lapassarotte" (nommées ainsi sur le cadastre napoléonien) étaient enfouies dans la neige. En suivant des traces sur la neige et sous un vent glacial je continuais la progression face au "Col  des montagnes rouges" (nommé ainsi sur le cadastre napoléonien) pour virer à gauche et passer au col situé au Nord-Ouest du pic Rouge (Le Pic rouge sur le cadastre napoléonien), sur le dôme coté 1987 où les traces s'arrêtaient. Après être passé au col de Saoubathou (Col de Saubatou sur le cadastre napoléonien), à 11 h17 je réalisais une halte sur le début de la crête du Sommet de Saubatou pour changer les raquettes par les crampons. La traversée du versant Oriental est aérienne sur une raide zone enneigée et le franchissement de l'arête en neige dure a été délicat erf . Il y avait de violentes rafales de vent, les raquettes fixées au sac à dos leur offrant de belles prises et la chute étant interdite, j'ai terminé l'ascension en rampant à 11 h45. J'effectuais la descente du Sommet de Saubatou avec prudence en mettant plus de temps qu'à la montée. Dans de telles conditions, ce "petit" sommet est à négocier avec le matériel adéquat, sérieux et prudence doivent être de mise ainsi qu'une corde pour assurer ou rassurer. De retour au col de Saoubathou, j'ai réalisé une descente Ouest-Sud-Ouest pour aller retrouver le replat de Cambouet à l'Est du "Sommet de Soumas" et du "Sommet du Cambouet" (dômes nommés ainsi sur le cadastre napoléonien). Le "Col du Camy Junqué", la "Crête de Lacuette", le "Col de Lacuette" et le "Sommet des Curets" (nommés ainsi sur le cadastre napoléonien), situés sur la frontière, sont restés cachés toute la journée sous une bande de nuages. Après avoir "battu les oeufs en neige" et retiré les raquettes, de 13 h25 à 13 h55 je dégustais une bonne omelette et le reste... à 1600 mètres, au-dessus de la cabane det Caillau. A partir de cette cabane je suivais la route pour aller retrouver ma voiture à Aumet à 14 h56, après un dénivelé positif de 930 mètres pour autant de négatif et une belle journée assez bien ensoléillée où j'ai rencontré une famille de promeneurs dans le secteur det Caillau et à Aumet deux randonneurs qui revenaient du pic de Labigouer qu'ils avaient réalisé en boucle.

    Carte IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT et cadastre napoléonien de 1837 d'Accous plus instructif pour être plus riche au niveau de la toponymie (voir au bas du résumé de la sortie: Montagne de Hieret (1800 m.), "immersion" en 1837).

    Voir galerie photos Sommet de Saubatou 15 02 2021


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    * 5 février 2021, depuis l'aire de stationnement d'Aumet (1160 m.) au-dessus du hameau de Lhers, en suivant la route direction Sud-Sud-Ouest au-dessus de la rive droite du Labadie ruisseau pour passer près de la cabane de Pourcibo (1340 m.), continuer direction Sud jusqu'à son terme près de la cabane det Caillau (1456 m.), aller chercher à l'Est un sentier pour le suivre direction générale Sud-Est et parvenir à la bifurcation Labigouer-Arlet (1610 m.) où on laisse filer à gauche le sentier de Labigouer pour continuer hors traces en direction Sud-Sud-Est pour arriver dans le secteur Et Hieret de la Montagne de Lacuarde (1800 m.) et revenir par le même itinéraire.

    Sur neige à partir de 1490 mètres et avec utilisation des raquettes à partir de 1550 mètres pour la montée et jusqu'à 1490 mètres à la descente.

    Parti à 7 h45 de l'aire de stationnement d'Aumet, proche d'une cabane (nommée Cabane Aumet de bas sur le cadastre napoléonien) pour une petite sortie de remise en forme vers la Montagne de Lacuarde (nom donné à cette montagne sur le cadastre napoléonien), à 8 h26 je passais près de la cabane de Pourcibo (Cabane de la Poursiübe sur le cadastre napoléonien), puis après avoir traversé quelques névés non gênants je passais à 8 h50 près de la cabane det Caillau où je réalisais une petite pause de dix minutes aux abords d'un gros rocher (Rocher appelé le Caillaü sur le cadastre napoléonien). A partir de 1500 mètres, plus aucune trace de sentier ni de traces humaines sur le manteau neigeux qui le cachait. Après avoir remonté une combe, où on entendait couler le ruisseau sous la neige, puis traversé une zone gondolée et accidentée, je parvenais à 10 h20 dans le secteur de la montagne de Hieret ou Et Hieret (cadastre napoléonien) dans de mauvaises conditions erf . Sans regel nocturne la neige était pourrie et malgré les raquettes, j'ai dû "sortir les rames pour galérer" car par endroits je m'enfonçais jusqu'aux genoux. Il y avait de nombreuses coulées de neige dans les pentes situées sous les falaises Occidentales de la Table de Souperret (Crête de Souperet sur le cadastre napoléonien), dont une en direct bad . Je débutais la descente à 10 h30. A 11 h40 je repassais près de la cabane det Caillau et à 12 heures près de la cabane de Pourcibo après laquelle j'ai croisé 3 promeneurs en tee-shirt et.chaussures légères. Je retrouvais ma voiture, près de laquelle un garde du Parc National avait garé la sienne (il réalisait des repérages d'écobuages), à 12 h35 après un dénivelé positif de 640 mètres pour autant de négatif sous un temps bien couvert.

    Carte IGN 1:25000 Ossau Vallée d'Aspe Parc National des Pyrénées 1547 OT et cadastre napoléonien de 1837 d'Accous plus instructif pour être plus riche au niveau de la toponymie:
    -Le "Col de La Cuarde" avec un tout petit lac sur la carte IGN de 1991 est nommé "Col de la Lacuette" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous. LACUETE est un nom féminin, désignant un petit lac, un réservoir creusé par les pasteurs sur la montagne pour l'abreuvage de leurs troupeaux (Dictionnaire Béarnais ancien et moderne de Vastin Lespy et Paul Raymond).
    -Le "Gouffre" situé au Nord-Ouest des "Cabanes de la Cuarde" sur la carte IGN de 1991 est nommé "Clot de l'Aygue" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous. CLOT est un trou, un creux dans la terre, une fosse et AYGUE ou AGUE signifie eau (Dictionnaire Béarnais ancien et moderne de Vastin Lespy et Paul Raymond).
    -La "Pène de l'Espade" sur la carte IGN de 1991 est nommée "Crête appelée pène de Lespade" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous. PENE est un nom féminin désignant un rocher  à  pic, un bloc de rocher, une montagne et ESPADE ou ESPASE signifie épée (Dictionnaire Béarnais ancien et moderne de Vastin Lespy et Paul Raymond).   
    -La "Cabane det Caillau" et la "Fontaine det Caillau" sur la carte IGN de 1991 sont nommées "Cabane det Caillau" et "Fontaine dite det Caillaü" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous qui y ajoute un "Rocher appelé le Caillaü" ignoré des cartes IGN. CALHAU signifie caillou,  rocher,  quartier  de  roche (Dictionnaire Béarnais ancien et moderne de Vastin Lespy et Paul Raymond).
    -La "Cabane de Pourcibo" sur la carte IGN de 1991, située sur la rive droite du "Labadie Ruisseau" est nommée "Cabane de la Poursiübe" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous qui la situe bien au-dessus de la rive gauche du "Ruisseau Labadie".
    -Le "Sommet de Lamatché" et "Ouratou" situés sur la crête au Nord-Ouest du "Pic de Burcq" par la carte IGN de 1991 sont nommés "Sommet de Lamatche" et "Sommet appelé pic Hourtou" sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous qui signale sur cette même crête un "Sommet de la Teülirere" et un "Sommet de Gensane" ignorés des cartes IGN..
    -Sur la crête frontière entre le "Pic de Burcq" et le "Pic Rouge" (carte IGN), le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous signale un "Sommet des Curets", une "Crête de la Lacuette", un "Col du Camy Junqué" et un "Col des montagnes rouges" que les cartes IGN ignorent.
    -Sur la crête située au Nord du "Col de Saoubathou" (carte IGN) nommé "Col de Saubatou" par le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous, ce dernier y désigne un "Sommet de Saubatou" (nommé "Sommet de Saoubathou" par le cadastre napoléonien de 1837 de Borce), un "Col de Lousquette", une "Crête des Curets de haut", une "Crête de Souperet" et à l'Ouest de cette dernière une "Crête appelée la Taoule" et un "Pas de Souet" que les cartes IGN ignorent  mais qui situent une "Table de Souperret" sur la "Crête de Souperet".
    -La "Montagne de Lacuarde", le "Sommet des Agourounets", le "Sommet du Cam Junqué", le "Sommet de Soumas", le "Sommet du Cambouet", le "Ruisseau du Cam Junqué", le "Ruisseau aygues tortes", le "Ruisseau du Cambouet", le "Ruisseau de Souperet", les secteurs "Ets Escourrets", "Labarquère", le "Plané d'Aygues tortes", "Et Hieret", "Le Cambou", du "Mail dets Laïrous", "Ets Arriails" et "Labat" ainsi que le "Bois appelé Cap dets Arriails", situés sur le cadastre napoléonien de 1837 d'Accous sont ignorés des cartes IGN.
    -Par contre, le "Puits d'Arious" que la carte IGN de 1991 cote 1867 et situe au Nord du "Col de Saoubathou" est ignoré du cadastre napoléonien.

    Voir galerie photos Montagne de Hieret


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